Le commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle doit-il craindre pour sa vie? Cheikh Sadibou Keïta, qui, selon La Tribune, accuse son patron de la Direction générale de la Police nationale de collusion avec le milieu de la drogue, a été malmené par des policiers alors qu’il accompagnait ses fils. Des représailles plus corsées peuvent s’abattre à tout moment sur la tête de l’ancien chef de l’Ocrtis. Les signes avant-coureurs du danger qui guette l’officier de police étaient perceptibles le jour de sa passation de service avec son successeur au service chargé de la lutte contre le trafic de drogue. Certains houspilleurs, selon la source de nos confrères, avaient l’insulte à la bouche. Depuis le soulèvement de cette affaire, Keita est sujet à toutes sortes d’inimitiés et d’invectives dans les rangs de la police.
Pour rappel, le commissaire divisionnaire avait déclaré pouvoir faire face à toutes les situations. Il avait surtout dit à qui veut l’entendre qu’il n’avait pas peur. Sa vie n’est pas aujourd’hui de tout repos. Le camp d’en face n’hésite pas à lui jeter des peaux de banane à tout moment. Les narcotrafiquants sont-ils contents de l’ébruitement de cette affaire qui est en train de se répandre comme une traînée de poudre dans le monde ? L’on apprend, qu’à l’occasion des rencontres auxquelles il prend part, il est souvent indexé du doigt par des collègues licencieux qui lui collent le sobriquet de « menteur du corps de la police ». Mais l’ex-boss de l’Ocrtis semble n’avoir cure de tout cela.
Pour rappel, le commissaire divisionnaire avait déclaré pouvoir faire face à toutes les situations. Il avait surtout dit à qui veut l’entendre qu’il n’avait pas peur. Sa vie n’est pas aujourd’hui de tout repos. Le camp d’en face n’hésite pas à lui jeter des peaux de banane à tout moment. Les narcotrafiquants sont-ils contents de l’ébruitement de cette affaire qui est en train de se répandre comme une traînée de poudre dans le monde ? L’on apprend, qu’à l’occasion des rencontres auxquelles il prend part, il est souvent indexé du doigt par des collègues licencieux qui lui collent le sobriquet de « menteur du corps de la police ». Mais l’ex-boss de l’Ocrtis semble n’avoir cure de tout cela.