Les membres du bureau politique de l’Afp de faire remarquer que la symbolique très forte qui a entouré la désignation d’un directeur de campagne, en plein Conseil des ministres, pour une candidature invalide est assez représentative de l’état d’esprit des pseudo-libéraux. Les camarades de Moustapha Niasse s’offusquent du fait que « tout cela se déroule parallèlement à une corruption croissante constatée entre autres par Transparency International et à une impunité arrogante illustrée par l’élargissement de l’auteur d’une tentative d’assassinat perpétrée par un membre du PDS qui a mis le feu à une tribune, lors d’une manifestation politique organisée par le Parti Socialiste ».
Pour les progressistes, ce faisceau de données doit amener les patriotes à développer un large rassemblement unitaire, pour faire face au projet d’un clan dont l’unique priorité est de continuer à faire main basse sur les richesses de notre pays à partir du contrôle du pouvoir d’Etat.
Regrettant la situation dans le monde rural qui crie de nouveau sa détresse, déboussolé qu’il est par un pilotage à vue qui le livre à la cupidité des intermédiaires, le Bureau politique de l’AFP invite le régime en place à fixer sans délai ce prix au producteur, pour arrêter une hémorragie qui semble être programmée, surtout en cette veille de la fête de Tabaski.
Moustapha Niasse et ses camarades invitent, également, le gouvernement à mettre un terme définitif à l’accaparement des terres des paysans par les affidés du pouvoir dont la boulimie foncière a dangereusement envahi l’espace rural, depuis le lancement du slogan creux et insidieux qu’est la nébuleuse GOANA.
Dans un autre registre, ils dénoncent, les manœuvres sur le monde rural qui se prolongent à travers le traitement partisan dont les collectivités locales font l’objet de la part du ministère dit de la Décentralisation, véritable bras armé d’une camarilla revancharde qui n’a pas encore digéré sa défaite, lors des élections du 22 mars 2009, malgré les découpages politiciens à la veille du « scrutin ».
Cependant, se désolent-il « le cas de la communauté rurale de Diossong, dans le département de Foundiougne dépasse les bornes, car il s’agit là d’une remise en question intolérable de la souveraineté populaire et du principe d’impersonnalité de l’Etat pour des raisons que la morale républicaine récuse. En plus, la distribution fantaisiste des fonds de dotation et des fonds de concours a achevé de convaincre ceux qui doutaient encore de la nature véritable des hommes qui animent le régime pseudo-libéral ».
Ferloo
Pour les progressistes, ce faisceau de données doit amener les patriotes à développer un large rassemblement unitaire, pour faire face au projet d’un clan dont l’unique priorité est de continuer à faire main basse sur les richesses de notre pays à partir du contrôle du pouvoir d’Etat.
Regrettant la situation dans le monde rural qui crie de nouveau sa détresse, déboussolé qu’il est par un pilotage à vue qui le livre à la cupidité des intermédiaires, le Bureau politique de l’AFP invite le régime en place à fixer sans délai ce prix au producteur, pour arrêter une hémorragie qui semble être programmée, surtout en cette veille de la fête de Tabaski.
Moustapha Niasse et ses camarades invitent, également, le gouvernement à mettre un terme définitif à l’accaparement des terres des paysans par les affidés du pouvoir dont la boulimie foncière a dangereusement envahi l’espace rural, depuis le lancement du slogan creux et insidieux qu’est la nébuleuse GOANA.
Dans un autre registre, ils dénoncent, les manœuvres sur le monde rural qui se prolongent à travers le traitement partisan dont les collectivités locales font l’objet de la part du ministère dit de la Décentralisation, véritable bras armé d’une camarilla revancharde qui n’a pas encore digéré sa défaite, lors des élections du 22 mars 2009, malgré les découpages politiciens à la veille du « scrutin ».
Cependant, se désolent-il « le cas de la communauté rurale de Diossong, dans le département de Foundiougne dépasse les bornes, car il s’agit là d’une remise en question intolérable de la souveraineté populaire et du principe d’impersonnalité de l’Etat pour des raisons que la morale républicaine récuse. En plus, la distribution fantaisiste des fonds de dotation et des fonds de concours a achevé de convaincre ceux qui doutaient encore de la nature véritable des hommes qui animent le régime pseudo-libéral ».
Ferloo