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La solitude d’un président

NETTALI.NET - La majorité présidentielle s’effrite comme le pouvoir d’achat des Sénégalais. Une à une, comme l’extinction des lucioles en fin de nuits d’hivernage, les formations politiques qui soutiennent le président Wade lui tournent le dos. La Cap 21, en tant qu’organisation, n’est jamais parvenue à se construire une image en dehors de celle de son porte-parole. Que reste-t-il du conglomérat, théorisé sous le label du Front pour l’alternance (Fal), qui a conduit le Pds au pouvoir ? Presque rien…


Rédigé par leral.net le Lundi 5 Octobre 2009 à 01:46 | | 4 commentaire(s)|

La solitude d’un président
Le limogeage du recordman de longévité au ministère des Affaires étrangères (neuf ans), Cheikh Tidiane Gadio, vient de tourner la page des dernières figures de la société civile qui s’étaient engagés avec le « Sopi ».

Le Pds gouverne (presque) seul alors qu’il n’a ni la majorité sociologique –l’état de l’opinion en témoigne-, ni la majorité électorale –la claque reçue lors des dernières élections locales le prouve-, pour se le permettre. Mais il semble que c’est n’est pas essentiel aux yeux du chef de la majorité présidentielle. Le président de la République essaie de relever le challenge mais il apparaît bien seul.

Comme l’effet contraire d’un aimant, à l’épreuve du pouvoir, il exclut ceux qui l’ont toujours soutenu et adule d’autres qui l’ont autrefois exécré. Célébration de la culture de la confrontation ? Culte du cynisme ? Victoire du « soi » ? En tout cas, la volonté de porter son fils au pouvoir ne peut elle seule expliquer la tendance du président Wade à faire la politique de « la terre brûlée » avec ses alliances.

Le cas Moustapha Niasse a été très vite réglé. Quand on a des ambitions présidentielles, on ne cohabite pas avec Wade. Idrissa Seck l’apprendra sur le tard. Par contre, Macky Sall a été poussé en à avoir. Aujourd’hui, tout le fameux « Pôle de Gauche », théoricien de la candidature unique entre 1998-2000 pour mettre fin au régime socialiste, est dans l’opposition, à la notable exception de la tendance « Decroix » de Aj/Pads.

Outrageusement parricide, « l’alternance » tue ses fondateurs. Il est aussi filicide car égorgeant ses fils. Aujourd’hui, seuls l’Urd de Djibo Kâ et le Parti de la réforme de Agne Abdourahim siègent en conseil des ministres. Or, ces deux partis ne sont pas connus pour être des foudres de guerre.

Il y a un long listing de mésalliances qui disent long sur l’état du spectre de soutien disponible pour le chef de l’Etat. Passons sur le départ des « historiques » de l’alternance du 19 mars 2000. Le Prc de Samba Diouldé Thiam, le Psd/Jant-Bi de Mamour Cissé, le Ptp de Me El Hadj Diouf (tous députés) sont tous pantois face aux us et pratiques du régime-Pds. Mieux, « le vieux » n’en fait qu’en « sa tête », comme le déplorait récemment, le président Lamine Diack, le patron de l’athlétisme mondial.

La seule chose qui compte à ses yeux semble être son projet de dévolution du pouvoir à son fils, le ministre d’Etat, Karim Wade. Justement, une symbolique très forte a été sublimée et renforcée quand le président de la République s’est rendu au bas de l’immeuble Tamaro abritant les services de son fils pour s’enquérir d’un incendie qui y a eu lieu alors qu’il ne l’a pas fait pour les sinistrés de la banlieue dakaroise en butte aux inondations, pour le monde paysan pourtant requinqué par un bon hivernage, pour des représentants de la classe moyenne urbaine éreintés par la conjoncture difficile ; pour personne finalement…

LE PEUPLE QUI TRINQUE

Pire, les Sénégalais, au travers de leurs réactions, semblent particulièrement outrés par l’environnement qui entoure les négociations entre le président de la République et son ancien bras droit, Idrissa Seck. Ils ont l’impression d’être les dindons d’une farce d’autant plus inopportune que le pouvoir en place n’a pas ces fameux ressorts qui permettent à un régime de donner du mou au fil, de pouvoir répliquer, de dire que ses détracteurs ont tort.

La preuve, l’actuel chef du gouvernement, Me Souleymane Ndéné Ndiaye, qui, dans un régime « normal », aurait dû être en première ligne et sous le feu, est aphone, acculé dans ses derniers retranchements de Guinguinéo et du perchoir du building administratif, désarmé avec la posture du supplicié en route vers l’échafaud ; il est traqué comme un renard dans une chasse à courre par des figures de son propre parti politique suivant une logique interne à cette formation politique qui veut que le numéro deux doit être immolé…

Le président Wade, un homme politique isolé ? L’absence de partage des opinions et jugements peut induire chez le sujet une distorsion importante entre ses idées et la réalité objective, renseignent les psychologues. En tout cas, depuis quelques mois, pas à pas, il monte les marches qui mènent au dernier étage de sa tour d’ivoire. Là où l’horizon est dégagé mais où on est seul.

L’un de ses principaux opposants, Ousmane Tanor Dieng répète toujours sa conviction : « Wade gouverne seul, décide seul et se trompe seul ! » Différence de conception sans doute de la posture adéquate du gouvernant. Mais aussi alacrité de l’opposant. Les partisans du président Wade disent par ailleurs que c’est la somme des « trahisons subies » qui explique que la seule personne en qui il puisse faire conscience reste « son » fils. Seulement, dans ces tourments, dans ces horizons nuageux, dans cet avenir incertain, c’est la populace qui trinque ; encore qu’il cherche à avoir à boire…

Pape Alé Niang


1.Posté par bepseuz le 05/10/2009 02:07 | Alerter
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quand on léve sa main et qu'on dit qu'on n'a de considération pour personne
on doit lever l'autre pour dire que personne n'a de considération pour moi
(en dehors des larbins bien sûr)
pas de pitié pour ceux qui n'en n'ont pas.

2.Posté par Le Piment le 05/10/2009 05:24 | Alerter
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Faut-il s'appitoyer plus qu'il n'en faut,sur le sort de plus en plus tragique qui attend cet homme prétendument omniscient et omnipotent comme le bon Dieu, qui finit ainsi en catastrophe, une carrière politique qui aurait pu être des plus belles à cause de l'enthousiasme délirant des élcteurs, l'ayant porté au pouvoir ? Il faut ajouter pour être jsute, que la fin quasiment catastrophique du Parti Socialiste (PS) dont l'usure constaté et les luttes de positionnement avaient finalement assassiné les quelques bons points de son long règne jonché de réalisations certes mais aussi de manquements, y aura été pour quelque chose.

Faut-il s'attarder plus qu'il n'est permis, sur le sort de cet homme qui a sciemment et volontairement confonu les connaissances livresques à la sagesse d'écouter plus souvent et beaucoup plus attentivement qu'il ne l'a fait, l'opinion des autres, ne serait-ce que pour sauver la face et pouvoir un jour dire pour se dédouaner des aléas parfois inattendus de la vie: " je les ai pourtant suivis" , pour dire qu'à un certain niveau les responsabilités peuvent et doivent être partagées ?

Faut-il avoir pitié d'un homme singulièrement nombriliste et férocement égoïste, qui malgré sa propension à partager gracieusement l'argent du peuple entre lui, sa famille et ses amis, n'a pas su trouver la moindre parcelle de différence, entre sa "sainte" famille et la chose gouvernementale, plus que jamais singularisée par son mépris de l'autre, des règles et des convenences, pour avoir géré le Sénégal comme un roi sa cour et un chef sa sa propre famille, tout le long de ses deux mandats à la tête de ce pays ?

Faut-il ne pas se souvenir de celui-là qui, dès le tout premier jour de son investiture pardon, de son couronnement au méidien Présient, osa humilier comme cela n'avait jamais été fait avant lui, ses pairs roitelets chefs d'Etat africains venus assister aux cérémonies de son sacre en ces termes : ''c'est fini, l'Afrique des dictateurs, des règnes interminables et des présidents à vie, des républiques bananières qui sont au juste des royaumes déguisés" ? Comme témoins de l'histoire, nous étions heureusement présents ce jour-là et avons vu honteux, feu Omar Bongo entrer dans ses petits souliers, feu Robert Gueye de Côte d'Ivoire se retourner nerveusement pour regarder autour de lui, l'assassin de Thomas Sankara balayer la salle de son regard de sanguinaire, pour savoir si ne n'était pas à lui que s'adressait le nouveau Président sénégalais, etc..etc.

Faut-il enfin ne pas se souvenir de cet homme qui souleva tellement d'espoir partout en Afrique et plus singulèrement ici au Sénégal après le long règne du PS, qu'il ne trouva rien de mieux tout au début de son mandat, que de descendre personnellment dans la rue comme jamais personne ne l'aurait cru, pour se faire photographier par la presse nationale et internationale, entouré des fameux enfants de la rue objets de tant de controverses, à qui il promit: "plus jamais ça", en parlant de leurs inqualifiables conditions de vie ?

(....)

Naturellement, ma réponse à tous ces "faut-il " est NON.

Non, parce que cet homme a entre temps, fait exactement ce qu'il n'a pas dit et dit ce qu'il n'a pas fait. Il n'a pas tenu compte des nombreux talents que son pays regorge, pour prendre des décisions idoines ou pour agir chaque jour, ne serait-ce qu'en pensant à cette majoritté silencieuse qui l'a élue. Roi comme Nebucanesor ou tout autre, il n'a pensé qu'aux ses douze travaux d'Hercules et à ses réalisations pharaoniques, dans le seul but d'asseoir une prétendue postérité historique de bonne facture, tout en oubliant que pendant ce temps, le peuple qui l'avait élu souffrait de tous les maux du monde.

Magicien du verbe, des formules incendiaires et des mots à l'emporte-pièce, il n'y a eu aucune tribune officiele ou officieuse dans monde tout le long de son règne, où le magicien ne se soit présenté, pour exiber ses vrais et faux diplômes aux yeux ébahis ou admiratifs des autres, pour avoir le plaisir sadique d'exposer ses point de vues irréalistes et/ou alors, pour montrer qu'au Sénégal, après lui c'est son fis ou le déluge, sa famille étant la seule variable sûre qui a existé, existe et existera pour la postérité.

Et comment pourrait-on avoir pitié, même en rêve, de la fin aussi triste et funèbre d'un type aussi à la fois arrogant et imprévisible, qui sait tout dire et se croit le nombrile du monde? Ce matin le voici au nord de son pays, pour éteindre un prétendu feu dans un désert et dont l'empleur n'aurait brûler que du sable déjà chaud à brûles ses mains. Ce midi, il est au sud pour embrasser paternellement un fou que tout le monde évite, à qui il tend les bras pour encourager ses fantasmes et ses crimes planifiés. Ce soir, il va sans doute éteindre un autre drôle d'incendie, pour la première fois dans son propre pays, mais au juste, c'est pour orchestrer quelque chose de louche, qui pourrait avoir de lien avec les sales draps dans lesquels s'est empéteré son fils chéri, avec les affaires de détournements des déniers publics... Autant on ne l'a vu se présipiter dans son propre pays pour éteindre aucun des feux, même celui plus que catastrohique des innondations, autant sa précipitation pour éteindre celui-là sucite des soupçons parfois fondés....Et dire qu'il avait promis de règler le conflit casamançais en 100 jours et pas plus qu'avant hier, 6 de nos braves soldats sont encore tombés au champ d'honneur !

On passerait volontiers des jours et des jours, rien que pour dire que personne ne versera une seule larme, le jour où l'histoire et le temps l'emporteront comme ils ont emmporté plus d'un terrible avant lui.

Personne, peu-être même son propre fils chéri, tellement il l'aura préparé à le lui succéder que sa longivité légendaire finira par lui poseer d'énormes problèmes, si tout fils de son père qu'il est, il n'avait point de limite à ses ambitions ni de bornes morales à construire comme limites du possible, pour tout ce qui les concerne, lui ,sa mèr, son père et sa soeu, qui règnent sur le pays de la téranga en ce moment précis de son histoire.

Wassalam

3.Posté par Le Piment le 05/10/2009 06:15 | Alerter
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Chers lecteur de cette rubrique de l'excelllent site Leral.net.

Faut-il s'appitoyer plus qu'il n'en faut,sur le sort de plus en plus tragique qui attend cet homme prétendument omniscient et omnipotent comme le bon Dieu, qui finit ainsi en catastrophe, une carrière politique qui aurait pu être l'une des plus belles, à cause de l'enthousiasme délirant des élcteurs, l'ayant unanimement porté au pouvoir ? Il faut ajouter pour être juste, que la fin quasiment catastrophique du Parti Socialiste (PS) dont l'usure constaté et les luttes de positionnement avaient finalement assassiné les quelques bons points de son long règne jonché de réalisations certes mais aussi de manquements, y aura été pour quelque chose.

Faut-il s'attarder plus qu'il n'est permis, sur le sort de cet homme qui a sciemment et volontairement confonu les connaissances livresques à l'humble sagesse d'écouter plus souvent et beaucoup plus attentivement qu'il ne l'a fait, l'opinion des autres, ne serait-ce que pour sauver la face et pouvoir un jour dire pour se dédouaner des aléas parfois inattendus de la vie: " je les ai pourtant suivis" , pour dire qu'à un certain niveau, les responsabilités peuvent et doivent être partagées ?

Faut-il avoir forcément pitié d'un homme singulièrement nombriliste et férocement égoïste, qui malgré sa propension à partager gracieusement l'argent du peuple entre lui, sa famille et ses amis, n'a pas su trouver la moindre parcelle de différence, entre sa "sainte" famille et la chose gouvernementale, plus que jamais singularisée par son mépris de l'autre, des règles et des convenences, pour avoir géré le Sénégal comme un roi sa cour et un chef sa sa propre famille ou son arrière-cour, tout le long de ses deux mandats à la tête de ce pays ?

Faut-il ne pas se souvenir de celui-là qui, dès le tout premier jour de son investiture, pardon, de son couronnement au méidien Présient, osa humilier comme cela n'avait jamais été vu avant lui dans les annales diplomatiques, ses roitelets pairs chefs d'Etat africains venus assister aux cérémonies de son sacre, en ces termes : ''c'est fini, l'Afrique des dictateurs, des règnes interminables et des présidents à vie, des républiques bananières qui sont au juste des royaumes déguisés" ? Comme témoins de l'histoire, nous étions heureusement présents ce jour-là et avons vu honteux, feu Omar Bongo du Gabon entrer dans ses petits souliers, feu Robert Gueye de Côte d'Ivoire se retourner nerveusement pour regarder autour de lui, tout come Blaise Campaoré l'assassin de Thomas Sankara, balayer la salle de son regard de sanguinaire, pour savoir si ne n'était pas à lui personnellement, que s'adressait le nouveau Président sénégalais, etc..etc.

Faut-il enfin ne pas se souvenir de cet homme providentiel qui souleva tellement d'espoir partout en Afrique et plus singulèrement ici au Sénégal après le long règne du PS, qu'il ne trouva rien de mieux tout au début de son mandat, que de descendre personnellement dans les rues comme jamais personne ne l'aurait cru, pour se faire photographier par la presse nationale et internationale, entouré des fameux enfants de la rue objets à tant de controverses, à qui il promit: "plus jamais ça", en parlant de leurs inqualifiables conditions de vie ?

(....)

Naturellement, ma réponse à tous ces "faut-il " est NON.

Non, parce que cet homme a entre temps, fait exactement ce qu'il n'a pas dit et dit ce qu'il n'a pas fait. Il n'a pas tenu compte des nombreux talents que son pays regorge, pour prendre des décisions idoines ou pour agir chaque jour, ne serait-ce qu'en pensant à cette majoritté silencieuse qui l'a élue. Roi comme Nebucanesor ou tout autre, il n'a pensé qu'à ses douze travaux d'Hercules et à ses réalisations pharaoniques, dans le seul but d'asseoir une prétendue postérité historique de bonne facture, tout en oubliant que pendant ce temps, le peuple qui l'avait élu souffrait de tous les maux du monde.

Magicien du verbe, des formules incendiaires et des mots à l'emporte-pièce, il n'y a eu aucune tribune officielle ou officieuse nulle part dans monde tout le long de son règne, où le faiseur de miracles ne se soit présenté, pour exiber ses vrais et faux diplômes aux yeux ébahis ou admiratifs des autres, afin d'avoir le plaisir sadique d'exposer ses points de vues irréalistes et/ou alors, pour montrer qu'au Sénégal, après lui c'est son fils ou le déluge, sa famille étant la seule variable sûre qui a existé, existe et existera pour la postérité.

Et comment pourrait-on avoir pitié, même en rêve, de la fin aussi triste et funèbre d'un type aussi à la fois arrogant et imprévisible, qui sait tout dire et se croit le nombrile du monde? Ce matin le voici au nord de son pays, pour éteindre un prétendu feu dans un désert et dont l'empleur n'aurait enflammer que du sable déjà chaud ,à brûles ses mains mégalomanes. Ce midi, il est au sud pour embrasser "paternellement" un fou que tout le monde évite, à qui il tend les bras pour encourager ses fantasmes et ses crimes planifiés. Ce soir, il viendra sans doute éteindre un autre drôle d'incendie, pour la première fois dans son propre pays, mais au juste, c'est pour orchestrer quelque chose de plus que louche, qui pourrait avoir de liens avec les sales draps dans lesquels son fils chéri se serait empestré, avec les affaires de détournements des déniers publics relatifs à l'Anoci... Autant on ne l'a vu se précipiter ainsi dans son propre pays pour éteindre aucun des feux comme celui plus que catastrohique des innondations, autant son hardiesse pour éteindre celui-là sucite des soupçons parfois fondés....Et dire qu'il avait promis de règler le conflit casamançais en 100 jours et que, pas plus tard qu'avant hier, 6 de nos braves soldats sont encore tombés au champ d'honneur !

On passerait volontiers des jours et des jours, des semaines voire des années, rien qu'à dire que personne ne versera une seule petite larme, le jour où l'histoire et le temps l'emporteront comme ils ont emmporté plus d'un terrible avant lui.

Personne, peut-être même son propre fils chéri, tellement il l'aura préparé à lui succéder, que la longivité légendaire du père finira par poser d'énormes problèmes au fils, si tout fils de son père qu'il est, il n'avait point de limite à ses ambitions ni de bornes morales à construire pour encadrer le possible en ce qui les concerne, lui ,sa mère, son père et sa soeur, qui règnent en maîtres sur le pays de la téranga en ce moment précis de son histoire.

Wassalam


4.Posté par MODOU le 10/10/2009 06:26 | Alerter
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Baba aidara.Vous appelez ce type journaliste.C'est Le plus mauvais correspond qu'il m'est ete donne d'entendre.
Je viens d'ecouter ses commentaires on dirait qu'il a envie d'aller ou toilettes ou il ne sait pas quoi dire.
Pauvre senegal.
Mr Baba Aidara le journalisme est un metier serieux et vous etes la honte pour notre beau metier.
ECOUTEZ L'AUDIO SUR XALIMA.COM
http://www.xalimasn.com/spip.php?article1932

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