Bocar Diallo, un réfugié politique sénégalais établi à Bolzano, a tragiquement perdu la vie, suite à une explosion dans l'usine d'aluminium appelée Aluminium Bozen. L’homme a subi des brûlures sur 57 % de son corps et il a été impossible de le sauver.
En Italie, un ressortissant sénégalais du nom de Bocar Diallo, a perdu la vie dans une explosion survenue à Aluminium Bozen. Le Jeune homme de 31 ans travaillait dans cette usine d'aluminium. Il avait des brûlures sur plus de 57 % de son corps. Acheminé au service des grands brûlés de l'hôpital de Vérone, il y perdra la vie ce 23 juin 2024. Trois autres de ses collègues de travail, sont actuellement dans un état grave.
Suite à l'accident, les syndicats ont fait grève pendant 8 heures, lundi 24 juin2024, sur le site de l'usine d'Aluminium et pendant quatre heures, dans l'ensemble du secteur métallurgique de la région du Haut Adige, renseigne "Infos Migrants", lit-on dans Igfm.
La Fiom (Fédération internationale des organisations de travailleurs de la métallurgie) a annoncé qu'elle se porterait partie civile au procès pénal. "On ne peut pas mourir au travail ! Nous avons dû le répéter trop souvent ces dernières années", a déclaré le syndicat. "Il est temps d'agir. Nous devons renforcer la sécurité pour éviter qu'une tragédie similaire ne se reproduise", a-t-il indiqué.
En Italie, un ressortissant sénégalais du nom de Bocar Diallo, a perdu la vie dans une explosion survenue à Aluminium Bozen. Le Jeune homme de 31 ans travaillait dans cette usine d'aluminium. Il avait des brûlures sur plus de 57 % de son corps. Acheminé au service des grands brûlés de l'hôpital de Vérone, il y perdra la vie ce 23 juin 2024. Trois autres de ses collègues de travail, sont actuellement dans un état grave.
Suite à l'accident, les syndicats ont fait grève pendant 8 heures, lundi 24 juin2024, sur le site de l'usine d'Aluminium et pendant quatre heures, dans l'ensemble du secteur métallurgique de la région du Haut Adige, renseigne "Infos Migrants", lit-on dans Igfm.
La Fiom (Fédération internationale des organisations de travailleurs de la métallurgie) a annoncé qu'elle se porterait partie civile au procès pénal. "On ne peut pas mourir au travail ! Nous avons dû le répéter trop souvent ces dernières années", a déclaré le syndicat. "Il est temps d'agir. Nous devons renforcer la sécurité pour éviter qu'une tragédie similaire ne se reproduise", a-t-il indiqué.