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Parlez-vous people? Les 10 expres­sions indis­pen­sables

Rédigé par leral.net le Mercredi 12 Août 2015 à 17:21 | | 0 commentaire(s)|

La langue anglaise, dans la bouche de certains Améri­cains, a gagné quelques expres­sions très imagées. Diffi­ciles à traduire en français, elles sont pour­tant indis­pen­sables pour mieux comprendre le compor­te­ments des stars…


BFF (Best Friend Fore­ver): Évidem­ment, l’ap­pel­la­tion a été approu­vée depuis long­temps de ce côté de l’At­lan­tique mais elle porte aux États-Unis une signi­fi­ca­tion toujours bien parti­cu­lière. Être la BFF d’une star par exemple, impose d’être à la fron­tière avec le rôle d’as­sis­tant(e). Seule gardienne des secrets les plus intimes, la “meilleure amie pour la vie” doit être présente à 100% sans voler la vedette à la célé­brité. Une amitié parfois sous contrat… Mélissa Forde, la BFF de Rihanna, a récem­ment été aperçue en train d’ap­pliquer de la crème solaire sur les fesses convoi­tées de sa célèbre amie.

BAE (Before anyone else): L'expres­sion a submergé le monde depuis son utili­sa­tion par Phar­rell William dans sa chan­son Come get it bae. Cette abré­via­tion de “Before anyone else” qui peut se traduire par “la chose la plus impor­tante à mes yeux” est souvent utili­sée pour évoquer l’être cher ou un proche. Entre Jessica Biel  et Justin Timber­lake, ou entre Beyoncé et Jay Z, le “bae” est de rigueur. Il y a 11 ans, Alicia Keys  et Usher  avaient lancé l’an­cêtre de cette expres­sion avec leur titre My boo.

PDA (Public display of affec­tion): Ces trois lettres sonnent comme une alerte sur les sites spécia­li­sés dans l’ac­tua­lité des célé­bri­tés. Les papa­raz­zis traquent ces petits gestes d’af­fec­tion en public pour faire d’une simple rumeur la confir­ma­tion d’une idylle. Les PDA entre bons amis peuvent vite être mal inter­pré­tés et se font donc rares.

Dad bod: Tendance chez ces messieurs, le dad bod a permis de briser certains complexes. Comme John Hamm, Jude Law  ou Leonardo DiCa­prio, ils sont des milliers à affi­cher  leur ventre arrondi sur les plages cet été. Sous cette petite bouée se cachent parfois des abdos, vestiges d’une autre époque. Le dad bod est désor­mais assumé et reven­diqué!

Bikini body: L’anti-dad bod, par exemple. Utilisé pour parler de la plas­tique avan­ta­geuse de ces dames, le bikini body est un graal. Il ne s’agit pas seule­ment d’af­fi­cher des courbes parfaites, il faut égale­ment pouvoir porter le bikini avec style. Rihanna ou Gisele Bünd­chen, qui passent le plus clair de leur temps à moitié nues, sont les meilleures repré­sen­tantes de ce bikni body tant convoité.

What he is missing: La meilleure réponse à une rupture. Plus cruelle qu’une vengeance à chaud et plus visuel que de feindre l’igno­rance, l’éta­lage de ses atouts aux yeux de l’ex, voilà la meilleure tech­nique pour remon­ter la pente. Avec un peu de courage, les stars bafouées arrivent à sortir de leur forte­resse pour montrer au mari ou au petit ami infi­dèle “ce qu’il va louper”. Dernière exemple en date: Kourt­ney Karda­shian, allè­gre­ment trom­pée par Scott Discik, le père de ses 3 enfants, a repris le sport avec achar­ne­ment et affiche une nouvelle silhouette de jeune fille moulée dans des tenues plus sexy les unes que les autres.

Negging: Le jeu de la séduc­tion impose une nouvelle règle, celle du negging. Compli­men­ter l’être désiré est toujours de rigueur mais y ajou­ter un peu de taqui­ne­rie est désor­mais conseillé. La pratique doit être subtile et souvent instau­rée par les garçons. Le negging, c’est un peu la petite claque qui réveille après la caresse.

On-off rela­tion­ship: Certaines histoires d’amour sont plus diffi­ciles à suivre que d’autres. C’est un jour “je t’aime” et le lende­main “je te déteste”. Comme Frank Sina­tra  et Ava Garner, de nombreux couples célèbres pratiquent l’al­ter­nance entre sépa­ra­tion et retrou­vailles. On-off, comme le bouton marche-arrêt de la grande machine du coeur.

TMI (Too much infor­ma­tion): Il faut parfois savoir garder pour soi certaines infor­ma­tions… Bien que le public soit friand d’in­for­ma­tions crous­tillantes au sujet des stars, certains détails doivent rester d’ordre privé. TMI est l’abré­via­tion de “Too much infor­ma­tion”, en français “Trop d’in­for­ma­tions”.

NSFW(Not Safe For Work): Les inter­nautes se baladent bien trop souvent sur la Toile, l’âme légère, sans se méfier du mauvais lien qui sommeil. Désor­mais, la règle veut qu’en cas d’image trop gênante à regar­der derrière son ordi­na­teur de bureau, la mention NSFW soit appo­sée. Mais même avec ce message d’alerte, les photos de pin-up désha­billées sont encore fréquem­ment consul­tées, le plus discrè­te­ment possible sur le lieu de travail plutôt qu’à la maison…

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