Baptisées cité Abdoul Aziz Sy « Dabakh », les citées Jaxaay sont occupées depuis 2006, par des sinistrés des inondations de la banlieue de Dakar. Dans le cadre d’une étude d’expérimentation sur le terrain, le département de Sociologie de l’Université Amadou Hampâté Bâ a fait faire des enquêtes dans ces zones, à une vingtaine d’étudiants en deuxième année. Les résultats des études ont ainsi révélé les dures conditions de vie des populations de ces nouveaux quartiers. Selon le Docteur Ousmane Bâ du département de Sociologie de cette institution, les étudiants ont rapporté dans leurs recherches, que les populations de Jaxaay vivent dans la « précarité, la promiscuité » et dans l’enclavement par rapport au reste de Dakar.
Le professeur a expliqué sur les antennes de la Rsi, qu’il n’existe « qu’une maternité » fonctionnelle à côté d’un hôpital inachevé dans cette cité. Les appartements sont étroits, car composés seulement « d’un salon et de deux chambres » à coucher. A Jaxaay, il n’y a pas de marché encore moins d’écoles de niveau moyen et secondaire. Selon lui, il n’y a qu’une école primaire publique et deux autres écoles primaires privées, qui sont gérées par des gens "faiblement formés" pour donner un enseignement de qualité aux enfants. Le manque d’infrastructures routières et d’un marché dans la cité ne favorise point l’exercice d’activités économiques pour lutter contre la pauvreté, ont constaté sur place, les étudiants de l’Université Amadou Hampaté Bâ.
Le professeur a expliqué sur les antennes de la Rsi, qu’il n’existe « qu’une maternité » fonctionnelle à côté d’un hôpital inachevé dans cette cité. Les appartements sont étroits, car composés seulement « d’un salon et de deux chambres » à coucher. A Jaxaay, il n’y a pas de marché encore moins d’écoles de niveau moyen et secondaire. Selon lui, il n’y a qu’une école primaire publique et deux autres écoles primaires privées, qui sont gérées par des gens "faiblement formés" pour donner un enseignement de qualité aux enfants. Le manque d’infrastructures routières et d’un marché dans la cité ne favorise point l’exercice d’activités économiques pour lutter contre la pauvreté, ont constaté sur place, les étudiants de l’Université Amadou Hampaté Bâ.