‘’Les gens ne respectent plus les normes de construction. Ils construisent même dans des zones non aedificandi, entraînant par la suite des inondations terribles et après, on dira que c’est l’État qui est responsable. Il faut que les gens sachent qu’il y a des zones où l’on ne doit pas construire.
L’Administration ne peut pas fermer les yeux sur cette situation. Nous ne pouvons pas accepter que les gens cèdent des terrains comme ils veulent. Il y a une réglementation à respecter, en matière de foncier’’, a expliqué le gouverneur de Kolda, Saër Ndao.
Intrigué par cette situation due à un laisser-aller notoire, le gouverneur, en collaboration avec le maire de Kolda, a fait intervenir la Direction de la surveillance et du contrôle de l’occupation du sol (Dscos), qui a contraint une centaine de propriétaires de maison à stopper leurs chantiers.
‘’Nous avons fait appel à la Dscos, qui sera là pendant un moment, de façon permanente, pour régulariser ces situations de non-loi. Et partout où il y a des constructions irrégulières, la Dscos passera. Dans un premier temps, nous allons faire de la sensibilisation, mais après, nous allons détruire tout ce qu’il y a comme constructions anarchiques, les constructions qui ne respectent pas les normes’’, a prévenu le gouverneur de Kolda.
Saër Ndao d’ajouter que le travail entamé n’est que synonyme ‘’d’avertissement adressé aux propriétaires des maisons qui n’ont pas respecté les normes de construction. C’est pourquoi nous demandons aux gens de venir à la Dscos pour régulariser leur situation. Pour ceux qui sont en bonne voie, il n’y a pas de problème, parce qu’ils sont en phase avec la réglementation. Mais pour les autres, nous ne pouvons pas les laisser construire là où ils veulent. Il y a une réglementation à respecter en matière de foncier’’.
Les autorités administratives et municipales invitent ainsi les populations, à un changement de paradigme, afin de mettre un terme à cette urbanisation déréglée notée çà et là dans la ville.
D’ailleurs, elles ont engagé une guerre sans merci contre les dispositions du Code de l’Urbanisme. Parce que les villes du futur se construisent dès aujourd’hui. Les grandes métropoles du monde ont certes leurs réalités, mais elles n’ont pas été bâties sans permis de construire, encore moins sans un respect des schémas d’aménagement. Cela suppose la prise en compte des caractéristiques physiques et l’intégration des composantes des économies sociales et culturelles, en adéquation avec le milieu.
« L’État a laissé les villes se construire sans harmonie, dans un désordre architectural prononcé. Il lui revient dès maintenant, de se rattraper. Car il n’est jamais trop tard pour bien faire. »
L’Administration ne peut pas fermer les yeux sur cette situation. Nous ne pouvons pas accepter que les gens cèdent des terrains comme ils veulent. Il y a une réglementation à respecter, en matière de foncier’’, a expliqué le gouverneur de Kolda, Saër Ndao.
Intrigué par cette situation due à un laisser-aller notoire, le gouverneur, en collaboration avec le maire de Kolda, a fait intervenir la Direction de la surveillance et du contrôle de l’occupation du sol (Dscos), qui a contraint une centaine de propriétaires de maison à stopper leurs chantiers.
‘’Nous avons fait appel à la Dscos, qui sera là pendant un moment, de façon permanente, pour régulariser ces situations de non-loi. Et partout où il y a des constructions irrégulières, la Dscos passera. Dans un premier temps, nous allons faire de la sensibilisation, mais après, nous allons détruire tout ce qu’il y a comme constructions anarchiques, les constructions qui ne respectent pas les normes’’, a prévenu le gouverneur de Kolda.
Saër Ndao d’ajouter que le travail entamé n’est que synonyme ‘’d’avertissement adressé aux propriétaires des maisons qui n’ont pas respecté les normes de construction. C’est pourquoi nous demandons aux gens de venir à la Dscos pour régulariser leur situation. Pour ceux qui sont en bonne voie, il n’y a pas de problème, parce qu’ils sont en phase avec la réglementation. Mais pour les autres, nous ne pouvons pas les laisser construire là où ils veulent. Il y a une réglementation à respecter en matière de foncier’’.
Les autorités administratives et municipales invitent ainsi les populations, à un changement de paradigme, afin de mettre un terme à cette urbanisation déréglée notée çà et là dans la ville.
D’ailleurs, elles ont engagé une guerre sans merci contre les dispositions du Code de l’Urbanisme. Parce que les villes du futur se construisent dès aujourd’hui. Les grandes métropoles du monde ont certes leurs réalités, mais elles n’ont pas été bâties sans permis de construire, encore moins sans un respect des schémas d’aménagement. Cela suppose la prise en compte des caractéristiques physiques et l’intégration des composantes des économies sociales et culturelles, en adéquation avec le milieu.
« L’État a laissé les villes se construire sans harmonie, dans un désordre architectural prononcé. Il lui revient dès maintenant, de se rattraper. Car il n’est jamais trop tard pour bien faire. »