« Cette décision tout comme celle qui a été rendue le 21 février 2019 par la même juridiction dans l’affaire Etat du Sénégal contre Khalifa Abacar Sall, constituent d’excellentes décisions qui consacrent la victoire du Droit sur les accusations sans fondement contre la justice sénégalaise », a écrit le pool d’avocats, dans un communiqué en date du 4 mars. « De telles décisions sont à saluer et témoignent de la réalité de l’Etat de Droit dans notre pays », poursuit la note.
Pour rappel, Karim Wade avait saisi la Cour pour lui demander d’ordonner à l’Etat du Sénégal de rétablir son nom sur les listes électorales et de lui délivrer une carte d’électeur. D’être éligible et de dire que le code électoral du Sénégal, tel que modifié en son article L.57, est une violation du droit de libre participation aux élections.
Karim Wade a immédiatement saisi l’ONU pour les mêmes motifs, depuis hier.
Leral.net
Pour rappel, Karim Wade avait saisi la Cour pour lui demander d’ordonner à l’Etat du Sénégal de rétablir son nom sur les listes électorales et de lui délivrer une carte d’électeur. D’être éligible et de dire que le code électoral du Sénégal, tel que modifié en son article L.57, est une violation du droit de libre participation aux élections.
Karim Wade a immédiatement saisi l’ONU pour les mêmes motifs, depuis hier.
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