Mais depuis son hospitalisation hier matin, ses proches ne sont pas plus rassurés : "Chirac est solide, il a une résistance insoupçonnée. Mais cette fois, je suis un peu inquiet" a déclaré au Parisien un proche de l'ancien président qui a désormais du mal à dissimuler son angoisse.
Et davantage que l'infection pulmonaire en elle-même, c'est surtout la répétition de ses pépins de santé qui inquiète encore plus sa famille et ses proches : "On sent qu'il n'a plus trop envie de se battre.
La mort de sa fille Laurence, en avril, l'a profondément affecté. Il n'entend plus grand-chose, se déplace en fauteuil roulant et a beaucoup maigri. Sa mémoire est complètement défaillante. Il vit vraiment au ralenti", reconnait même un intime de l'ancien président de la République.
Khary DIENE leral.net
Et davantage que l'infection pulmonaire en elle-même, c'est surtout la répétition de ses pépins de santé qui inquiète encore plus sa famille et ses proches : "On sent qu'il n'a plus trop envie de se battre.
La mort de sa fille Laurence, en avril, l'a profondément affecté. Il n'entend plus grand-chose, se déplace en fauteuil roulant et a beaucoup maigri. Sa mémoire est complètement défaillante. Il vit vraiment au ralenti", reconnait même un intime de l'ancien président de la République.
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