A quelques heures de la proclamation des résultats provisoires des élections législatives du 30 juillet dernier par la Cour d’Appel de Dakar, Me Abdoulaye Wade était à huis-clos avec les “lieutenants” de Khalifa Sall que sont, entre autres, Cheikh Guèye et Bamba Fall, a appris actusen.
En effet, après un face-à-face qui a duré un tour d’horloge, Mes Amadou Sall et Madické Niang, Oumar Sarr (Coalition Gagnante-Wattù Senegaal), Bamba Fall et Cheikh Gueye (Taxawu Senegaal) et d’autres personnalités de l’opposition et de la Société civile tous “unis” pour la même cause, ont fait face à la presse.
Le pape du sopi, n’apparaît pas sur la photo de famille. Il se fait tard. Mais ses directives sont applicables au premier degré. Lui, l’opposant d’alors qui revêt à nouveau, sa tunique de “guerre” d’opposition de 27 ans puis 12 ans de règne et 5 nouvelles années d’opposition depuis sa chute du 25 mars 2012. Et le plan de guerre n’est pas à “révéler” à la presse.
N’empêche, sur le portique du domicile de Me Abdoulaye Wade sis à Fann-Résidence, c’est Me Amadou Sall qui porte la parole de ce nouveau Front réuni autour d’un “idéal”, disent-ils : celui de la défense de la “victoire” du peuple souverain contre ce qu’ils appellent une “mascarade électorale” du 30 juillet.
Me Amadou Sall : “c’est une initiative pour apporter des réponses précises”.
“Autour du Président Wade, nous avons décidé d’entreprendre une réponse politique”. Mais le nouveau “front pour la défense des droits du peuple” ne va pas s’arrêter à apporter des réponses politiques au régime en place.
Selon Me Amadou Sall, “des négociations et discussions les plus larges possibles vont, aussi, être entreprises avec toutes les franges de la population. Toutes les organisations pour que cette initiative puisse donner lieu à des réponses extrêmement positives et fermes”, y seront associées.
“Cette initiative va s’élargir. Nous informerons de tout ce qui pourra en découler”, promet-il avant de céder la place à Cheikh Guèye puis à Bamba Fall qui s’est exprimé en langue locale.
Aussi, affirmera Me Amadou Sall, “désormais, les personnes membres de coalitions de partis politiques, mouvements qui ont participé à ces élections, parleront, dorénavant, d’une seule et même voix pour apporter une seule et même réponse à ce qui apparaît véritablement, comme une atteinte à l’honneur et à la dignité du peuple”.
“Notre peuple fera face et répondra”, a-t-il conclu dans un discours martial, approuvé par tous les leaders politiques de l’opposition présents à la rencontre.
En effet, après un face-à-face qui a duré un tour d’horloge, Mes Amadou Sall et Madické Niang, Oumar Sarr (Coalition Gagnante-Wattù Senegaal), Bamba Fall et Cheikh Gueye (Taxawu Senegaal) et d’autres personnalités de l’opposition et de la Société civile tous “unis” pour la même cause, ont fait face à la presse.
Le pape du sopi, n’apparaît pas sur la photo de famille. Il se fait tard. Mais ses directives sont applicables au premier degré. Lui, l’opposant d’alors qui revêt à nouveau, sa tunique de “guerre” d’opposition de 27 ans puis 12 ans de règne et 5 nouvelles années d’opposition depuis sa chute du 25 mars 2012. Et le plan de guerre n’est pas à “révéler” à la presse.
N’empêche, sur le portique du domicile de Me Abdoulaye Wade sis à Fann-Résidence, c’est Me Amadou Sall qui porte la parole de ce nouveau Front réuni autour d’un “idéal”, disent-ils : celui de la défense de la “victoire” du peuple souverain contre ce qu’ils appellent une “mascarade électorale” du 30 juillet.
Me Amadou Sall : “c’est une initiative pour apporter des réponses précises”.
“Autour du Président Wade, nous avons décidé d’entreprendre une réponse politique”. Mais le nouveau “front pour la défense des droits du peuple” ne va pas s’arrêter à apporter des réponses politiques au régime en place.
Selon Me Amadou Sall, “des négociations et discussions les plus larges possibles vont, aussi, être entreprises avec toutes les franges de la population. Toutes les organisations pour que cette initiative puisse donner lieu à des réponses extrêmement positives et fermes”, y seront associées.
“Cette initiative va s’élargir. Nous informerons de tout ce qui pourra en découler”, promet-il avant de céder la place à Cheikh Guèye puis à Bamba Fall qui s’est exprimé en langue locale.
Aussi, affirmera Me Amadou Sall, “désormais, les personnes membres de coalitions de partis politiques, mouvements qui ont participé à ces élections, parleront, dorénavant, d’une seule et même voix pour apporter une seule et même réponse à ce qui apparaît véritablement, comme une atteinte à l’honneur et à la dignité du peuple”.
“Notre peuple fera face et répondra”, a-t-il conclu dans un discours martial, approuvé par tous les leaders politiques de l’opposition présents à la rencontre.