Impunité, torture, violation des libertés: Wade dans le collimateur d'Amnesty

« Il n’ y a presque jamais de poursuites pour les cas de torture et de mauvais traitements. Pire, des aveux extorqués sous la torture continuent d’être acceptés comme preuves par beaucoup de juges sénégalais en violation flagrante des disposition de la Convention des Nations- unies contre la torture dont le Sénégal est signataire», fait savoir le représentant de l’Amnesty International au Sénégal, Seydi Gassama. Et de conclure: « Il faut qu’il y ait justice contre les personnes qui ont donné l’ ordre à savoir l’ancien ministre de l’ intérieur Ousmane Ngom et le président Wade »