Mbaye Jacques Diop dans "la tasse au Quotidien"

Lui tire plus lent que son ombre. Sur une émission télévisée hebdomadaire, c’est lui-même qui étale ses frustrations ; d’abord, pendant longtemps chez les socialistes, il en a bouffé de toutes les couleuvres, jusqu’à l’entre deux tour de la Présidentielle en 2000. En renard politique, le chérif de Rio a très tôt quitté la barque socialiste, car un président sortant, quand ça va au second tour, c’est que le tour de la défaite est joué. Dans le camp libéral qu’il a rejoint, plus d’une décennie presque, ce sont encore des frustrations subies de la part d’un Pds « bolchévique » ; cette fois-ci, la « Jacquerie » politique du « fusionniste » se fera après la chute magistrale de son candidat. C’est à ce moment seulement que le chérif de Rio a décidé de reprendre sa liberté longtemps confisquée.
Mais, nak, en bon chérif de la bouillante ville de Rio, il n’entend pas se laisser faire par une Centif dont il ne piffe pas le rapport. C’est pourquoi, il entend saisir le Procureur pour se blanchir. Mille milliards de… Titeuf ! Tchô !!! »