En poste depuis 2006, Joachim Löw restera encore le sélectionneur de l'Allemagne. Malgré l'élimination dès le premier tour de la Coupe du monde, le technicien de 58 ans, soutenu par sa fédération, veut poursuivre sa mission.
Le mandat de Joachim Löw à la tête de la Nationalmannschaft, débuté en 2006, n'est pas encore terminé. Malgré le fiasco de la Coupe du monde 2018, avec une élimination dès le premier tour dans un groupe homogène mais abordable (Mexique, Corée du Sud, Suède), le sélectionneur allemand va rester en poste, indique Sport Bild.
Cible de nombreuses critiques depuis cette élimination, le coach de 58 ans a quand même décidé de poursuivre sa mission, avec le but de rectifier le tir dès l'Euro 2020. Löw, champion du monde en 2014, a reçu le soutien appuyé de sa fédération, qui avait prolongé son contrat jusqu'en 2022 avant le début du Mondial.
"Personne mieux que lui ne peut gérer la reconstruction qui sera indispensable"
"Nous pensons que personne mieux que lui ne peut gérer la reconstruction qui sera indispensable après le Mondial quoi qu'il arrive, avait déclaré Reinhard Grindel, le président de la fédération, avant le match contre la Corée du Sud (0-2). Il y a un an, il a prouvé en gagnant la Coupe des confédérations, qu'il était capable de former une équipe impressionnante pratiquant un excellent football avec de jeunes joueurs. Ces raisons sont toujours valables."
Rmc
Le mandat de Joachim Löw à la tête de la Nationalmannschaft, débuté en 2006, n'est pas encore terminé. Malgré le fiasco de la Coupe du monde 2018, avec une élimination dès le premier tour dans un groupe homogène mais abordable (Mexique, Corée du Sud, Suède), le sélectionneur allemand va rester en poste, indique Sport Bild.
Cible de nombreuses critiques depuis cette élimination, le coach de 58 ans a quand même décidé de poursuivre sa mission, avec le but de rectifier le tir dès l'Euro 2020. Löw, champion du monde en 2014, a reçu le soutien appuyé de sa fédération, qui avait prolongé son contrat jusqu'en 2022 avant le début du Mondial.
"Personne mieux que lui ne peut gérer la reconstruction qui sera indispensable"
"Nous pensons que personne mieux que lui ne peut gérer la reconstruction qui sera indispensable après le Mondial quoi qu'il arrive, avait déclaré Reinhard Grindel, le président de la fédération, avant le match contre la Corée du Sud (0-2). Il y a un an, il a prouvé en gagnant la Coupe des confédérations, qu'il était capable de former une équipe impressionnante pratiquant un excellent football avec de jeunes joueurs. Ces raisons sont toujours valables."
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