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Les alliés de Benno face à l’éternelle équation du "mariage par intérêt": jouir des avantages du pouvoir et ne point subir ses inconvénients.

« Être au pouvoir et rester populaire », tel est le souhait de toute formation politique alliée à un parti au pouvoir. « Vous êtes au pouvoir avec nous et donc, vous allez subir avec nous l’usure du pouvoir », telle est l’éternelle réplique du parti majoritaire. Et voila que commence le « jeu de dupes » !


Rédigé par leral.net le Dimanche 17 Février 2013 à 15:26 | | 8 commentaire(s)|

Les alliés de Benno face à l’éternelle équation du "mariage  par intérêt": jouir des avantages du pouvoir et ne point subir ses inconvénients.
En effet, Macky SALL est convaincu que jamais Idrissa SECK ne partagera avec lui « ses peines » dans la gestion du pouvoir. Et Idy demeure plus que jamais convaincu, que jamais Macky ne lui laissera garder ses avantages d’opposant tout en goûtant au délice du pouvoir.
Ainsi, chacune des deux parties se trouve confronté à ce que les spécialistes de la gestion des conflits appellent un « conflit d’objectif ». Contrairement à Moustapha NIASS, qui, objectivement, ne pourrait obtenir en politique rien de plus que ce que Macky lui a déjà offert.
Il n’est pas donc surprenant, dans le contexte actuel, que NIASS ait comme priorité la sauvegarde de ses acquis. Avec ses 13%, Macky lui a offert ce que ses 19% de 2000 ne lui avaient permis d’avoir sous Wade et ce que non plus sa légitimité historique ne lui avait pas permis d’avoir sous DIOUF.
Dans le conflit naissant Idy/Macky, Niass serait donc un arbitre intéressé, même s’il est vrai que nous pourrons - demain - nous attendre à des surprises. Jusqu’où Macky pourrait-il, alors, compter sur le leader de l’AFP ?
En effet, le président Sall veut à la fois propulser la coalition Benno Bokk yakkar comme une force politique incontournable tout en mettant sous contrôle ses composantes. Autrement dit, la coalition devra rester forte mais ses membres devront rester faibles. Ainsi, l’examen du processus d’hiérarchisation des priorités du président fait apparaître une sorte de « conflit d’objectif » qui est, à la fois, source de tension au sien de sa propre formation politique mais aussi auprès de ses alliés.
Les membres de l’APR considèrent que les alliés du président sont mieux servis qu’eux, quand certains partis de Benno Bokk yakkar considèrent que leur demander de renoncer à une partie de leur souveraineté est vraiment trop leur demander.
Si Wade, dans des situations pareilles se positionner comme le véritable maître du jeu, Macky lui, il semble se chercher encore. Il faut le dire, Wade est un politique qui ne vit pas d’illusions.
En tout état de cause, le Président Sall a intérêt à trancher ce débat dans les plus brefs délais. Tout le contraire pour Idrissa Seck. En fait, le leader de Rewmi est entrain de retrouver une certaine virginité politique grâce à sa nouvelle stratégie de positionnement. Bientôt, les sénégalais oublieront définitivement son jeu de yo-yo politique avec Wade, en faveur de sa constance et de son intransigeance dans la défense des intérêts du peuple face à Macky Sall. Le président Sall devrait donc définir une ligne de conduite claire face à cet allié encombrant ou à ce potentiel adversaire. C’est selon ! Ce qui a le mérite d’être clair est que Idy est déjà sur ça ligne. Il a bien choisi son camp !

( Les News )


1.Posté par AHMADOU DIOP le 17/02/2013 15:58 | Alerter
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Et la Fondation "Servir le Sénégal", l’autre scandale gigantesque, parmi d’autres, parlons-en, maintenant ? D’où viennent donc ces milliards, sortis des ténèbres ?


Et la Fondation "Servir le Sénégal", l’autre scandale gigantesque, parmi d’autres, parlons-en, maintenant ? D’où viennent donc ces milliards, sortis des ténèbres ?
Marième Faye crée sa fondation « Servir le Sénégal » pour se servir elle-même et servir politiquement son mari, alors qu’aucune disposition de la constitution ne prévoit nullement une telle posture. Exemplarité ou indécence absolue ? Les pratiques douteuses sont têtues. On utilise les deniers publics à des fins de propagande ou de culte de personnalité.
La fondation bidon, « Servir le Sénégal », une grosse arnaque. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, elle est exclusivement gérée par la première dame, Marième Faye et son propre frère, Daouda Faye, responsable de la communication et des relations extérieures. Incontestablement, la terminologie laisse apparaître une opacité manifeste, qui en dit long sur cet embrouillamini mystificateur, hautement toxique. Quelles relations extérieures ? Peut-on parler de transparence dans ces conditions ? Cela nous paraît totalement décousu et nébuleux au regard de la morale. D’où viennent donc ces milliards sortis de terre ? Motus et bouche cousue. Allez savoir ! « Je suis le président de la républiques, je nomme qui je veux ». Il y’a lieu de s’interroger sur l’éthique d’un communautarisme politico-ethnique, qui ne dit pas son nom.

Affaire Aliou Aïdara Sylla ? Aliou Aïdara Sylla, présumé coupable de blanchiment d’argent, d’escroquerie, association de malfaiteurs. Que dire, alors de la Fondation bidon" Servir le Sénégal", passée sous silence, gérée exclusivement par la même famille du président de la république ? Des scandales parmi tant d’autres au cœur de la république. C’est bien une nébuleuse transparence purement népotique !
L’arrogance indécente est à la mesure des insultes à répétitions. C’est le moins que l’on puisse dire. Notre point de vue met à nu les contradictions flagrantes d’un système totalement opaque de prévarications légalisées au plus haut sommet de l’état. N’est-ce pas là des conflits d’intérêts manifestement beaucoup plus graves que les prétendus chefs d’accusation bidon, bidouillés, pour régler des comptes et à dessein de ternir l’mage remarquable d’un homme d’honneur, exceptionnel. L’idolâtrie et le culte de la personnalité, sans retenue, heurtent les consciences par son caractère choquant. Le couple présidentiel : « en mode jeune ». Des insultes permanentes à l’encontre de la république. C’est le cas de le dire. Nous sommes dans un régime totalitaire en plein régime.
Alors ces gens-là, qui se douchent remarquablement dans un océan de "Takh Rip", jusqu’à la lie, feraient mieux de se taire, plutôt de s’offrir affreusement en spectacle. Peuvent-ils parler vraiment de bonne gouvernance ? Lorsque la boulimie pithiatique est en contradiction totale avec la rhétorique médiatico-politique, inflationniste, il y’a lieu de parler de rapines et de rancunes dégoulinantes, aussi suintantes que ne l’était, en réalité, le tunnel de la Corniche, décrié.
Ils doivent d’abord balayer chez eux, avant de livrer aux chiens un homme d’honneur inhabituel. Dans ce pays, le ridicule ne tue plus. Alors, l’immoralité proéminente est à son comble. La bonne gouvernance commence par soi-même et non par le symbole de la tartufferie ! Il y’a là les preuves matérielles d’une vaste escroquerie grotesque, qui ne dit pas son nom. D’Abdou Diouf à Abdoulaye wade, cet homme là, qui nous dirige, maintenant, est le prototype même des scandales imprescriptibles de toute l’histoire politico-financière jamais réalisée jusqu’ici. Malheureusement, des scandales incommensurables que les sénégalais vont découvrir dans les années à venir, lorsque ce sera trop tard. A notre intime conviction, ce n’est que la face cachée de l’iceberg. Nous le croyons.
Et le scandale de l’affaire Aliou Sall ? Que dire de la mainmise absolue « des Faye-Sall », tout-puissants, qui se tranchent arbitrairement la meilleure part du lion dans tous les secteurs économiques les plus rentables de l’état? Que dire des postes d’ambassadeurs, consuls, monopolisés exclusivement par des noms particuliers, aux cursus scolaires, obscurs ? Y’a-t-il alors, une exceptionnalité pour l’honneur d’une dynastie taillée sur mesure, apparemment née sous la bonne étoile ? Et Mansour Faye et Daouda Faye et des Gassama, en sus des nominations népotiques à la pelle ? Pour cela, au nom d’une justice libre, libérée et indépendante du pouvoir politique, juge et partie, nous exigeons, dés maintenant, sans conditions, la liberté immédiate, totale de l’homme d’affaires, Aliou Aïdara Sylla, le détenu politique le plus célèbre du régime autoritaire de Macky Sall !
Pour rappel, le détenu politique disposait d’une santé de fer au moment de son arrestation. La sécurité du détenu politique dépend de ses geôliers. Qu’on se le tienne pour dit !
A bon entendeur, salut !

Le combat continue !
Ahmadou Diop

2.Posté par Ahmadou Diop le 17/02/2013 16:03 | Alerter
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Les dérives spectaculaires d’un régime autoritaire : ou l'esclandre d’une rupture estampillée : « bonne gouvernance ».

On aura beau maquiller broc à bric le produit de parues pour bien le vendre sur le marché, mais quelles que soient les notices et les retouches nécessairement transcendantales au nom d’une image trans-internationale pour la présenter sous de faux postulats, il n’en demeure pas moins qu’elle porte en elle-même l’estampille nocive, éternelle devant l’éternel, puisque la substance magico- moléculaire laisse apparaitre nettement des défauts de fiabilité. Instrumentalisation, manipulations, désinformations, tromperie, démagogie outrancière. Bref, le socle de l’enfumage classique continue ! Voilà la continuation permanente à l’épreuve sans rupture !
Tout est y. Les dessous de l’affaire Hissène Habré et des biens mal acquis placés à l’étranger. Et Pinochet, le dictateur du chili, qui a renversé en 1970, Salvador Allende, élu démocratiquement, n’a jamais été jugé malgré les atrocités qu’il a commises, mais pourquoi donc Hissène Habré, ancien président du Tchad, présumé coupable de crimes devrait-il l’être ? Et son ancien chef d’état major, venu au pouvoir par les armes pouvait-il les ignorer ? Y a- t-il alors deux poids et deux mesures de la démocratie à géométrie variable au double standard, en fonction de la bonne posture totalement obscure ?
L’incivisme politique est la conséquence de nos déconvenues éternellement programmées. Un tabou bien têtu. Marième Faye crée sa fondation « Servir le Sénégal » pour se servir elle-même et servir politiquement son mari, alors qu’aucune disposition de la constitution ne prévoit nullement une telle posture. Exemplarité ou indécence ? Les pratiques douteuses sont têtues. On utilise les deniers publics à des fins de propagande ou de culte de personnalité.
La fondation bidon, « Servir le Sénégal », une grosse arnaque. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, elle est exclusivement gérée par la première dame, Marième Faye et son propre frère, Daouda Faye, responsable de la communication et des relations extérieures. Incontestablement, la terminologie laisse apparaître une opacité manifeste, qui en dit long sur cet embrouillamini mystificateur, hautement toxique. Quelles relations extérieures ? Peut-on parler de transparence dans ces conditions ? Cela nous paraît totalement décousu et nébuleux au regard de la morale. D’où viennent donc ces milliards sortis de terre ? Motus et bouche cousue. Allez savoir ! « Je suis le président de la républiques, je nomme qui je veux ». Il y a lieu de s’interroger sur l’éthique d’un communautarisme politico-ethnique, qui ne dit pas son nom.
Un président normal d’une république normale, ne doit jamais dire une telle boulette. Plutôt, au contraire, sa responsabilité devrait le conduire à la modération pour dire : « oui, je suis le gardien de la maison du peuple, je veille scrupuleusement et personnellement à ce que ceux qui y entrent; soient être en règle; c’est ma responsabilité morale ».
Macky 2017 : non merci, un mandat ça suffit, mais pas deux !

L’obscur multimilliardaire, aux commandes de la république. Un début de mandat calamiteux, qui commence mal. Parlons-en maintenant ! Mais qui donc peut parler de progrès significatifs, de rupture véritable, sans être ridicule, dans un pays où les dithyrambes, les paraboles, faisant florès, contrastent parfaitement avec la réalité sur le terrain du crime ?
Après 11 mois de gouvernance, Macky Sall a-t-il réellement opéré un changement véritable par rapport à son devancier, dont il aimait se distinguer ? L’homme a-t-il apporté réellement un changement radical dans la conduite des affaires de l’état ? A-t-il posé des actes concrets de rupture ? Malgré la surabondance de la percussion médiatico-politique, cet homme là porte en lui-même les germes du recul le plus effroyable. En lieu et place de la rupture, c’est la dévolution sanguine, permanente à l’épreuve des faits : la révolution monarchique de la « dynastie des Faye-Sall, des Gassama » et Cie. Le symbole clinquant de l’arrogance s’autorise tout.

Une pierre deux coups : placer d’abord une famille pressureuse et paresseuse au crochet de la république, ensuite créer les effets d’annonce des audits audibles à géométrie variable, en épargnant son propre camp mouillé. Pour cela, comme il tient à la prunelle de ses yeux, le maquilleur tient à la tenue de son sommet de la francophonie en 2014, dont il est « l’héritier naturel, potentiel, après les loyaux services du meilleur élève de la francophonie », plus francophile que wolofophile, organise savamment un cirque électoral, programmé, royalement, pour lui donner un contenu plus corsé que ne l’était celui de 2012. Car l’extérieur doit nécessairement régenter la démocratie, puisqu’apparemment, l’Afrique n’est pas assez entrée dans l’histoire. L’homme de service prépare sûrement sa monture, demain, dans la perspective d’un mandat hypothétique, pour échapper, éventuellement à des poursuites normales.
Comme si cela ne suffisait pas encore, pour plaire à ses maîtres sorciers, et à dessein d’avoir des garanties et la faveur des seigneurs du monde, autant passer sous silence, la culpabilité d’un premier ministre, présumé blanchisseur d’argent, d’escroquerie, association de malfaiteurs, en échange d’un procès à grande pompe, de l’ancien président du Tchad, de sorte qu’il soit l’unique coupable, idéal, devant l’éternel, de manière à engranger les dividendes politico-financières, comme arrière plan. Voilà l’escroquerie titanesque, dont nous dénoncions les contours nébuleux, manifestement injurieux !
Et les grandes constitutionnelles, qu’en fait-il maintenant ? Il n’en pipe pas mot, puisqu’il n’en a cure. Et la cherté de la vie, l’emploi des jeunes, les inondations, l’application systématiques des assises nationales, les coupures intempestives du courant électrique et les surfacturations complaisantes ? Ce président de la république élu à défaut et par dépit, n’a ni d’intuition politique, ni de grands projets majeurs, si ce n’est les incantations stériles et les insultes permanentes à la bouche de ses chiens de garde, agissant en bouffons de service avec des discours décapants de la démesure, substantiellement conformes à leur étroitesse d’esprit. Point de retenue, ni d’humilité d’aucune sorte. L’immoralité absconse doit servir de levier à un pouvoir totalement ivre.
Bonne gouvernance, sobre, vertueuse, efficiente, et transparente, ou le chantier du rapatriement des biens spoliés et placés à l’étranger ! Un traditionnel discours creux et verbeux d’une rhétorique peu éthique, emphatique. Un embrouillamini mystificateur révélateur d’un activisme outrageant dans lequel ils excellent le plus sûrement depuis qu’ils sont aux manettes, pour s’assurer des promotions sociales, indues. Voilà le rituel romanesque digne d’une escroquerie manifeste ! Alors que la majorité des sénégalais lassés et laissés pour compte, le président de la république, très friand au luxe injurieux et sa grade rapprochée, logent dans des hôtels réservés aux pays des pétrodollars, s’arrogent aussi l’arrogance de s’offrir de grosses cylindrées de luxe, aux vitres teintées : une césure de la rhétorique médiatico-politique, inflationniste. Circulez donc, il n’y a rien à voir !
Le questeur, le propre frère d’Arona Dia, à la fois « vice-président officieux » et l’argentier supposé de l’apérisme débridé, dirige tout. Un euphémisme : « une République de la bamboula des griots et des rapines politiques ». Tout passe au peigne fin. La même famille boulimique se taille la meilleure part du lion, comme si la république est un gâteau à partager. Le changement n’aura pas lieu. Le spectacle ubuesque rejoint le ridicule. Les nominations monarchiques, hystériques à la pelle, deviennent un même mode de gouvernance transparente. C’est bien le culte d’un népotisme insolite. Le chef de l’état devient en même temps, le Secrétaire Général de son propre parti. Au nom de la transhumance forcée, il faut amnistier à la fois les coupables entrants et les obliger à se mouler sous l’escarcelle de l’apérisme survoltant.
C’est du machiavélisme débordant, qui ne dit pas son nom. Le machiavélisme n’est rien d’autre qu’un art qui vise à garder son propre pouvoir par tous les moyens.
L’homme qui nous dirige change son fusil d’épaule et emprunte le chemin biscornu. Tous les postes rentables sont entre les mains de sa propre famille, même les ambassadeurs, les consuls n’échappent plus à la règle népotique. Où est donc la rupture dans tout cela ?
Qui peut parler de révolution majeure dans la gestion des affaires publiques, lorsque le président de la république met en avant les propres intérêts crypto personnels de sa propre famille consanguine au cœur d’un état, supposé de droit et qui distribue exclusivement des postes de hautes stratégies à sa famille immédiate, comme si la compétence obéit aux seuls critères d’un corporatisme politique, cliniquement clanique ? C’est bien les dérives spectaculaires d’un régime autoritaire : ou l'esclandre d’une rupture estampillée : « bonne gouvernance ».

Le combat continue !
Ahmadou Diop

3.Posté par Ahmadou Diop le 17/02/2013 16:15 | Alerter
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Un couple présidentiel : paradoxe d’un paroxysme de l’idolâtrie ou le culte de la personnalité ?




En contrepartie des échanges de service, « les Généreux donateurs d’or » bénéficieront largement « du bouclier politique », même si la provenance de leurs richesses immenses résulte incontestablement d’une opacité matériellement avérée.
A contrario, les autres, oui, les indociles, pour avoir refusé de passer à la caisse, seront automatiquement châtiés et massivement passibles de délits graves, maquillés sous de faux postulats, emphatiquement appelés « blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs, au nom des audits audibles à haut débit illimité et à géométrie variable. Non, nous ne pouvons pas nous inscrire dans ce registre là !
La réalité contraste avec le discours. Apparemment, Macky Sall, sa propre famille, sa garde rapprochée et ses courtisans peuvent aisément s’enrichir librement, mais l’enrichissement des autres est illicite, s’ils ne passent pas d’abord à la caisse, la condition sine qua non, pour être des sujets. C’est ça le seul crime de lèse-majesté d’Aliou Aïdara Sylla. N’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’admettre, par couardise ou bouffonnerie indécrottable qui les habite ! Le groupuscule apériste corporatiste, déficitaire politiquement en termes d’adhérents de tout l’échiquier politique, converti en rats, aux apparences manifestement claniques s’y retrouve dans cette loge éloquente que rien ne peut justifier de prime abord. Manipulations, désinformation, chantage, abus de pouvoir. Affabulation qu’on tient à blanchir en vérité. Les pratiques peu orthodoxes de la prétendue bonne gouvernance consistent à arrêter arbitrairement et massivement des collaborateurs immédiats d’Abdoulaye wade, en triant au volet ceux qui se repentissent à la transhumance qu’il faut épargner obligatoirement de l’épée de Damoclès, c'est-à-dire la police politique, les audits audibles à haut débit, à géométrie variable, au service de l’homme du moment du palais. C’est la nouvelle rhétorique du vent debout comme système de gouvernance absolue ou plutôt l’autoritarisme blanchi en vérité éternelle.
C’est toute l’ambigüité d’une gouvernance des rancunes et des rapines politiques par des mécanismes douteux.
Une culture de personnalité taillée sur mesure qui n’a pas sa raison d’être dans une république normale. Ce qui est le cas maintenant ! Tout pouvoir abusif pour être charismatique, contrôle et musèle la presse, est totalitaire par définition. Le ridicule ne tue plus dans ce pays étrange ! Qu’est-ce- que c’est ce tapage médiatique mécanique de la surenchère spectaculaire surabondante : « le couple présidentiel du Sénégal en mode jeune ? ». Stop ! Halte ! Un peu de retenue, d’humilité, trop, c’est trop ! Pendant qu’Aliou Aidara Sylla, déféré pour blanchiment d’argent, association de malfaiteurs et escroquerie, le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président ? Un parti, une famille, une dynastie, des courtisans ! Tout n’est pas permis ! Halte ! Stop ! Ça suffit ! Dans cette affaire, il y a le visible et l’invisible.
Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien le scandale de « l’affaire Aliou Sall », frère du président et la galaxie des nominations hystériques.

Aliou Aidara Sylla sali sous l’autel de son indocilité. La gouvernance de Macky Sall, c’est salir par tous moyens tous ceux qui sont indociles à lui ! Pour ce faire, on l’embastille et construire des chefs d’accusation bidon bien bétonnés. Alors, la surabondance médiatico-politique se confine dans son rôle de sarabande, en déversant des insanités proéminentes. Disons les donc les choses telles qu’elles sont et non pas qu’on veuille qu’elles soient par une justice interposée présumée libre et indépendante du pouvoir politique. Une simple vue de l’esprit. C’est une dictature pure et simple.
Macky Sall sur la traque des biens mal acquis: « S’ils acceptent de retourner l’argent, il n’y aura aucun problème »
Suivez notre regard ! A commencer d’abord par l’auteur, pour donner l'exemple pour mieux nous convaincre. Le ndiguël [la recommandation] des bonnes causes commence par soi-même, surtout lorsqu’on s’est bien travesti en obscur multimilliardaire en moins de 8 ans. Autrement, c’est suspect ! Macky Sall ne peut pas faire l’économie des audits audibles au double standard. Tous les hommes politiques qui ont occupé des fonctions, doivent nécessairement être audités, sans exclusive et sans ostracisme d’aucune sorte, au risque de créer une césure insupportable, irréparable dans les consciences. Au nom de la transparence, à commencer par lui-même, il doit s’appliquer à lui-même la même déontologie qu’il impose aux autres.
A défaut, il le sera tôt ou tard s’il ne sera plus aux commandes. Macky Sall est toujours le Secrétaire Général de son propre parti. S’il s’entête à refuser systématiquement l’audition des transhumants politiques du pds à l’apr, pour des raisons évidentes que l’on sait, alors qu’à l’inverse, ceux qui ne se mouleront pas dans son parti, le seront automatiquement, cela créera une suspicion légitime aux yeux des sénégalais, qui l’ausculteront à la politique des deux poids et deux mesures, c'est-à-dire les audits audibles à géométrie variable. Ce qui est le cas, maintenant, jusqu’à preuve du contraire. En politique, la faute se paye cash.

A ce jour, Macky Sall, le président de la république, dispose, aujourd’hui, d’un patrimoine colossal, étrangement obtenu dans des conditions totalement obscures, alors que l’indice de son salaire contraste parfaitement avec ses richesses énormes, étalées ostensiblement, sans qu’il soit nécessaire d’en piper mot.
Comme vous le constatez vous-mêmes, lorsqu’il s’agit d’insulter ceux qui ne veulent s’aliéner et se mouler dans la mécanique totalitaire, une certaine presse ordurière passe en boucle les calomnies par une ritournelle jamais égalée. Par contre, lorsque nous tirons à boulets rouges sur le calque masqué de son clone, nous trouvons portes closes. Tous nos post sont bannis, s’ils ne sont pas tout simplement supprimés. Aliou Aidara Sylla, le détenu politique : un crime intellectuel ?

Nos contributions postées trouvent portes closes, lorsqu’il s’agit de tirer à boulets rouges sur « wade junior », le bon « élève de la francophonie ». C’est la seule règle de la démocratie apparentée à la tyrannie dans ce pays, qui s’autoproclame la locomotive de la république tropicaliste. La gouvernance de Macky Sall reste incontestablement l’arbre qui cache bien la forêt. Jusqu’à ce jour, le résultat du matraquage médiatico-politique sur les présumés biens mal acquis n’est point à la hauteur du discours mécanique, si ce n’est Aliou Aidara Sylla, l’agneau du sacrifice, en attendant la levée arbitraire de l’immunité parlementaire des autres députés du peuple. Qu’on le veuille ou non, le premier magistrat de la république est le premier corrupteur actif. Il est le premier producteur par excellence de la corruption à libre cours. Les fonds politiques dont il dispose le prouvent éloquemment. Voilà la réalité !

Ce qui n’est pas possible de faire pour lever le statut d’immunité d’un monarque, qui devient dans les faits, une impunité, est nécessairement applicable aux parlementaires indociles. Quoiqu’on puisse dire, nous ne sommes plus dans une démocratie, mais dans une inquisition totale, qui tourne en plein régime, dans laquelle les consciences doivent être nécessairement aliénées pour parachever l’absolutisme ! Nous sommes bien dans une Assemblée servile, de service et des sinécures !
La caricature, les sarcasmes, les métaphores constituent nécessairement l’ossature croustillante et la colonne vertébrale de toute démocratie réelle. Macky Sall est un personnage singulier, atypique, déteste les contradictions. Il peut s’offrir le luxe d’écrabouiller les autres, mais l’inverse n’est guère autorisé. Il est suffisant, arrogant, autoritaire, nombriliste et imbu de sa propre personne. C’est un tic chez lui, telle une peau de chagrin qui l’enveloppe. Cela correspond parfaitement au personnage. On se souvient de lui en 2007. Il est fidèle à lui-même. Il ne changera pas. Il est égal à lui-même. Macky sall déclare : « je ne permettrai plus à personne de porter atteinte à l’image du chef de l’Etat », suite aux sorties caricaturales de l’ex ministre El hadji Amadou sall : « Macky veut le tuer, qu’il le tue, s’il veut le manger qu’il le mange, s’il veut manger, Omar Sarr,Madické Niang, Samuel Sarr, qu’il les mange… »
Mais pour qui donc se prend Macky Sall ? Un président de la république n’est pas un monarque. Il doit être nécessairement sous pression tant qu’il est aux commandes.
Macky Sall : « Je ne répondrai plus aux provocations et aux insanités ». Macky Sall sur la traque des biens mal acquis: « S’ils acceptent de retourner l’argent, il n’y aura aucun problème ». Apparemment, il parle plus qu’il ne travaille. Circulez, il n’y a rien à voir. Le couple présidentiel, l’idolâtrie ou le culte de personnalité injurieux. Veut-il égaler le couple présidentiel américain par une concurrence déloyale forcée ?
L’hommage ne se décrète point, ne s’impose pas sur une escroquerie. On ne le crée pas en toute pièce sur l’autel de la tartufferie. L’article de la constitution relatif aux fameuses offenses au chef de l’Etat n’est rien d’autre qu’une dérive supplémentaire du statut d’immunité du chef de l’Etat qui devient, en réalité, une impunité. Le chef de l’Etat peut mettre qui il veut en prison, mais personne ne peut rien faire contre lui. Son statut d’immunité est une dictature. Il doit être réformé purement et simplement. La liberté d’expression contenue dans notre constitution est un droit inaliénable, ne peut être, en aucun cas, un délit d’opinion. C’est une loi scélérate, qui émane du pouvoir monarchique napoléonien en France. Une telle loi obsolète n’existe qu’en Afrique des dictateurs. De la trahison du pouvoir du peuple à la vassalisation des chiens de garde pour l’honneur d’un totalitarisme. Le chapelet des boulimies de luxe laisse pantois par son caractère ridiculement ludique. Quelle sobriété ? Mais de qui se moque-t-on ? Contrairement, à ce que l’on peut penser, par naïveté, l’homme qui nous dirige maintenant, a été un acteur principal du magistère de son mentor, n’a nullement souffert des affres du magistère de son mentor, dont il a hérité, au contraire, une fortune immense que ne le sont les montagnes du Fouta Djallon, du moins, ce prétendu purgatoire a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui.
Que vaut donc ce matraquage politique, cet enfumage classique qui nous donne la mesure d’une soustraction totale du politiquement incapable, face à ses contradictions les plus criardes. Nous disons tout simplement que la prétendue gouvernance de pacotille n’engage que leurs auteurs, qui ne sont point à la hauteur. Le discours décousu, ne peut être de l’argent comptant. La sémantique « Bonne gouvernance » en dit long sur la culpabilité matérielle avérée des incubateurs de telles inepties. Que cela ne tienne, il n’y a rien qui tienne. Tout est faux jusqu’ici, c’est une escroquerie de basse facture. Tenez-vous bien. L’expression : « le procureur spécial » emphatiquement mis en valeur est remarquablement parlante. Face à cette surenchère d’une surabondance médiatico-politique, défroquée, loufoque, digne d’une tartufferie surréaliste, le sémiologue, scandalisé, éclaterait de rire devant ce spectacle amusant, pour divertir les sénégalais que l’on prend comme des moutons tondus et librement astiqués.
Nous le martelons toujours, En réalité, désormais, dans ce pays, le peuple vote, mais on peut lui enlever à tout instant son pouvoir par des mécanismes douteux. Un parjure. Autrement dit, il n’y aura plus de députés du peuple et pour le peuple, mais, à contrario, des godillots de Macky Sall. C’est une confiscation indirecte du pouvoir du peuple souverain, libre et indépendant, qui les a élus. C’est tout simplement indécent, voire même immoral politiquement. C’est donc une trahison pure et simple contre les consciences collectives qu’on tient à aliéner, par ricochet pour justifier l’injustifiable. On ne vote pas en fonction des intérêts politiques, exclusifs d’un président de la république. Il faut absolument un contre-pouvoir salutaire pour équilibrer les pouvoirs. Sinon, c’est terne.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ce même homme élu à défaut et par dépit, président de la république, dénie le statut de mérite à un homme d’honneur exceptionnel par son parcours, qui n’a commis que le seul crime de lèse-majesté pour avoir refusé poliment de le soutenir pendant la campagne électorale.
Les chefs d’accusation alambiqués, bidon, démontrent nettement et incontestablement une parodie de justice fortement instrumentalisée. Une inculpation burlesque, grotesque sur l’autel de la rengaine. L’intitulé du soubassement décousu est tout simplement une pièce à conviction d’un dossier qui ne tient que sur du fil. Tout est y. C’est les preuves matérielles d’une justice agissant à géométrie variable et qui travaille sur commande recommandée d’un exécutif, juge et partie, qui se dégonfle, se déculotte publiquement. Le droit n’est pas dit, mais c’est plutôt, le politique qui dirige tout. Le président les nomme, mais le pouvoir judiciaire exécute les ordres dictés. En vérité, c’est « un crime politique » abominable, contre un innocent, contre lequel, une pierre deux coups est nécessaire pour l’accabler, l’achever définitivement, le dépouiller financièrement et le tuer politiquement.
En réalité, parfois, contre toute attente, les vrais criminels ne sont pas ceux que l’on croit, mais ceux que l’on ne croit pas, car les plus dangereux, d’entre eux, se couvrent le plus souvent, derrière une honorabilité apparente. Il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des crimes impunis. C’est le lieu de le dire. On maquille les vraies raisons de sorte que les mensonges cousus de fil blanc soient inversés, blanchis, exclusivement et exceptionnellement comme des vérités éternelles pour les besoins du service. Alors qu’il n’y a nullement la moindre parcelle de vérité de ce qu’ils avancent. Pendant ce temps, la justice ne pipe mot sur le commanditaire principal des chèques émis, parce qu’il bénéficie d’une prétendue immunité permanente. Une justice, à deux vitesses à double standard. Dites donc, une immunité qui devient une impunité ! Alors, quand les charniers de mensonges nous tiennent !
En Afrique, le traitre a toujours le vent en poupe, il est honoré, « labellisé », victimisé, adulé, change sa trajectoire en fonction de la météo, tant qu’il défend exclusivement des intérêts extérieurs sur fond de prestige et de notoriété. A contrario, le véritable combattant, agissant pour les intérêts légitimes de la majorité, est systématiquement dénigré, traité de tous les noms d’oiseau. On lui dénie son statut de héros sous de faux postulats. C’est la conséquence des consciences aliénées par la tyrannie codifiée d’un fascisme anachronique. Lorsqu’il meurt, il devient extraordinairement un héros.

Le combat continue !
Ahmadou Diop




4.Posté par schwarzeraal le 17/02/2013 17:19 | Alerter
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cette regle ne s´applique qu´au senegal, rester au pouvoir ,etre celebre et laisser sa tete á la garde robe.tournez vous du coté oú les citoyens ne sont pas transportés comme des moutons dans des camions ou cars pour aller voter , ils n´y vont par amour de massamba ou demba mais par conscience et vous saurez ce qu´est une coalition civilisée au service de son peuple. ce qui se passe chez nous est un theatre de singes.au lieu de se consacrer aux taches qui les attendent comme promis BBY nous met du sable dans les yeux avec leurs querrelles.

5.Posté par bbb le 17/02/2013 20:08 | Alerter
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niasse a eu 13% au 1er tour; macky a eu 26%; soit le doubble; en matiere de postes, les amis de macky ont pris les 80%; je me demande prkoi les aperistes pestent sur les postes de leurs alliers...

6.Posté par schwarzeraal le 17/02/2013 22:28 | Alerter
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personne ne doit pester dans la coalition. ils ont été élus pour regler nos problémes . s´ils ne sont pas capables et intelligents pour apporter des solutions on les fout dehors. ces singeries ne doivent pas continuer jusqu´en 2017 pour á nouveau nous promettre monts et merveilles alors que rien n´a été reglé. comme leuk le liévre qui qui proposait á boukki les quatres poissons de demain au lieu de lui donner les deux d´aujourdhui. nos politiciens nous prennent pour des imbéciles, ignorants.BBB la campagne electorale est longtemps terminée . l´heur est au travail.ces pourcentages ne comptent plus.

7.Posté par Wane le 17/02/2013 23:43 | Alerter
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Si c'est vrais que Idrissa prépare ses tournées dans les 584 collectivités locales du pays ,si c'est vrais maky est foutu

8.Posté par suziemariage le 19/02/2013 19:06 | Alerter
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