J’ai rencontré mon premier petit ami à 14 ans. Nous avions le même âge. Souvent, il m'amenait chez lui, se déshabillait, et me demandait d’en faire autant. Si je refusais, il se mettait dans une colère noire. Alors que j'étais en sous-vêtement, il s'adonnait à des plaisirs solitaires auxquels il voulait que je participe. Quand je rentrais chez moi, je me sentais tellement sale. Je prenais une douche, et me griffais le corps, que j’accusais d’être coupable de cette situation.
Puis notre histoire s'est terminée, mais j’ai continué à me scarifier. Dès que j'avais un excès de colère, je prenais des ciseaux, un cutter, un critérium ou un compas et je charcutais ma peau.
Cela me soulageait et me déchargeait de la haine, de la colère que j'avais en moi. Etonnamment, cela m'apaisait, car je ne ressentais aucune douleur, tant ma rage était forte.
Lorsque j’ai rencontré l’homme qui est aujourd’hui mon mari, j'avais 15 ans et demi. Je pratiquais encore l’automutilation. Lors de nos grosses disputes, pour ne pas m'en prendre à lui, je m'enfermais, prenais ce qui me venait entre les mains et me déchargeais. Mais j'ai décidé d'arrêter pour lui, parce qu’il ne le supportait plus. Ça a été vraiment difficile. Je ne suis pas sportive, je ne joue pas de musique, ne fume ni ne boit, et je ne trouvais pas le moyen de m’apaiser. D’ailleurs, aujourd’hui encore, je ne l’ai toujours pas trouvé. Que faire?
pschologies
Puis notre histoire s'est terminée, mais j’ai continué à me scarifier. Dès que j'avais un excès de colère, je prenais des ciseaux, un cutter, un critérium ou un compas et je charcutais ma peau.
Cela me soulageait et me déchargeait de la haine, de la colère que j'avais en moi. Etonnamment, cela m'apaisait, car je ne ressentais aucune douleur, tant ma rage était forte.
Lorsque j’ai rencontré l’homme qui est aujourd’hui mon mari, j'avais 15 ans et demi. Je pratiquais encore l’automutilation. Lors de nos grosses disputes, pour ne pas m'en prendre à lui, je m'enfermais, prenais ce qui me venait entre les mains et me déchargeais. Mais j'ai décidé d'arrêter pour lui, parce qu’il ne le supportait plus. Ça a été vraiment difficile. Je ne suis pas sportive, je ne joue pas de musique, ne fume ni ne boit, et je ne trouvais pas le moyen de m’apaiser. D’ailleurs, aujourd’hui encore, je ne l’ai toujours pas trouvé. Que faire?
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