Le Secrétaire général de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales (Ujtl), Ibrahima Mbodj ne met en effet pas de gants pour qualifier ses frères libéraux et les souteneurs du président Wade promus à des postes de responsabilité. « Je pense que certaines personnalités de notre pays ne prennent pas au sérieux la gestion des affaires de l’État, ils s’amusent et se livrent en permanence à des querelles de positionnement qu’on arrive pas à qualifier. Et cela sous le regard de son excellence Me Abdoulaye Wade qu’on a soutenu et que nous continuons à soutenir », martèle le jeune libéral.
Avant de mettre les pieds dans le plat : « la majorité de nos responsables politiques transhumants inclus sont soucieux de leurs intérêts personnels plutôt que de l’intérêt général ». S’agissant du choix des hommes devant occuper des fonctions étatiques par le président Wade, le Secrétaire général de l’Ujtl de Lyon dénonce "la médiocrité" qui "s’accentue dans les rangs de nos élites à qui l’on confient de grandes responsabilités de l’État ».
Ibrahima Mbodj qui remet en cause les choix du président Wade, cite le cas du ministre de l’Artisanat et des transports aériens, Farba Senghor, et du Président du Conseil d’administration de la Société des infrastructures de réparation navale (Sirn), Mamadou Lamine Massaly. Au moment ou le Sénégal est frappé de plein fouet par la flambée des prix des produits alimentaires, « ces laudateurs du président nous amusent à travers les médias et tentent en vain de divertir un peuple qui crie faim du fait de la rareté des denrées alimentaires ». Et de poursuivre à l’endroit du chargé de la Propagande du Pds ; « au Sénégal le ridicule ne tue pas , tel un électron libre Farba Senghor se permet de menacer en public la presse et les directeurs de société ». Une démarche qu’il condamne vigoureusement, car enchaîne-t-il, « Il est de notre devoir de dénoncer ces dérives autocratiques qui vont à l’encontre des règles élémentaires de toute démocratie qui se respecte, en tant que libéral je m’insurge contre de tels actes indignes d’un représentant de la République ».
Avant de mettre les pieds dans le plat : « la majorité de nos responsables politiques transhumants inclus sont soucieux de leurs intérêts personnels plutôt que de l’intérêt général ». S’agissant du choix des hommes devant occuper des fonctions étatiques par le président Wade, le Secrétaire général de l’Ujtl de Lyon dénonce "la médiocrité" qui "s’accentue dans les rangs de nos élites à qui l’on confient de grandes responsabilités de l’État ».
Ibrahima Mbodj qui remet en cause les choix du président Wade, cite le cas du ministre de l’Artisanat et des transports aériens, Farba Senghor, et du Président du Conseil d’administration de la Société des infrastructures de réparation navale (Sirn), Mamadou Lamine Massaly. Au moment ou le Sénégal est frappé de plein fouet par la flambée des prix des produits alimentaires, « ces laudateurs du président nous amusent à travers les médias et tentent en vain de divertir un peuple qui crie faim du fait de la rareté des denrées alimentaires ». Et de poursuivre à l’endroit du chargé de la Propagande du Pds ; « au Sénégal le ridicule ne tue pas , tel un électron libre Farba Senghor se permet de menacer en public la presse et les directeurs de société ». Une démarche qu’il condamne vigoureusement, car enchaîne-t-il, « Il est de notre devoir de dénoncer ces dérives autocratiques qui vont à l’encontre des règles élémentaires de toute démocratie qui se respecte, en tant que libéral je m’insurge contre de tels actes indignes d’un représentant de la République ».