Le leader du Super étoile est très adulé dans la musique. C’est son domaine, diront certains. Depuis quelques mois, il a lancé un mouvement politique « Fekké ma ci bolé ». Une aventure à la quelle n’adhère pas la journaliste Dié Maty Fall qui est désormais une «adepte» de Youssou à travers sa nouvelle production.
«Youssou Ndour aurait pu rester l’homme d’affaires, le musicien, la star mondiale, l’homme qui fait connaître le Sénégal», soutient Dié Maty Fall.
La journaliste a assisté au lancement de la nouvelle cassette de l’artiste avec des étrangers qui, par ailleurs, connaissaient Youssou Ndour depuis très longtemps. Ce qui démontre la sa notoriété internationale.
Pour Dié Maty Fall, le chanteur est entré dans ce champ politique à cause de ses bisbilles avec les autorités étatiques. «Youssou N’dour aurait du rester la star iconoclaste, s’il n’avait pas eu ces difficultés d’ordre politique qui ont empiété sur son projet de télévision», a déduit celle qui travaille en ce moment au cabinet de la mairie de Dakar.
Abondant dans le même sens, le journaliste Abdoulaye Sakho Faye tranche tout net même s’il comprend l’ulcération du Président du groupe Futurs médias. «Franchement, ce n’est pas son terrain. Je crois très sincèrement que Youssou a eu un problème dans ses rapports avec l’Etat puisque c’est un homme d’affaires, c’est aussi un personnage public. On peut comprendre qu’il soit ulcéré qu’un Etat après ce qu’il a fait dans ce pays et qu’il veuille apporter, encore, un autre instrument (la télévision)», a analysé l’ancien directeur de Sen Info qui ajoute : «Il ne devrait pas commettre l’erreur, aujourd’hui, de rentrer dans le champ politique, de perdre tout le capital sympathie dont il bénéficie de la part des Sénégalais».
Pour M. Faye, Youssou Ndour n’a pas besoin d’entrer en politique pour avoir sa télévision car c’est un projet comme tous les autres qui pourrait être soutenu par les Sénégalais. «C’est un projet comme tous les autres. Si les Sénégalais le soutiennent, forcément, le projet aboutira», conseille Abdoulaye Faye pour insiste que Youssou Ndour doit vraiment rester dans ce qu’on sait faire le mieux, la chanson même s’il comprend son exaspération.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
«Youssou Ndour aurait pu rester l’homme d’affaires, le musicien, la star mondiale, l’homme qui fait connaître le Sénégal», soutient Dié Maty Fall.
La journaliste a assisté au lancement de la nouvelle cassette de l’artiste avec des étrangers qui, par ailleurs, connaissaient Youssou Ndour depuis très longtemps. Ce qui démontre la sa notoriété internationale.
Pour Dié Maty Fall, le chanteur est entré dans ce champ politique à cause de ses bisbilles avec les autorités étatiques. «Youssou N’dour aurait du rester la star iconoclaste, s’il n’avait pas eu ces difficultés d’ordre politique qui ont empiété sur son projet de télévision», a déduit celle qui travaille en ce moment au cabinet de la mairie de Dakar.
Abondant dans le même sens, le journaliste Abdoulaye Sakho Faye tranche tout net même s’il comprend l’ulcération du Président du groupe Futurs médias. «Franchement, ce n’est pas son terrain. Je crois très sincèrement que Youssou a eu un problème dans ses rapports avec l’Etat puisque c’est un homme d’affaires, c’est aussi un personnage public. On peut comprendre qu’il soit ulcéré qu’un Etat après ce qu’il a fait dans ce pays et qu’il veuille apporter, encore, un autre instrument (la télévision)», a analysé l’ancien directeur de Sen Info qui ajoute : «Il ne devrait pas commettre l’erreur, aujourd’hui, de rentrer dans le champ politique, de perdre tout le capital sympathie dont il bénéficie de la part des Sénégalais».
Pour M. Faye, Youssou Ndour n’a pas besoin d’entrer en politique pour avoir sa télévision car c’est un projet comme tous les autres qui pourrait être soutenu par les Sénégalais. «C’est un projet comme tous les autres. Si les Sénégalais le soutiennent, forcément, le projet aboutira», conseille Abdoulaye Faye pour insiste que Youssou Ndour doit vraiment rester dans ce qu’on sait faire le mieux, la chanson même s’il comprend son exaspération.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
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