Ils exigent aussi la suppression des laissez-passer, qui se vendent à 500 francs à Rufisque, compte tenu de l’autoroute à péage. Le syndicat déplore également l’absence de concertation sur le nouveau code des impôts et exige l’amélioration de la décentralisation des services du centre de contrôle technique des automobiles. Les chauffeurs réclament au pouvoir, d’après M. Ndiaye, la mise en place d’un bureau d’embauche mais surtout la diminution des tarifs d’accès à l’autoroute à péage.
Fatou Camara
Fatou Camara