Des contrats fictifs, une masse salariale dépassant les normes, un non-respect du code général des collectivités territoriales etc. Ce sont là les quelques dysfonctionnements relevés par les auditeurs de la Cour des Comptes.
Après plus de 3 mois d’audit de la gouvernance de M. Diarra, les vérificateurs ont auditionné Mardi, tour à tour, les adjoints du maire, après avoir entendu Amadou Diarra himself accusé de faire dans la gestion solitaire.
D’après les interlocuteurs du journal, même ses adjoints sont mis à l’écart à l’exception du 1er adjoint qui signe certains documents grâce à leur relation amicale.
«Quiconque exige une application des textes, lors des réunions en commission, est considéré comme un ennemi par le maire», révèlent leurs sources qui ajoutent que la transhumance de l’édile de Pikine à l’Alliance pour la République (Apr) est motivée en partie par les manquements relevés par les vérificateurs de la Cour des Comptes dans sa gestion de la municipalité.
Cela l’aurait poussé à draguer le pouvoir. En atteste son discours lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison de la Jeunesse et de la Citoyenneté présidée par la ministre de la Jeunesse, Néné Fatoumata Tall.
Après plus de 3 mois d’audit de la gouvernance de M. Diarra, les vérificateurs ont auditionné Mardi, tour à tour, les adjoints du maire, après avoir entendu Amadou Diarra himself accusé de faire dans la gestion solitaire.
D’après les interlocuteurs du journal, même ses adjoints sont mis à l’écart à l’exception du 1er adjoint qui signe certains documents grâce à leur relation amicale.
«Quiconque exige une application des textes, lors des réunions en commission, est considéré comme un ennemi par le maire», révèlent leurs sources qui ajoutent que la transhumance de l’édile de Pikine à l’Alliance pour la République (Apr) est motivée en partie par les manquements relevés par les vérificateurs de la Cour des Comptes dans sa gestion de la municipalité.
Cela l’aurait poussé à draguer le pouvoir. En atteste son discours lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison de la Jeunesse et de la Citoyenneté présidée par la ministre de la Jeunesse, Néné Fatoumata Tall.