Oumar sarr ne s’avoue pas vaincu bien qu’il a perdu la commune et le département de Dagana. Le coordinateur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) estime que si ce n’était pas l’achat de consciences effectué dans sa localité, la coalition Wattu Sénégal serait victorieuse.
Lors d’un entretien accorde à la presse, Oumar sarr parait serein et toujours confiant de sa popularité au Walo. Avant-hier, Oumar Sarr a perdu le département de Dagana après 26 ans de règne.
Pourtant ses résultats ne semble point l’ébranler, car explique-t-il «si ce n’était pas les 3000 électeurs fictifs déversés dans sa commune pour perturber le scrutin», le PDS resterait majoritaire. « Il était impensable qu’une courte majorité puisse se dégager. Mais, ces 48 bus ont changé la nature des votes » accuse-t-il.
Confiant, le fils de Dagana ajoute : « c’est nous qui avons gagné, parce que les populations de Dagana ont encore voté massivement pour moi ». Le coordonnateur du Pds assume entièrement ses responsabilités. D’après lui, Dagana n’était pas un terrain facile à conquérir, c’est pourquoi il a accepté d’être investi personnellement pour changer la donne.
«Ce serai injuste d’emmener quelqu’un autre à l’abattoir, car s’il faut mourir, il faut le faire les armes à la main », martèle-t-il.
Nd. R. Thiane (stagiaire) avec EnQuête
Lors d’un entretien accorde à la presse, Oumar sarr parait serein et toujours confiant de sa popularité au Walo. Avant-hier, Oumar Sarr a perdu le département de Dagana après 26 ans de règne.
Pourtant ses résultats ne semble point l’ébranler, car explique-t-il «si ce n’était pas les 3000 électeurs fictifs déversés dans sa commune pour perturber le scrutin», le PDS resterait majoritaire. « Il était impensable qu’une courte majorité puisse se dégager. Mais, ces 48 bus ont changé la nature des votes » accuse-t-il.
Confiant, le fils de Dagana ajoute : « c’est nous qui avons gagné, parce que les populations de Dagana ont encore voté massivement pour moi ». Le coordonnateur du Pds assume entièrement ses responsabilités. D’après lui, Dagana n’était pas un terrain facile à conquérir, c’est pourquoi il a accepté d’être investi personnellement pour changer la donne.
«Ce serai injuste d’emmener quelqu’un autre à l’abattoir, car s’il faut mourir, il faut le faire les armes à la main », martèle-t-il.
Nd. R. Thiane (stagiaire) avec EnQuête