Le Burkina Faso réaffirme son soutien inébranlable au Sahara marocain et salue la portée historique de la Résolution 2797

Le gouvernement burkinabè a saisi cette occasion pour saluer l'adoption, par le Conseil de sécurité des Nations unies, de la Résolution 2797, considérée comme un tournant majeur consacrant la pertinence du plan d'autonomie proposé par le Maroc comme solution politique réaliste, durable et conforme aux attentes de la communauté internationale.

Les autorités burkinabè ont rappelé de manière claire et constante leur soutien au plan d'autonomie, déjà matérialisé par l'ouverture d'un Consulat général à Dakhla. Pour Ouagadougou, le règlement de ce différend régional ne peut se concevoir que dans le cadre de la souveraineté marocaine, conformément aux principes de stabilité, de coopération et d'intégration africaines.

La Résolution 2797 vient conforter cette orientation, en renforçant la crédibilité de la proposition marocaine et en consolidant la dynamique continentale favorable à Rabat.
Lors des entretiens tenus dans la capitale marocaine, les deux parties ont également mis en lumière la convergence de leurs analyses sur les grands enjeux régionaux, notamment la sécurité au Sahel et la coopération Sud-Sud prônée par le Roi Mohammed VI.

Le Burkina Faso a salué l'engagement concret du Maroc en faveur des pays sahéliens, à travers des initiatives qui contribuent à créer de nouvelles perspectives économiques et stratégiques pour les Etats enclavés.

Enfin, la réaffirmation du soutien burkinabè s'inscrit dans une transformation plus large du paysage diplomatique africain, où un nombre croissant de pays adoptent une position alignée sur celle du Maroc. Cette évolution traduit non seulement la reconnaissance du rôle structurant de Rabat sur le continent, mais aussi l'importance du Sahara marocain dans l'architecture de stabilité régionale.

À la lumière de la Résolution 2797, ce soutien renouvelé conforte davantage la place du Maroc comme acteur incontournable des équilibres politiques et diplomatiques en Afrique.

AMP