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Me El Hadj Diouf : "Tous les autres partis ont le même agenda qu’Idrissa Seck"

C’est un Me El Hadji, direct dans ses propos, qui a réagi au clash annoncé et imminent entre le maire de Thiès, Idrissa Seck, et Macky Sall.


Rédigé par leral.net le Mercredi 11 Septembre 2013 à 14:53 | | 12 commentaire(s)|

Me El Hadj Diouf : "Tous les autres partis ont le même agenda qu’Idrissa Seck"
Tout en reconnaissant le courage du maire de Thiès, Me El Hadji Diouf semble dire qu’on a affaire à un jeu de dupe.

"Tous les partis dans la coalition ont le même agenda que Rewmi", fait savoir l’avocat politicien, ajoutant au passage que si demain "le Parti socialiste risque de perdre la mairie de Dakar, elle va sortir. Et idem, il y a l’Alliance pour la République qui veut la mairie de Dakar"

Nettali.net

( Les News )


1.Posté par matar le 11/09/2013 15:28 | Alerter
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Bien dit

2.Posté par sudoki le 11/09/2013 16:38 | Alerter
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wakh ga deugg diouf

3.Posté par Dioufy le 11/09/2013 17:21 | Alerter
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Do nite maitre

4.Posté par missal le 11/09/2013 17:46 (depuis mobile) | Alerter
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MAITRE pour les histoires POLITICIENES(LE TAPALE)vous avez vu juste mais pour la MAIRIE de DAKAR si le PR M SALL veut etre reelu en 2019 (J AI BIEN DIT 2019 etant elu pour 7 ANS) il n a qu a sponsorise KHALIFA SALL le candidat des DAKAROIS (NON DU PS)

5.Posté par noums le 11/09/2013 21:12 | Alerter
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Les intérêts de chaque partie sont clairement définis; ou est l’intérêt du peuple et de la population dans tout ça?

6.Posté par mili le 11/09/2013 21:30 | Alerter
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Je suis vraiment content de voir le leader de REWMI d'exprimer sa volonté de nous sauver des mains de Macky le féticheur.
Je suis prêt à t'accompagner dans cette lutte vers le palais.
Les Sénégalais sont fatigués

7.Posté par mili le 11/09/2013 21:30 | Alerter
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Je suis vraiment content de voir le leader de REWMI d'exprimer sa volonté de nous sauver des mains de Macky le féticheur.
Je suis prêt à t'accompagner dans cette lutte vers le palais.
Les Sénégalais sont fatigués.

8.Posté par mili le 11/09/2013 21:30 | Alerter
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Je suis vraiment content de voir le leader de REWMI d'exprimer sa volonté de nous sauver des mains de Macky le féticheur.
Je suis prêt à t'accompagner dans cette lutte vers le palais.
Les Sénégalais sont fatigués..

9.Posté par youpi le 11/09/2013 22:16 | Alerter
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ce qui est sure est qu'en 2000 Macky sall avait loué un studio à dieupeul et auj il pése 8 milliards .
ce qui est aussi sûre c'est que macky sall n'aura jamais un deuxiéme mandat dans ce pays .

10.Posté par elmi le 12/09/2013 09:34 | Alerter
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Idrissa Seck : La vraie histoire d’un homme politique longtemps incompris

D’autres comme Thomas Sankara, Patrice Lumumba ou encore Mamadou DIA ont été incompris et combattus. Ils ont été Isolés politiquement ou tués puisqu’ils avaient décidé de servir les masses et non un clan. Ils avaient en commun l’amour de leur patrie basée sur des ressources
africaines et sur un désir de briser les chaînes de la domination coloniale. Leur volonté inébranlable de servir humblement les populaces s’adossait sur l’éthique. A l’image de ces valeureux fils d’Afrique, Idrissa Seck a été aussi traqué et embastillé par un système politique pour avoir simplement commis le pêché de s’adosser sur des valeurs religieuses et morales afin de mener, dans la constance, son action politique.

Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de
l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.

De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.

Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé. Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ». Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.

S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.

« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».

Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.




Haby Sirah DIA

11.Posté par indo le 12/09/2013 10:29 | Alerter
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idy le pire des traitres qu'a connu le senegal

12.Posté par lamp le 12/09/2013 11:35 | Alerter
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tout ce que je sais est que idrissa seck est un homme incompris mais ce dont je puisse témoigner en toute franchise est que c'est un homme qui est fidéle en ses convictions et qui aime profondément ce sénégal. les gens sont amnésiques et oublie vite lorsqu'il s'est agi de dire non à wade il a été un de parmi ce qui ont défendu ce cher sénégal à la place de l'indépendance au péril de sa vie mm et beaucoup de jeunes compatriotes comme moi qui étaient là tous les jours bravant la mort savent de quoi je parle et il l'a fait au détriment de ses intérets politiques. je ne connais rien à la politique mais des hommes tels que lui talla sylla et ibrahima fall méritent beaucoup de respect.

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