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Maison du Sénégal à New York : Mankeur accuse Wade et livre le projet de Macky

Après plusieurs accusations de l’opposition et de la presse sur la prétendue vente de la maison du Sénégal à New York par le président Macky Sall, le ministre des affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, en fin connaisseur du dossier, a tenu à éclairer la lanterne des sénégalais. Et dans un communiqué adressé à notre rédaction par son Service de communication et de documentation, le ministre a été très clair : Wade est le coupable et Macky, le sauveur…communiqué intégral ci-dessous


Rédigé par leral.net le Samedi 19 Octobre 2013 à 09:54 | | 17 commentaire(s)|

Maison du Sénégal à New York : Mankeur accuse Wade et livre le projet de Macky

 



maison sénégal new york COMMUNIQUE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ET DES SENEGALAIS DE L’EXTERIEUR EN REACTION AUX ALLEGATIONS UR LE PATRIMOINE DE L’ETAT A NEW-YORK
 
          En réaction aux allégations sur le patrimoine de l’État à New-York parues dans la livraison du quotidien Libération du 15 Octobre courant, le Ministère des Affaires Étrangères  souhaite faire la mise au point suivant :
          La décision de vendre la résidence du Représentant Permanent du Sénégal auprès des Nations Unies et de la Chancellerie est liée au projet immobilier lancé par le Président WADE et consistant à édifier la « Maison du Sénégal » à New-York.
          Après avoir acquis un terrain à la 44ème Rue à un prix jugé exorbitant (28 millions pour une assiette estimée à 11 millions de dollars), le Gouvernement du Président WADE n’a jamais pu procéder au montage financier pour la construction de l’immeuble parce que les banques de la place ont récusé  la valeur proclamée du terrain sur lequel devait reposer l’hypothèque.
          Après son accession à la magistrature suprême, le Président Macky SALL a fait le point  sur le dossier et a entériné la meilleure proposition parmi celles qui lui ont été présentées.
          Cette proposition consiste à faire aboutir le projet de la Maison du Sénégal à New-York sans en faire supporter le coût au Trésor public.
          La vente de deux propriétés à New-York (Résidence et Chancellerie) a servi à payer notamment, les frais de loyers de l’Ambassadeur, Représentant Permanent pour la durée de la construction de la Maison du Sénégal et surtout à acquérir à Washington une nouvelle Chancellerie et à réhabiliter la résidence de notre Ambassade dans la capitale américaine.
          Il faut préciser que le produit de la vente des propriétés à New-York a été placé sous séquestre dans un compte à New-York  pour éviter les pertes de change qui résulteraient de son transfert à Dakar. Lesdites pertes auraient facilement pu atteindre 15% du total si, le cas échéant, une autre opération de transfert avait été décidée pour payer les acquisitions de Washington.
          Récemment, le Président Macky SALL a également autorisé, à partir de ce compte, le paiement des honoraires dus aux avocats du Cabinet Ozen O’Connor, commis naguère par le Président WADE, pour faire bonne mesure avec le principe  de la continuité de l’Etat.
          S’agissant du procès pendant devant la Cour Suprême de l’Etat de New-York, il résulte de la mauvaise humeur  de la Société Glacier, opérateur initialement choisi pour édifier la Maison du Sénégal suivant le concept éprouve du BOT (construire, gérer, puis transférer).
          En réalité, seule une lettre d’intention avait été signée avec Glacier, à charge pour lui de procéder sous sa responsabilité, à une levée adéquate de fonds dans les deux mois suivant, la signature de la lettre d’intention.
          Nonobstant son incapacité  à respecter sa promesse, Glacier a cru devoir porter plainte après que le Sénégal a décidé  de mettre fin à la coopération avec lui.
          C’est cette procédure qui a retardé le démarrage  des travaux par le nouveau partenaire, Pride Builders.
          Dès que le contentieux aura été vidé, les travaux  démarreront puisque Pride Builders a déjà satisfait  à toutes les exigences liées à ce genre de projet. : autorisations légales, lettre de garantie  auprès d’une banque, plan architectural déjà entériné par la Mairie de New-York, etc. Il est prévu que dès son inauguration programmée en 2015, l’immeuble abritera les bureaux de la Mission Permanente auprès des Nations Unies et ceux du Consulat Général.
          Les 15 étages restants qui consisteront en des appartements résidentiels, seront loués pendant 5 années pour rembourser l’opérateur. Au bout de cette période, l’immeuble dans sa totalité reviendra au Sénégal en toute propriété.
          Le schéma entériné par le Président Macky SALL est, par conséquent, radicalement  différent du laborieux montage  de son prédécesseur qui, en sus du prix exorbitant d’acquisition du terrain, prévoyait non seulement, une rallonge supplémentaire de 15 millions de dollars de l’État du Sénégal pour faire les travaux de soutenance mais aussi une restitution de l’immeuble au bout de 25 ans d’exploitation par Bighorn, partenaire alors choisi par le Président WADE.
          En conclusion, il convient de retenir que la « Maison du Sénégal » dans sa nouvelle formule permettra à l’État du Sénégal de faire des économies substantielles sur les dépenses de souveraineté comme la prise en charge des délégations  officielles (hébergement et location de salles).
          Il est même prévu à terme, que les revenus tirés de l’exploitation de l’immeuble supportent une part significative du budget de certains de nos services extérieurs en Amérique (Ambassades, Représentations Permanentes, Consulat Général, Bureaux Militaires, Bureaux du Tourisme) sans oublier le soutien à nos communautés expatriées.
                      Le Service de communication et de documentation

( Les News )


1.Posté par barou le 19/10/2013 11:56 | Alerter
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clair et limpide ce mankeur est un homme d'état

2.Posté par DANGOTE AU CAMEROUN le 19/10/2013 12:23 | Alerter
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Cameroun - Un autre scandale à Douala : RODEO et DANGOTE même combat :: CAMEROON

Après la scandaleuse implantation de la Cimenterie Dangote sur base de corruption des membres du gouvernement et de certaines élites locales, la ville de Douala et ses habitants vivent actuellement un autre scandale sur le plan environnemental. Douala présente désormais le visage d’une ville à la dérive: une cité sans foi ni loi, gangrénée par la pollution, où le désordre est généralisé, le civisme absent, la corruption rampante, les industries polluantes et dangereuses implantées illégalement, les agressions quotidiennes, les incendies à répétition, les accidents meurtriers récurrents, les immeubles instables écrasant leurs occupants, les restaurants sur le trottoir, la gestion des déchets approximative, les transports en commun inexistants … Mais rassurons-nous selon le Délégué du Gouvernement cela ira mieux en 2025.

Encore une promesse. On nous avait promis la santé pour tous en l’an 2000, et pendant que nous attendons toujours, on nous annonce que le Cameroun sera émergeant en 2035. Quelle dérision.

C’est surement pour atteindre cette émergence que la société RODEO DEVELPPMENT LTD, dont le capital se répartit entre deux sociétés américaines et la SNH, construit un gazoduc traversant la ville. Sans respecter la législation environnementale en vigueur, exactement comme DANGOTE : on distribue des enveloppes et dès lors, on se croit tout permis. C’est également pour cette raison que le Ministre de l’Environnement HELLE Pierre a décidé de faire la guerre aux sacs en plastique, en rappelant que tout contrevenant sera puni d’une forte amende et d’emprisonnement à partir de …. 2014.

Comment peut-il se moquer ainsi des populations ? Comment une loi qui est bafouée par son propre département ministériel dans les cas de l’implantation de l’usine de cimenterie et de la construction du gazoduc connaîtra-t-elle un meilleur sort dans celui de la gestion des déchets ? Comment peut-il penser motiver les opérateurs économiques et les ménages sur ce sujet, quand il donne par ailleurs un mauvais exemple de non respect de la loi qu’il est chargé de faire appliquer ?

Dans l’affaire du gazoduc comme dans celle de la cimenterie, les travaux ont commencé alors que la phase de discussions visant à aplanir les préoccupations des populations n’était pas terminée. Alors que pour NDOGPASSI III, les familles déguerpies du site n’étaient pas encore indemnisées. Contrairement aux promesses du Ministre des Mines, Badel NDANGA NDINGA, celui-là même qui a orchestré en toute illégalité, la pose de la première pierre de la cimenterie DANGOTE, avec ses collègues Bello BOUBA MAÏGARI et Louis Paul MOTAZE.

Enveloppes pour les décideurs, intimidations et menaces pour les populations, lorsqu’elles veulent faire valoir leurs droits à être consultées pour les projets industriels et dangereux initiés dans leur voisinage. Conformément à la loi. A NDOGPASSI III, lieu d’implantation de l’usine RODEO, l’eau potable reste une denrée rare, l’électricité est accessible seulement au tiers des ménages, la collecte des ordures est inexistante et la connexion téléphonique irrégulière. A tous ces désagréments vécus quotidiennement, les populations non déguerpies doivent faire face en plus, aux dangers liés à la proximité de cette usine de gaz érigée sans délimitation d’un périmètre de sécurité : on y trouve des habitations jusqu’au niveau de la guérite !

Mais il y a pire. Si l’Etude d’Impact Environnemental du site de NDOGPASSI III a été escamotée, celle de la construction de son gazoduc de plus de 15 km, devant relier l’usine à ses clients dans les zones portuaire et industrielle de BONABERI, n’a tout simplement pas été réalisée. Les travaux à ce jour sont largement avancés. Les tuyaux jonchent les bords de la chaussée. Les employés et leurs machines s’activent chaque jour tout au long du tracé, à enfouir les tuyaux près des habitations, des écoles, des stations services, du chemin de fer, des immeubles de bureaux, des routes largement fréquentées, sans aucune information et sensibilisation des populations riveraines au tracé.

En guise d’exemple, le pipeline Tchad-Cameroun qui pourtant ne transporte que du pétrole brut difficilement inflammable et explosif, a été construit hors des zones habitées, dans des tranchées de 2 mètres de profondeur, avec une emprise de 10 à 15 mètres de part et d’autre du tracé, interdite à tout accès. Pour le gazoduc traversant Douala aucune de ces précautions n’a été prise. Aucune disposition légale n’est respectée.

Or le gazoduc, au même titre que la cimenterie, est une installation classée dangereuse - en raison du gaz qui est un produit qui peut facilement s’enflammer et exploser - soumise à la réalisation d’une Etude d’Impact Environnemental au cours de laquelle les populations doivent être consultées selon une procédure clairement définie par la loi, d’une Etude de Dangers et d’une enquête publique avec une nouvelle fois l’obligation de recueillir l’avis des populations. Toutes choses qui ne sont pas effectives dans ces deux projets.

Le Groupe DANGOTE s’entête à construire son usine de ciment à la Base Elf, refusant un autre site dont les travaux d’aménagements nécessiteraient des coûts supplémentaires. Pourtant on nous le présente comme un Groupe milliardaire. Il devient soudain fauché comme des blés, quand il peut faire des économies sur le dos des populations. De même pour RODEO, dont l’une des variantes du projet consistait à faire passer les tuyaux de gaz par les drains de la ville.

Trop cher pour les américains, pourtant milliardaires en dollars. Et la SNH ayant financé deux fois un avion sans que celui-ci soit livré et sans savoir quelle destination a prise l’argent, n’a plus un sou de plus à mettre dans un projet, uniquement pour les beaux yeux d’une population qui du reste, ne sera pas mise au courant.

Il faut pourtant rappeler que Douala a parfois frôlé la catastrophe ces dernières années : les couvercles des cuves de la SCDP près du Pont sur le Wouri ont sauté, créant une panique générale parmi les passants ; idem à la suite d’un écoulement important de produits au carrefour Agip ; le Chef de l’Etat a failli être la victime d’un grave incident d’origine électrique lors d’un discours Place du Gouvernement, les câbles électriques ayant été sectionnés lors des fouilles réalisées pour l’installation de sa tribune ; tout dernièrement, d’autres fouilles effectuées pour les travaux de pose de la fibre optique ont causé le sectionnement de la canalisation chargée d’alimenter l’aéroport de Douala en kérosène, répandant ce produit entre les habitations dont les occupants ont été déguerpis en catastrophe.

La prévention des risques n’est jamais intégrée aux différents travaux et projets réalisés dans la ville. C’est à chaud, lorsque les risques latents se sont déjà réalisés sous forme d’accidents, que les décisions sont prises, dans la précipitation, et toujours au détriment des populations. Or, des mesures de précaution élémentaires auraient l’avantage de pallier à l’avance, aux dérisoires moyens de protection civile de la ville, à l’inorganisation administrative et à l’absence de coordination entre les différents services de la ville.

Face à une administration aux ordres, aux élus serviles et atones, aux gestionnaires de la ville amorphes et incompétents en matière de gestion des risques urbains, il s’agit pour les populations de reconquérir la parole et d’exiger que les droits que leur confère la législation environnementale soient respectés. Seules leur réelle implication dans tous les processus en cours et leur forte mobilisation autour de ces enjeux pourraient mettre fin aux manquements, aux irrégularités et aux actes illicites posés par des opérateurs économiques véreux avec la complicité des autorités locales.

3.Posté par Chicago le 19/10/2013 12:24 (depuis mobile) | Alerter
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Les 5 ans que pride builders vous propose est tres utopique pour un BOT.C est un montage financier fantome tres irrealiste.A coup sur vous aller vous retrouver encore a un point de depart plus complique.

4.Posté par DANGOTE AU CAMEROUN le 19/10/2013 12:25 | Alerter
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Les premiers sacs de ciment de Dangote annoncés pour janvier 2014

Le milliardaire nigérian Aliko Dangote produira avant la fin de cette année 1 500 000 tonnes de ciment par an au Cameroun. De jour comme de nuit, des ouvriers s’activent sur le site de l’usine situé sur les berges du fleuve Wouri à Douala. Selon un contrôleur du chantier, l’usine de broyage de clinker en construction progresse bien et sera opérationnel d’ici la fin de l’année. Soit avec environ six mois de retard selon les premières prévisions qui étaient fixés au deuxième trimestre de 2013. Ce retard est dû aux nombreuses oppositions des riverains et des associations de défense de l’environnement qui n’avaient pas hésité à ester le géant nigérian en justice.

En effet, attiré par le leadership du Cameroun dans la sous région d’Afrique centrale, Aliko Dangote avait crée Dangote Industries (Cameroun) Ltd, une filiale de son groupe basé au Nigéria. Inoni Ephraim, l’ancien premier ministre va solliciter du milliardaire au cours d’une rencontre en 2008, la construction d’une usine de ciment au Cameroun pour juguler la pénurie que connaît le pays. L’homme d’affaire qui compte de nombreuses cimenteries ailleurs dans son portefeuille en Afrique accède à la demande. Il crée alors la Dangote Cement Plc qui est intégré à Dangote Industries (Cameroun) Ltd. Le 19 septembre 2011 trois conventions sont signées avec le ministère camerounais des mines et du développement technologique. Le site de la base Elf situé sur les berges du Wouri lui est proposé sur recommandation du président Paul Biya. Celui-ci est situé tout juste en face des Cimenterie du Cameroun, une propriété du groupe français Lafarge. Dangote s’engage alors à investir 57 milliards de Fcfa dans la construction d’une unité moderne de production de ciment.

Alors que les travaux sont lancés, il va subir des oppositions des communautés riveraines et des hommes politiques qui vont aboutir à des arrêts de travaux. L’arbitrage des tribunaux et l’aval du président Paul Biya lui donne raison, ouvrant la voie à la reprise des travaux. Aliko Dangote promet de livrer les premiers sacs de ciments produits au Cameroun en 2014.


5.Posté par laayelow le 19/10/2013 15:14 | Alerter
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il faut ètre naif ou dupe pr croire à ce que vient de raconter le ministre. et ce qui me fait rire, c'est que le monsieur dègage toute responsabilité sur le régime de wade alors qu'il était le directeur de cabinet de cheikh tidiane gadio et par conséquent comptable lui aussi de cette gestion de wade.
pr entrer maintenant ds le fond du texte, monsieur pointe du doigt les erreurs commises ds ce dossier durant le règne de wade et passe l'éponge sur celles qu'eux mème ont faites, par exemple le choix porté sur la première entreprise qui d'après le ministre n'est pas en mesure de respecter ses engagements; et pourtant à l'époque l'octroi de ce marché s'était fait par entente direct et aujourd'hui il n'est pas surprenant que cette affaire connaisse son épilogue devant la justice américaine...

6.Posté par Amina le 19/10/2013 15:26 | Alerter
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Mensonge encore, impossible de realiser ce projet selon le montage envisage,
Vous allez voir ca ne va pas se faire
On en reparlera

7.Posté par aw le 19/10/2013 23:22 | Alerter
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C'est vrai qu'il etait le direteur de cabinet de cheikh tidiane GADIO mais ca ne veut rien dire pour les gens qui connaissent le ¨Président Abdoulaye WADE ,c'est lui seul qui décide

8.Posté par PDS le 20/10/2013 02:13 | Alerter
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MANKEUR OU LE POKER MENTEUR

QUE DES MENSONGES. APRÈS CELA POURRA T IL CONTINUER À RESPIRER TELLEMENT QUE LE MENSONGE EST GROS.
POUR UN DIPLOMATE C EST GRAVE

9.Posté par MONIm le 20/10/2013 06:52 | Alerter
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maky degage et place à karim

10.Posté par abdoul aziz drame le 20/10/2013 08:47 | Alerter
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maky sall est plus positif que WADE dans ce dossier alors il faut arrété de prendre des Sénégalais pour des imbéciles. ce que vient de dire le ministre est plus logique que ce qu´'a fait WADE. comment WADE peut achéter un terrainá 28 millions de dollar, est que ce terrain en réalité coûte 11 millions de dollars aux contribuable Sénégalais. tout ce que ABDOULAYE WADE á fait ou posait comme actes dans sa majustrature 'c'est rien d'autre que de chercher á arnaquer , á détourner,nos biens á volé notre argent avec la com plicité de ses ministres voleur ainsi que son propre fils KARIM WADE .voila ce qui est une vérité que vous souteneurs de WADE ,DE KARIM ,et du PDS n'acceptent jamais par cemple raison que vous dissaiez jamais la vérité est que vous etez tous des menteurs et voleurs .il ne faut pas vous fatiguez á ecr´re dans l'internet penssant pouvoire tromper le peuple .non non non sa ne marcherta jamais car le peuple vous connaient et vous reconnaissent tous .alors dite á WADE ET Á KARIM de remboucer nos biens

11.Posté par butt le 20/10/2013 09:13 | Alerter
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la vocation d'un Etat ce n'est pas de faire du business en mettant en location des bâtiments. ça c'est le rôle des privés. l'Etat aurait du construire cet immeuble à dakar pour loger les fonctionnaires qui ont droit à un logement et qui sont aujourd'hui dans le désarroi. on n'a pas besoin d'un immeuble à new york

12.Posté par Elève ENA le 20/10/2013 12:18 | Alerter
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Ce Ministre vient de faire une énorme gaffe: il vient d'avouer que l'Etat a violé la loi sur les finances publiques sénégalaises, en faisant la compensation entre un produit de cession d'immeuble avec le prix d'une nouvelle acquisition immobilière: violation du principe de non compensation entre les recettes et les dépenses de l'Etat, en dehors des exceptions limitativement énumérées par la loi organique. Il pouvait éviter de parler pour éviter cet aveu gravissime. C'est dommage...Où sont les corps de contrôle: IGE, Cour des comptes, etc... et les bailleurs de fonds si prompts à crier sous tous les toits du temps de l'ancien régime? c'est bizarre..

13.Posté par MANKEUR MENTEUR le 20/10/2013 22:00 | Alerter
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L’Etat du Sénégal a acquis en 2009 un terrain ainsi que les droits aériens y attachés situés au 227-235 East 44th Street New york pour un montant de 12 milliards de FCFA .

Obtenir les droits, fonciers et aériens, au même prix, sur ce site aujourd’hui identifié comme prioritaire pour l’extension de l’Organisation des Nations-Unies, est à présent irréalisable puisque la valorisation faite aujourd’hui en 2013 est de 19 milliards FCFA.

Au-delà du prix d’acquisition, compétitif, cet investissement a été décidé après l’identification de certaines autres opportunités, tenant notamment à la proximité du siège des Nations-Unies, à la valorisation du projet et à l’amélioration considérable des conditions de l’hébergement officiel, que la clairvoyance commande de saisir.

IL N ÉTAIT NULLEMENT QUESTION DE VENDRE LA RÉSIDENCE DE L AMBASSADEUR POUR 9 MILLIONS USD A UN DE SES AMIS KANE DE LA BANQUE MONDIALE POUR LE REVENDRE 5 MOIS 17 MILLIONS USD . LE COMMUNIQUÉ EST MUET LA DESSUS.ON DEVAIT RÉHABILITER LES 2 PROPRIÉTÉS DE NEW YORK ET WASHINGTON DANS LE FINANCEMENT

Sur ce site, notre pays édifiera « La Maison du Sénégal », projet d’un montant de 27 milliards FCFA dans lequel l’Etat a consenti un apport sous forme de prêt de 7 milliards FCFA, avec des aménagements modernes aptes à accueillir les représentations diplomatiques, les missions officielles et les cérémonies de la communauté sénégalaise, à la hauteur de la vigueur de notre diplomatie et à l’image de beaucoup d’autres pays africains qui y sont parvenus.

Cet immeuble, qui comporte un auditorium ultramoderne dédiée aux conférences et aux cérémonies pour la communauté sénégalaise ou autre, réserve cinq (5) paliers à l’Ambassade du Sénégal auprès des Nations Unies et les deux derniers étages au Président de la République et à la délégation présidentielle évitant ainsi des coûts d’hébergement et d’hôtellerie tandis que les dix niveaux restants seront exploités par le partenaire contractuel et financier du Sénégal pour la durée du remboursement .

En effet, l’architecture financière préconisée permettra à cet immeuble de contribuer, par son exploitation partielle sur dix étages (B.O.T) et sur une durée de dix-sept (20) ans, au remboursement du coût de l’opération, avant une rétrocession qui achèvera de transférer au Sénégal la pleine de jouissance de sa propriété valorisée, après construction et aux conditions actuelles à la somme de 58 milliards de FCFA, sans compter la mise en valeur du terrain actuellement estimée à 19 milliards FCFA soit 77 milliards de FCFA après achèvement des travaux .

Il n’existait, donc, au 30 mars 2012, aucun litige ni aucune controverse, juridique ou judiciaire, relative à la propriété, entière et parfaite, exercée par l’Etat du Sénégal sur ce site.

Concernant le financement, il avait été décidé que le gouvernement du Sénégal apporterait sa part d’equity d’un montant de 7 milliards (environ 15 millions USD) remboursable en juin 2012. Ce montant a été inscrit dans le budget 2012.

Apres discussion avec le ministre des finances, et compte tenu de la tension de trésorerie, il avait arrêté qu' un hedge fund apporte les 7 milliards (comme pour l’acquisition en 2009) pour le compte du gouvernement et que l’Etat fasse le remboursement sur une période de 2 à 3 ans en lieu et place de juin 2012.

Le reste des 55 millions USD pour la construction devrait être apporté par bighorn capital sous forme de BOT. Il est préférable d’emprunter localement les 7 milliards avec une garantie bancaire offshore d’un hedge fund, plutôt que d’emprunter en usd par le biais de bighorn capital compte tenu des risques et des contraintes de transfert de titre de propriété.

14.Posté par MANKEUR MENTEUR le 20/10/2013 22:00 | Alerter
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L’Etat du Sénégal a acquis en 2009 un terrain ainsi que les droits aériens y attachés situés au 227-235 East 44th Street New york pour un montant de 12 milliards de FCFA .

Obtenir les droits, fonciers et aériens, au même prix, sur ce site aujourd’hui identifié comme prioritaire pour l’extension de l’Organisation des Nations-Unies, est à présent irréalisable puisque la valorisation faite aujourd’hui en 2013 est de 19 milliards FCFA.

Au-delà du prix d’acquisition, compétitif, cet investissement a été décidé après l’identification de certaines autres opportunités, tenant notamment à la proximité du siège des Nations-Unies, à la valorisation du projet et à l’amélioration considérable des conditions de l’hébergement officiel, que la clairvoyance commande de saisir.

IL N ÉTAIT NULLEMENT QUESTION DE VENDRE LA RÉSIDENCE DE L AMBASSADEUR POUR 9 MILLIONS USD A UN DE SES AMIS KANE DE LA BANQUE MONDIALE POUR LE REVENDRE 5 MOIS 17 MILLIONS USD . LE COMMUNIQUÉ EST MUET LA DESSUS.ON DEVAIT RÉHABILITER LES 2 PROPRIÉTÉS DE NEW YORK ET WASHINGTON DANS LE FINANCEMENT

Sur ce site, notre pays édifiera « La Maison du Sénégal », projet d’un montant de 27 milliards FCFA dans lequel l’Etat a consenti un apport sous forme de prêt de 7 milliards FCFA, avec des aménagements modernes aptes à accueillir les représentations diplomatiques, les missions officielles et les cérémonies de la communauté sénégalaise, à la hauteur de la vigueur de notre diplomatie et à l’image de beaucoup d’autres pays africains qui y sont parvenus.

Cet immeuble, qui comporte un auditorium ultramoderne dédiée aux conférences et aux cérémonies pour la communauté sénégalaise ou autre, réserve cinq (5) paliers à l’Ambassade du Sénégal auprès des Nations Unies et les deux derniers étages au Président de la République et à la délégation présidentielle évitant ainsi des coûts d’hébergement et d’hôtellerie tandis que les dix niveaux restants seront exploités par le partenaire contractuel et financier du Sénégal pour la durée du remboursement .

En effet, l’architecture financière préconisée permettra à cet immeuble de contribuer, par son exploitation partielle sur dix étages (B.O.T) et sur une durée de dix-sept (20) ans, au remboursement du coût de l’opération, avant une rétrocession qui achèvera de transférer au Sénégal la pleine de jouissance de sa propriété valorisée, après construction et aux conditions actuelles à la somme de 58 milliards de FCFA, sans compter la mise en valeur du terrain actuellement estimée à 19 milliards FCFA soit 77 milliards de FCFA après achèvement des travaux .

Il n’existait, donc, au 30 mars 2012, aucun litige ni aucune controverse, juridique ou judiciaire, relative à la propriété, entière et parfaite, exercée par l’Etat du Sénégal sur ce site.

Concernant le financement, il avait été décidé que le gouvernement du Sénégal apporterait sa part d’equity d’un montant de 7 milliards (environ 15 millions USD) remboursable en juin 2012. Ce montant a été inscrit dans le budget 2012.

Apres discussion avec le ministre des finances, et compte tenu de la tension de trésorerie, il avait arrêté qu' un hedge fund apporte les 7 milliards (comme pour l’acquisition en 2009) pour le compte du gouvernement et que l’Etat fasse le remboursement sur une période de 2 à 3 ans en lieu et place de juin 2012.

Le reste des 55 millions USD pour la construction devrait être apporté par bighorn capital sous forme de BOT. Il est préférable d’emprunter localement les 7 milliards avec une garantie bancaire offshore d’un hedge fund, plutôt que d’emprunter en usd par le biais de bighorn capital compte tenu des risques et des contraintes de transfert de titre de propriété.

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