La Chambre criminelle de Louga a condamné hier, Hawo Kâ à 15 ans de travaux forcés. Il avait mortellement poignardé son ami Saliou Kâ devant un bar. Les faits remontent au 14 novembre 2016, à Dahra Djolof.
Relativisant devant la barre sa responsabilité, il a avoué avoir poignardé son ami, Saikou Kâ, trouvé au bar Chez Joe. L’acte de réclamation d’une dette, d’après Hawo Kâ, a énervé son ami qui s’était mis à l’injurier et à l’attaquer.
Mais le seul témoin des faits qui se trouve être le gérant du bar, a rejeté son argument de défense. Décrivant Hawo Kâ comme un jeune belliqueux, il précise que cette nuit-là, le prévenu voulait une bouteille d’alcool à crédit. Puisqu’il était à court d’argent. Poursuivant, il indique qu’en rejetant sa demande, il avait constaté que Hawo était dans un état de colère démesurée.
Quelques instants après sa sortie du bar, le témoin dit être alerté par le bruit, devant le portail. Et partant aux nouvelles, il avait vu Saikou Kâ, couvert de sang et titubant, avant de rendre l’âme.
Ainsi, le parquet général dans son réquisitoire, a exposé les conclusions du certificat de genre de mort. Ledit certificat révèle que l’accusé a visé et atteint une des parties vitales de son ami.
L’accusé a finalement, écopé de 15 ans de travaux forcés, assortis de 10 millions d’intérêts civils.
Leral
Relativisant devant la barre sa responsabilité, il a avoué avoir poignardé son ami, Saikou Kâ, trouvé au bar Chez Joe. L’acte de réclamation d’une dette, d’après Hawo Kâ, a énervé son ami qui s’était mis à l’injurier et à l’attaquer.
Mais le seul témoin des faits qui se trouve être le gérant du bar, a rejeté son argument de défense. Décrivant Hawo Kâ comme un jeune belliqueux, il précise que cette nuit-là, le prévenu voulait une bouteille d’alcool à crédit. Puisqu’il était à court d’argent. Poursuivant, il indique qu’en rejetant sa demande, il avait constaté que Hawo était dans un état de colère démesurée.
Quelques instants après sa sortie du bar, le témoin dit être alerté par le bruit, devant le portail. Et partant aux nouvelles, il avait vu Saikou Kâ, couvert de sang et titubant, avant de rendre l’âme.
Ainsi, le parquet général dans son réquisitoire, a exposé les conclusions du certificat de genre de mort. Ledit certificat révèle que l’accusé a visé et atteint une des parties vitales de son ami.
L’accusé a finalement, écopé de 15 ans de travaux forcés, assortis de 10 millions d’intérêts civils.
Leral
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
