Ces derniers temps, Idrissa Seck est devenu très bavard à travers des contributions parues dans les colonnes des quotidiens de la place. Et sa récente sortie sur le débat politique national, ayant trait à la recevabilité de la candidature de Me Wade et sur la prétendue dévolution monarchique du pouvoir a occasionné des attaques en règle. C’est ainsi qu’Idrissa Seck a été à cette occasion la cible privilégiée des tirs groupés de l’opposition, mais aussi de certains cercles du PDS. Ce sont ses partisans de Thiès qui ont apporté la réplique hier, lors d’un point de presse. Selon Lamine Diallo, adjoint au maire de Thiès-Nord, l’opposition et même certains ténors libéraux se sont inutilement emportés en commentant la sortie d’Idrissa Seck.
En réalité, dit-il, il n’a jamais été question pour Idrissa Seck de proposer le report de la présidentielle ou la prorogation du mandat de Me Wade. En homme averti, devant un débat politique national sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade qui peut occasionner une crise politique profonde, soutient-il, « Idrissa Seck a proposé qu’on revienne purement et simplement à la constitution de 2001, ce qui permettrait à Me Wade de terminer son septennat en 2014 ; et d’un tel point de vue, il ne pourrait plus se représenter ». A ce sujet, il a également affirmé que ceux qui ont parlé de deal ont fait preuve d’une malhonnêteté intellectuelle inqualifiable.
Lamine Diallo a aussi évoqué la question de la succession au PDS pour dire qu’il est d’une nécessité urgente d’avoir le courage de poser le débat sur la table. Il y va de l’intérêt de Me Wade et de toute la famille libérale, surtout pour consolider les acquis libéraux et s’inscrire dans la dynamique d’une gestion du pouvoir pendant au moins 50 ans.
Malheureusement, dit-il, « au PDS il n’ya que des tenants de privilèges et d’opportunités, qui ont fait tomber le Pds et qui demain prendront la poudre d’escampette si le PDS perd le pouvoir » Selon lui, il n’ya pas de raisons que les libéraux fuient le débat autour de la succession ; et à 84 ans, Me Wade doit s’entourer d’une équipe bien coachée par un homme de dimension nationale. Mais, avertit-il, « Karim Wade est exclu de la succession et si Wade veut l’imposer, il trouvera tout un pays sur son chemin ». Il ajoute que « nous sommes dans une république et non dans un royaume et un projet de dévolution monarchique du pouvoir ne passera pas »
Mbaye SAMB
En réalité, dit-il, il n’a jamais été question pour Idrissa Seck de proposer le report de la présidentielle ou la prorogation du mandat de Me Wade. En homme averti, devant un débat politique national sur l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade qui peut occasionner une crise politique profonde, soutient-il, « Idrissa Seck a proposé qu’on revienne purement et simplement à la constitution de 2001, ce qui permettrait à Me Wade de terminer son septennat en 2014 ; et d’un tel point de vue, il ne pourrait plus se représenter ». A ce sujet, il a également affirmé que ceux qui ont parlé de deal ont fait preuve d’une malhonnêteté intellectuelle inqualifiable.
Lamine Diallo a aussi évoqué la question de la succession au PDS pour dire qu’il est d’une nécessité urgente d’avoir le courage de poser le débat sur la table. Il y va de l’intérêt de Me Wade et de toute la famille libérale, surtout pour consolider les acquis libéraux et s’inscrire dans la dynamique d’une gestion du pouvoir pendant au moins 50 ans.
Malheureusement, dit-il, « au PDS il n’ya que des tenants de privilèges et d’opportunités, qui ont fait tomber le Pds et qui demain prendront la poudre d’escampette si le PDS perd le pouvoir » Selon lui, il n’ya pas de raisons que les libéraux fuient le débat autour de la succession ; et à 84 ans, Me Wade doit s’entourer d’une équipe bien coachée par un homme de dimension nationale. Mais, avertit-il, « Karim Wade est exclu de la succession et si Wade veut l’imposer, il trouvera tout un pays sur son chemin ». Il ajoute que « nous sommes dans une république et non dans un royaume et un projet de dévolution monarchique du pouvoir ne passera pas »
Mbaye SAMB