C'est par ces mots que s'est exprimé l'ambassadeur Souleymane Jules Diop, un des médiateurs de l'ombre pour la libération d'Ousmane Sonko et compagnie, dans un post sur sa page Facebook.
Selon l'ancien ministre, il appartient aux Sénégalais de choisir leur Président. Et voilà pourquoi il est d'avis, qu'une "procédure achevée, celle idéale, serait celle qui permette à Ousmane Sonko et à Karim Meissa Wade de compétitionner valablement, parce qu'ils en ont le droit. Les Lois qui nous gouvernent sont celles des hommes. Elles sont susceptibles d'évoluer dans l'espace et dans le temps. Le genre humain lui-même, n'est pas éternel. Parler donc de clause d'éternité, est en soi, un non-sens".
Et de poursuivre : "Refuser à des hommes un droit qui leur est acquis, refuser aux Sénégalais le droit de choisir celui qui auraient aimé comme Président en la circonstance, est en soi plus grave que la mise en parenthèse provisoire des dogmes que nous cherchons à sanctuariser".
Premier membre du regime à demander au Président Sall d'aller vers une Loi d'amnistie générale, l'ambassadeur, Chef de mission à l'Unesco, estime que "tout le monde a erré, mais qui plus que les membres du Conseil constitutionnel ?".
Selon l'ancien ministre, il appartient aux Sénégalais de choisir leur Président. Et voilà pourquoi il est d'avis, qu'une "procédure achevée, celle idéale, serait celle qui permette à Ousmane Sonko et à Karim Meissa Wade de compétitionner valablement, parce qu'ils en ont le droit. Les Lois qui nous gouvernent sont celles des hommes. Elles sont susceptibles d'évoluer dans l'espace et dans le temps. Le genre humain lui-même, n'est pas éternel. Parler donc de clause d'éternité, est en soi, un non-sens".
Et de poursuivre : "Refuser à des hommes un droit qui leur est acquis, refuser aux Sénégalais le droit de choisir celui qui auraient aimé comme Président en la circonstance, est en soi plus grave que la mise en parenthèse provisoire des dogmes que nous cherchons à sanctuariser".
Premier membre du regime à demander au Président Sall d'aller vers une Loi d'amnistie générale, l'ambassadeur, Chef de mission à l'Unesco, estime que "tout le monde a erré, mais qui plus que les membres du Conseil constitutionnel ?".