Le vendredi 1er septembre 2023, une pluie d’une intensité rare s’est abattue sur Touba, créant des inondations à Nguélémou, Nguiranène, où pourtant les opérations de pompage ont permis aux ménages de revenir dans leurs maisons. La quantité d’eau recueillie durant cette nuit, est de 75 mm à la station Ndame.
Certains estiment que la quantité est beaucoup plus importante. D’ailleurs, cela a relancé le débat sur l’urgence d’implanter plusieurs stations de mesure dans la deuxième ville la plus grande du Sénégal. « Je vis à Touba depuis 1989. Mais il n’y a jamais eu autant de pluie à Touba. C’est une saison particulière pluvieuse. C’est pour cela que nous avons des inondations », a expliqué Abdou Lahad Gaye, le Président des chauffeurs taxis de Touba.
Il pleut de manière continue dans la cité religieuse. Ces précipitations précipitent l’engorgement de la nappe, réduisant de facto la capacité d’infiltration. C’est la combinaison de deux facteurs à savoir les pluies consécutives et la réduction de la capacité d’infiltration.
Fort heureusement, l’ONAS a mis en place des mesures conservatoires. Il s’agit, entre autres, du renforcement de la capacité de stockage et de pompage de la station de Keur Niang, la mise en place d’un deuxième système d’évacuation d’eaux pluviales (Nguélémou-KeurKabb), l’aménagement d’un bassin à Keu rKabb, la construction des canalisations à Nguélémou, Nguiranène, Younou Darou…
Faut-il le rappeler, la construction des ouvrages se poursuit dans le cadre du projet de drainage des eaux pluviales de la cité religieuse.
L’apport de ces nouvelles infrastructures sera beaucoup plus important lorsqu’elles seront toutes mises en service. D’ailleurs, les inondations sont plus notées dans les quartiers qui n’ont pas d’assainissement situés dans les bas-fond. L’ONAS a intensifié les opérations de pompage pour soulager au plus vite les populations. S’il y a une pause de deux trois jours, l’impact des opérations de pompage sera plus visible.
Certains estiment que la quantité est beaucoup plus importante. D’ailleurs, cela a relancé le débat sur l’urgence d’implanter plusieurs stations de mesure dans la deuxième ville la plus grande du Sénégal. « Je vis à Touba depuis 1989. Mais il n’y a jamais eu autant de pluie à Touba. C’est une saison particulière pluvieuse. C’est pour cela que nous avons des inondations », a expliqué Abdou Lahad Gaye, le Président des chauffeurs taxis de Touba.
Il pleut de manière continue dans la cité religieuse. Ces précipitations précipitent l’engorgement de la nappe, réduisant de facto la capacité d’infiltration. C’est la combinaison de deux facteurs à savoir les pluies consécutives et la réduction de la capacité d’infiltration.
Fort heureusement, l’ONAS a mis en place des mesures conservatoires. Il s’agit, entre autres, du renforcement de la capacité de stockage et de pompage de la station de Keur Niang, la mise en place d’un deuxième système d’évacuation d’eaux pluviales (Nguélémou-KeurKabb), l’aménagement d’un bassin à Keu rKabb, la construction des canalisations à Nguélémou, Nguiranène, Younou Darou…
Faut-il le rappeler, la construction des ouvrages se poursuit dans le cadre du projet de drainage des eaux pluviales de la cité religieuse.
L’apport de ces nouvelles infrastructures sera beaucoup plus important lorsqu’elles seront toutes mises en service. D’ailleurs, les inondations sont plus notées dans les quartiers qui n’ont pas d’assainissement situés dans les bas-fond. L’ONAS a intensifié les opérations de pompage pour soulager au plus vite les populations. S’il y a une pause de deux trois jours, l’impact des opérations de pompage sera plus visible.