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Moustapha Niasse et Aminata Tall dénoncent une ’’campagne déguisée’’ sur la RTS

Les candidats déclarés à la présidentielle de février 2012 Moustapha Niasse de Bennoo Siggil Senegaal Moustapha Niasse et Aminata Tall (indépendante), ont dénoncé, mercredi, ’’la campagne déguisée’’ du chef de l’Etat et des membres du gouvernement à travers la télévision publique, la RTS.


Rédigé par leral.net le Mercredi 18 Janvier 2012 à 13:35 | | 6 commentaire(s)|

Moustapha Niasse et Aminata Tall dénoncent une ’’campagne déguisée’’ sur la RTS
‘’La loi doit être égale pour tous mais ce sont ceux qui sont au sommet de l’Etat qui sont les premiers à la violer’’, a dit Moustapha Niasse, au cours de la rencontre entre le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) et les représentants des partis politiques.

‘’C’est plus qu’une propagande déguisée. C’est une campagne électorale avant l’heure avec la diffusion par la RTS tous les jours des moindres activités du gouvernement’’, a poursuivi M. Niasse.

Le candidat de Bennoo Siggil Senegaal a souligné la mission ‘’difficile et périlleuse’’ du CNRA, dans ce contexte électoral qui ,selon lui, doit ’’être à cheval avec des prétendants normaux mais aussi juge de l’évènementiel par rapport à la loi’’.

Relevant une ‘’contradiction’’ entre les dispositions de l’article L63 du code électoral et les tournées économiques et sociales et le dernier alinéa dudit article, Aminata Tall a invité le CNRA à ’’ne pas tomber dans le piège’’.

‘’Il ne faut pas tomber dans le piège pour dire que ces tournées sont permises, alors qu’elles sont des moyens pour faire de la propagande ou de mobilisation et de déclaration’’, a dit Aminata Tall.

‘’Exercer ses fonctions est une chose, et les exercer pour faire de la campagne déguisée en est une autre. Le CNRA doit à ce moment s’autosaisir et disposer d’instruments pour dire non +vous n’avez pas le droit faire ça+’’, a-t-elle ajouté.

Les deux candidats à la prochaine présidentielle se sont toutefois gardés de jeter l’entière responsabilité sur la chaîne publique.

‘’La RTS a la particularité d’être un média d’Etat et elle est toujours sous une forte pression de la part de l’Etat’’, a regretté Mme Tall.

Pour sa part, Moustapha Niasse estime qu’il serait ‘’injuste de mettre tous les travailleurs de la RTS sous le chapeau des pratiques insidieuses non sans leur rendre hommage’.

Source: APS



1.Posté par Bira le 18/01/2012 13:42 (depuis mobile) | Alerter
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Ibrahima Sall n'est pas économiste puisqu'il n'a pas fait Sciences Eco. Il a fait Administration Économique à Bordeaux. Et il a toujours été un étudiant médiocre, très pâle. Opportuniste qu'il est, il avait rejoint Abdou  Diouf pour qques mois en 199

2.Posté par rone66 le 18/01/2012 15:49 | Alerter
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Aminata n'arrive pas à faire passer personnellement des messages politiques. Quant elle apparaît sur les écrans TV elle donne l'impression d'avoir reçu un choc et perdu la mémoire ! Est-ce qu'elle fume

3.Posté par rone66 le 18/01/2012 15:52 | Alerter
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Elle a encore perdu une occasion de se taire, elle s'enfonce de plus en plus, pauvre femme, le gouvernement doivent être contents qu'elle soit chez elle

4.Posté par rone66 le 18/01/2012 15:59 | Alerter
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Cela s'appelle être aphone Comme Niasse, Aminata... Et ses leaders d’opposants tous atteints de la maladie du singe... "Je n'entends rien... Je ne vois rien... Et je ne fais que dire n'importe quoi

5.Posté par schwarzeraal le 18/01/2012 19:51 | Alerter
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pourqoui ne se sont ils pas battus ou dénoncé cette pourriture de tout diriger et se tailler la grande partie du gateau quand ils étaient au pouvoir , ils doivent cesser de me prendre pour un imbécile.je voterai you le 26 fevrier 2012 inchallah

6.Posté par le solitaire le 18/01/2012 21:18 | Alerter
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Le syndrome socialiste

A la veille de la grande messe de février, le parti au pouvoir, le parti de l’opposant historique est traversé par les mêmes déchirures qui ont perdu le parti socialiste.
Dans un mouvement allant cresendo, le parti dévore ses propres enfants.
En 10 ans, le PDS a effacé de son paysage des gens qui ont contribué à son essor tels que Moustapha Diakhaté, Idrissa Seck, Lamine Ba, Macky Sall, Aminata Tall, Cheikh Tidiane Gadio et tant d’autres valeureux hommes.
De grands défenseurs du parti sont devenus aphones, se limitant à des déclarations ambigües qu’explique leur mise à l’écart.
Des maîtres chanteurs montent au créneau et pointent le doigt vers Wade :
« C’est notre leader ou le chaos » disent en chœur les partisans de Baldé. « Attention, c’est moi ou le chaos » crient Abdou Fall et Mamadou Sidibé dans les radios que décide de bouder le patron des radios, Guirassy fils.
Les profiteurs se positionnent et promettent à Wade, la victoire au premier tour.
Tout le monde entonne ce refrain et le seul à y croire et qui déploie force et énergie en vue de sa réalisation, est bien le Président Wade.
Ceux qu’il a enrichis pendant 10 ans, sont soit en face de lui, soit en posture de départ vers d’autres horizons où ils nieront leur fidélité à Wade pour y embrasser les pieds du nouvel élu.
Les deux mamelles nouricières de la fronde contre Wade sont le PDS et ses alliés des vingt cinquième heures.
Du nord au sud du Sénégal, les militants du PDS se déchirent dans leurs instances, au sein de leurs permanences. Une fois dehors, plus de PDS ! Dans mon quartier, qui est celui du président et de sa famille, point de militants PDS qui arpentent les rues.
Le siège de Karim Wade est comme une maison hantée que ne fréquentent que les vieilles femmes et les jeunes désoeuvrés.
Les responsables du PDS sont « protégés » du peuple par une armée de nervis, l’insulte à la bouche. Il est devenu plus aisé de rencontrer Wade que ces nantis, riches comme Crésus. Et pourtant, pas un centime ne glisse de leurs mains vers le peuple. Il n’y a qu’un seul homme généreux au PDS, avec l’argent du peuple : Maître Abdoulaye Wade.
Tous ceux qui sont avec et autour d’Abdoulaye Wade et de sa famille, s’enrichissent outre mésure. C’est là que s’explique leur soutien à la candidature de Wade à un troisème mandat anticonstitutionnel. Wade au pouvoir est pour eux, un enrichissement certain.
Les rats qui entourent Wade sont aussi ces alliés des vingt cinquième heures, arrivés aux côtés de Wade quand tout était fini.
Djibo Kâ, Cheikh Tidiane Sy, Ousmane Ngom, Doudou Ndir, Iba Der Thiam, Aïda Mbodj, Sada Ndiaye, Adama Sall et tous ceux qui ont été vomis par le parti socilaliste au lendemain de l’alternance.
Bien logés par le SOPI, répus et engraissés, ils préparent l’alternance de l’alternance car ils sont toujours du côté du vainqueur. Pour le moment, ils constituent les contre valeurs avec lesquelles, Wade veut gagner au premier tour s’il vous plait.
Cette fois-ci, les seuls djinns sénégalais seront incapables d’assurer à Wade la victoire qu’il escompte. C’est avec tristesse que l’on voit, faute de combattants disponibles, le premier ministre débouller tête baissée dans une radio de la place et dire que Wade n’a pas besoin de consignes de vote, que l’excellent écrivain Mody Niang est un mauvais exemple ou que les décus sont des maîtres chanteurs et que Youssou Ndour devrait aller…chanter !
En 2 phrases, ce directeur de campagne se fait plus de 2 millions d’ennemis et oblige son président de candidat, de se rattraper sur le tard, en se démarquant de tels propos. Le premier ministre a plus sa place dans l’arene que dans la politique.
En définitive, comment un Abdoulaye Wade peut il gagner l’élection de 2012 au premier tour, face à au moins 10 valeureux candidats en ayant en bandoulière, un premier ministre tel que SDD, des ministres tels que nous les connaissons, un parti en lambeau, des départs massifs, un manque de soutien caractérisé aux véritables partisans, des militants d’une indiscipline extraordinaire et des «alliés » qui veulent tous être quatrième président.
Face à tous ces fardeaux qui lui seront fatals, le conseil constitutionnel lui rendrait un grand service en invalidant sa candidature.
Et encore, nous n’avons parlé ni d’âge, ni de santé, ni de droit et encore moins de la SEULE ET ETERNELLE CONSTANTE !
Oui, Wade doit gagner et, au premier tour sinon, tous ceux qui ont accroché leur destin à celui de cet homme, vont plonger dans les abysses du désespoir.
Un cagoulard qui mange à la table de Laye.

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