Les évènements sanglants de Bofa-Bayottes, sanctionnés pas la mort de 13 personnes froidement tuées, ont assurément plongé toute la nation sénégalaise dans une profonde consternation. Une douleur générale extériorisée par les autorités du pays qui, en sus de décréter deux jours de deuil national (lundi 8 janvier et mardi 9 janvier), ont publiquement assuré que ce carnage ne restera pas impuni.
Que l’Armée nationale mobilisera tous les moyens adéquats pour traquer les acteurs en cavale et que la Gendarmerie nationale (compétente dans le secteur), mènera des enquêtes poussées pour élucider cette barbarie, qui a atterré tout un peuple. Apres ces mesures fermes, les autorités n’ont pas attendu pour joindre l’acte à la parole. Dans les minutes qui ont suivi cette boucherie, l’armée nationale s'est déployée dans la zone de crime, au moment où le chef de l’Etat convoquait le Conseil de sécurité, comme pour rester fidèle aux promesses faites.
Dans le sillage des opérations de ratissage de l’armée dans ce vaste secteur, le Haut commandement de la Gendarmerie nationale, qui avait dès l’ébruitement de cette barbarie, confié l'affaire aux pandores de la compagnie locale, a, les heures qui ont suivi, mis les petits plats dans les grands pour maximiser ses chances d’élucider cette scène d’horreur.
C’est dans cette optique que le commandement de la Gendarmerie nationale a mis sur orbite les éléments de la redoutable et très redoutée Section de Recherches de Colobane, appelée en renfort.
Une mesure à effet immédiat. Le commandant issa Diack et son commando réquisitionnés, ont plié bagages, hier. Direction, la capitale du Sud où le détachement a débarqué en début de soirée, hier.
Sur place, nous apprend-on à Ziguinchor, le commandant Diack et ses hommes n’ont pas perdu de temps. A peine accueillis, ils ont mis le pied à l’étrier, en intelligence avec leurs collègues de la compagnie de gendarmerie locale déjà à pied d’œuvre. Les prochains jours nous édifieront certainement davantage sur le mobile de ce carnage grossier et exécrable.
L’Observateur
Que l’Armée nationale mobilisera tous les moyens adéquats pour traquer les acteurs en cavale et que la Gendarmerie nationale (compétente dans le secteur), mènera des enquêtes poussées pour élucider cette barbarie, qui a atterré tout un peuple. Apres ces mesures fermes, les autorités n’ont pas attendu pour joindre l’acte à la parole. Dans les minutes qui ont suivi cette boucherie, l’armée nationale s'est déployée dans la zone de crime, au moment où le chef de l’Etat convoquait le Conseil de sécurité, comme pour rester fidèle aux promesses faites.
Dans le sillage des opérations de ratissage de l’armée dans ce vaste secteur, le Haut commandement de la Gendarmerie nationale, qui avait dès l’ébruitement de cette barbarie, confié l'affaire aux pandores de la compagnie locale, a, les heures qui ont suivi, mis les petits plats dans les grands pour maximiser ses chances d’élucider cette scène d’horreur.
C’est dans cette optique que le commandement de la Gendarmerie nationale a mis sur orbite les éléments de la redoutable et très redoutée Section de Recherches de Colobane, appelée en renfort.
Une mesure à effet immédiat. Le commandant issa Diack et son commando réquisitionnés, ont plié bagages, hier. Direction, la capitale du Sud où le détachement a débarqué en début de soirée, hier.
Sur place, nous apprend-on à Ziguinchor, le commandant Diack et ses hommes n’ont pas perdu de temps. A peine accueillis, ils ont mis le pied à l’étrier, en intelligence avec leurs collègues de la compagnie de gendarmerie locale déjà à pied d’œuvre. Les prochains jours nous édifieront certainement davantage sur le mobile de ce carnage grossier et exécrable.
L’Observateur