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"Niasse n'a jamais demandé le poste de Président de l'Assemblée nationale"

Membre du bureau politique de l'Afp, Mbaye Dione sort de sa réserve pour prendre la défense de son mentor sur le débat autour de la présidence de l'Assemblée nationale.


Rédigé par leral.net le Lundi 16 Juillet 2012 à 11:19 | | 6 commentaire(s)|

"Niasse n'a jamais demandé le poste de Président de l'Assemblée nationale"
«Les sénégalais ont fait confiance à un régime et après 12 ans, ils l'ont sanctionné, il appartient au nouveau régime d'apporter les ruptures nécessaires. Si le Président Macky Sall a choisi le président Moustapha Niasse pour qu'il dirige la liste majoritaire de Benno Bokk Yakaar aux législatives, il l'a fait en tenant compte de plusieurs paramètres. C'est compte tenu de son vécu, de son aura, de son engagement à servir le Sénégal, mais également des résultats qu'il a engrangés, lors du premier tour de la Présidentielle. Moustapha Niasse a eu un peu plus de 13%. Parmi les 14 candidats, il s'est classé 3ème. Il devait être utile pour le Président de la république. Niasse n'a jamais été demandeur. Quand il s'est agi d'aller en Coalition avec Benno Bokk Yakaar », un débat a été posé au sein de l'Afp. A l'arrivée, les gens avaient convenu que nous devions accompagner le Président Macky Sall dans cette dynamique de victoire. Jusqu'à la veille du dépôt des listes, le nom de Moustapha Niasse ne figurait pas dans la première monture. Sur les 9 sièges qui étaient dévolus à la coalition Benno Siggil Sénégal, l'Afp ne s'était retrouvé qu'avec un seul siège. Et le parti avait décidé d'investir le Président Alioune Sarr. Macky Sall s'étant rendu compte que le Président Moustapha Niasse ne figurait pas sur la liste, il l'a appelé personnellement. C'était à la veille du dépôt des listes. Il a envoyé une délégation au président Moustapha Niasse pour lui demander d'accepter de diriger cette liste. » explique Mbaye Dione dans Le Populaire du jour.



1.Posté par Faty le 16/07/2012 12:28 (depuis mobile) | Alerter
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Pr moi niasse est capable de gérer l assemblée. Ke ls gens arrêtent si Macky ne connaissait ps ses compétences tt cela n aurait ps lieu. Donc ds gens comme mcl n ont rien a dire

2.Posté par google le 16/07/2012 16:37 | Alerter
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Mbaye Dione a parfaitement raison, Niasse n'a jamais demandé ce poste alors qu'on lui colle la paix!
Et puis ou sont les autres de l'afp ? pourquoi c'est mbaye dione qui parle ? ou sont les malick diop ?

3.Posté par Abdoun le 16/07/2012 16:45 | Alerter
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Moustapha Cissé LÔ un Doudou Wade bis à l'assemblée nationale,nous n'en voulons pas,tout le monde a vu comment les libéraux de Wade ont banalisé cette institution,Nguir yalla seul un grand républicain de la trempe de Niasse ou Tanor peuvent redorer le blason perdu de cette auguste institution

4.Posté par Abdoun le 16/07/2012 16:45 | Alerter
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Moustapha Cissé LÔ un Doudou Wade bis à l'assemblée nationale,nous n'en voulons pas,tout le monde a vu comment les libéraux de Wade ont banalisé cette institution,Nguir yalla seul un grand républicain de la trempe de Niasse ou Tanor peuvent redorer le blason perdu de cette auguste institution

5.Posté par Ahmadou Diop le 16/07/2012 17:56 | Alerter
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PS : « sur l’affaire Moustapha Cissé Lô »

D’une part, nous avons envoyé deux contributions à publier dans les colonnes du présent journal sur la question pressante, mais pour des raisons que j’ignore, elles ne sont pas diffusées.

D’autre part, n’oublions pas que l’éminent grammairien, le Pr Omar Sankharé est membre du parti socialiste [PS]. On peut donc s’interroger sur les arrières pensés possibles de tels propos. Rien n’est au hasard en politique. Chaque mot a son importance. Le poste convoité doit nécessairement revenir à Moustapha Niasse, plutôt à un maître chanteur, qui ne dispose d’aucune expérience.
"Macky a fait une grave erreur en limogeant Moustapha Cissé Lô", fulmine l’éminent grammairien, le Pr Omar Sankharé. Non, nous ne partageons nullement cet avis, même s’il sort de la bouche d’un notable de la place. La logique politique diffère de la rhétorique littéraire. La maîtrise d’une langue est une chose, mais la politique c’en est une autre. Qu’on se le tienne pour dit ! Les deux choses s’opposent. Mais cela ne signifie pas qu’elles sont antinomiques. Le chantage politique ne peut régenter la démocratie dans une république normale. A un moment ou à autre, il y aura forcément un clash, une césure nette. Quand le vase est plein, il déborde. Nous nous mettons en porte à faux avec une telle éloquence, qui n’est qu’une vue de l’esprit. La fonction du président de la république n’autorise point qu’on peut lui manquer de respect publiquement, surtout quand il s’agit de son propre camp.
Ahmadou Diop
Le combat continue !

6.Posté par Ahmadou Diop le 16/07/2012 18:08 | Alerter
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PS : « sur l’affaire Moustapha Cissé Lô »

D’une part, nous avons envoyé deux contributions à publier dans les colonnes du présent journal sur la question pressante, mais pour des raisons que j’ignore, elles ne sont pas diffusées.

D’autre part, n’oublions pas que l’éminent grammairien, le Pr Omar Sankharé est membre du parti socialiste [PS]. On peut donc s’interroger sur les arrières pensés possibles de tels propos. Rien n’est au hasard en politique. Chaque mot a son importance. Le poste convoité doit nécessairement revenir à Moustapha Niasse, plutôt à un maître chanteur, qui ne dispose d’aucune expérience.
"Macky a fait une grave erreur en limogeant Moustapha Cissé Lô", fulmine l’éminent grammairien, le Pr Omar Sankharé. Non, nous ne partageons nullement cet avis, même s’il sort de la bouche d’un notable de la place. La logique politique diffère de la rhétorique littéraire. La maîtrise d’une langue est une chose, mais la politique c’en est une autre. Qu’on se le tienne pour dit ! Les deux choses s’opposent. Mais cela ne signifie pas qu’elles sont antinomiques. Le chantage politique ne peut régenter la démocratie dans une république normale. A un moment ou à autre, il y aura forcément un clash, une césure nette. Quand le vase est plein, il déborde. Nous nous mettons en porte à faux avec une telle éloquence, qui n’est qu’une vue de l’esprit. La fonction du président de la république n’autorise point qu’on peut lui manquer de respect publiquement, surtout quand il s’agit de son propre camp.
Ahmadou Diop
Le combat continue !
Erratum : les arrières- pensées

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