«Sans Karim Wade, il n’y aura pas d’élections au Sénégal », c’est du moins la conviction de Lamine Bâ, secrétaire général adjoint à l’orientation, aux stratégies du PDS.
Dans un entretien qu’il a accordé au journal «La Tribune», le jeune responsable libéral soutient, pour s’expliquer : «nous avons le droit, le soutien et la mobilisation de la société civile, de l’opinion et maintenant celui du peuple à qui on avait promis du travail, une bonne école pour une formation de qualité, des hôpitaux, des routes, des infrastructures et un meilleur cadre de vie, en vain».
« Il n’y a pas de fronde au PDS »
Pour Lamine Bâ, il n’y a pas de fronde au PDS. «Je ne voudrais pas parler de fronde. Car une vraie fronde doit avoir une motivation idéologique, un soubassement constructif et des objectifs acceptés de tous. Il ne s’agit pas de dire moi ou rien. Et les autres? L’avenir du PDS ne se décrète pas. Ceux qui se disent frondeurs doivent comprendre qu’il ne s’agit pas d’un problème de personne mais de parti. Il faut qu’ils comprennent que nous devons régler d’abord la question du type de voiture de la marque, des options avant de parler du chauffeur.
C’est pourquoi cette pseudo fronde ne fera pas long feu. Car il s’agit ici simplement de « ôtes toi de là, que je m’y mettes ». En ce qui concerne la réorganisation du parti, il faut définir ce dont on a comme objectifs et ça doit être un débat posé dans le parti et ceux qui pensent avoir un avenir dans le parti sont dans la réflexion et la prospective depuis belle lurette.
Ceux là qui dénoncent le problème d’orientation, d’organisation du parti ont toutes les responsabilités sans jamais rendre compte ou faire le moindre bilan. Qu’ont ils fait pour le parti depuis que nous sommes dans l’opposition ? Soyons sérieux. Ils ont tout eu du parti et de Maître Wade de la même manière et parfois même mieux que les autres.
Donc, c’est un manque de sens de responsabilité et de morale politique. Invoquer des renouvellements du parti de la base au sommet dans un tel contexte de confusions et de brouillard politique, alors que l’on sait d’emblée qu’un tel processus nécessite au moins deux à trois ans minimum, relève d’une ferme volonté de sabotage du parti au grand bonheur du pouvoir.
L’objectif immédiat, c’est 2017 et avec un candidat comme Karim Wade, nous avons toutes les chances de battre Macky Sall dés le premier tour».
Ferloo
Dans un entretien qu’il a accordé au journal «La Tribune», le jeune responsable libéral soutient, pour s’expliquer : «nous avons le droit, le soutien et la mobilisation de la société civile, de l’opinion et maintenant celui du peuple à qui on avait promis du travail, une bonne école pour une formation de qualité, des hôpitaux, des routes, des infrastructures et un meilleur cadre de vie, en vain».
« Il n’y a pas de fronde au PDS »
Pour Lamine Bâ, il n’y a pas de fronde au PDS. «Je ne voudrais pas parler de fronde. Car une vraie fronde doit avoir une motivation idéologique, un soubassement constructif et des objectifs acceptés de tous. Il ne s’agit pas de dire moi ou rien. Et les autres? L’avenir du PDS ne se décrète pas. Ceux qui se disent frondeurs doivent comprendre qu’il ne s’agit pas d’un problème de personne mais de parti. Il faut qu’ils comprennent que nous devons régler d’abord la question du type de voiture de la marque, des options avant de parler du chauffeur.
C’est pourquoi cette pseudo fronde ne fera pas long feu. Car il s’agit ici simplement de « ôtes toi de là, que je m’y mettes ». En ce qui concerne la réorganisation du parti, il faut définir ce dont on a comme objectifs et ça doit être un débat posé dans le parti et ceux qui pensent avoir un avenir dans le parti sont dans la réflexion et la prospective depuis belle lurette.
Ceux là qui dénoncent le problème d’orientation, d’organisation du parti ont toutes les responsabilités sans jamais rendre compte ou faire le moindre bilan. Qu’ont ils fait pour le parti depuis que nous sommes dans l’opposition ? Soyons sérieux. Ils ont tout eu du parti et de Maître Wade de la même manière et parfois même mieux que les autres.
Donc, c’est un manque de sens de responsabilité et de morale politique. Invoquer des renouvellements du parti de la base au sommet dans un tel contexte de confusions et de brouillard politique, alors que l’on sait d’emblée qu’un tel processus nécessite au moins deux à trois ans minimum, relève d’une ferme volonté de sabotage du parti au grand bonheur du pouvoir.
L’objectif immédiat, c’est 2017 et avec un candidat comme Karim Wade, nous avons toutes les chances de battre Macky Sall dés le premier tour».
Ferloo