leral.net | S'informer en temps réel

Macky Sall: "Le Sénat pourrait revenir si…"

Dans un entretien qu’il a accordé au site Allafrica, Macky Sall soutient que le Sénat pourrait revenir un jour si les conditions le permettent. Voici un extrait de cet entretien :


Rédigé par leral.net le Samedi 29 Septembre 2012 à 14:41 | | 3 commentaire(s)|

Macky Sall: "Le Sénat pourrait revenir si…"
« A l’avenir, si nos conditions économiques s’améliorent, on peut considérer ramener le Sénat, mais cette fois, ses membres seraient élus. Ce serait une véritable chambre législative. Pour l’instant, nous avons d’autres priorités comme donner des maisons aux sans-abri, la création d’un système de protection pour ces derniers et la création des emplois pour les jeunes .

Et pour toutes ces raisons, il était nécessaire de se débarrasser du Sénat. J’apprécie vraiment que l’Assemblée nationale ait appuyé mon projet de loi portant suppression du Sénat, de la vice-présidence et autres.

Seule l’Assemblée nationale suffit au Sénégal. Elle pourrait créer des lois, décider et a un droit de veto sur les actions du gouvernement. En outre, le budget de 7 milliards CFA annuel alloué au Sénat, c’est une grosse somme. Vous pouvez également signaler 70 milliards FCFA – ce qui équivaut à 140 millions de dollars des États-Unis – si l’on additionne ce montant pendant dix ans ».




1.Posté par schwarzeraal le 29/09/2012 15:10 (depuis mobile) | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

il faut laisser faire le temps,pomper cet argent dans l'economie senegalaise et les senegalais jugeront dans dix ans limite de votre mandat s'il faudra faire revenir le senat pour renforcer la democratie et non engraisser des parasites .

2.Posté par legend le 29/09/2012 15:49 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

1. Comment réussir sa vie, 2. Retrouver et développer la confiance en soi
3. Comment prendre le contrôle de votre esprit, 4. Les 11 lois du succès
5. Comment ne plus être victime du stress,
6. L'art de transformer sa vie 7.Supprimer peur et pensée négative
8. Influencer les autres, 9. La maîtrise de soi, 10. Comment Séduire
« Ces livres électroniques PDF changeront votre vie, envoi rapide par e mail » legendkom@gmail.com / (221) 77 505 79 40 / Prix : 2500 F CFA par ouvrage
LEGEND.COM, numéro 1 du Management des Ressources Humaines

3.Posté par citoyen le 30/09/2012 10:26 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.

A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.


Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

Nouveau commentaire :

Tout commentaire à caractère commercial, insultant, pornographique, raciste, homophobe, incitant à la violence ou contraire aux lois sénégalaises sera supprimé, Peut entraîner votre bannissement total du site