Notant que « ces rencontres qui ont eu à aboutir à de fortes recommandations, ont été toutes validées par des Conseils Présidentiels », Silèye Gorbal Sy et cie disent avoir été convaincus «après ces larges concertations validées par la Haute Autorité du pays avec un diagnostic approfondi et des décisions majeures, que notre école tant appréciée à travers le monde n’allait plus connaître de soubresauts ».
Malheureusement, la Cnept dit constater que «malgré les nombreuses initiatives prises par notre coalition et d’autres acteurs du système allant dans le sens d’apaiser notre espace scolaire et universitaire, les crises continuent toujours d’affecter notre école et du coup, les enseignements-apprentissages et le quantum horaire ».
Aussi, la coalition active en éducation souligne que « les grèves sont devenues récurrentes. Au niveau des Universités de Bambey, de Saint-Louis et de Ziguinchor, les cours sont régulièrement perturbés et parfois même, avec la violence. Qui plus est, le Cusems et le Saems du G7 ont déjà observé des débrayages et des grèves les semaines passées, le Sudes/Esr est en mouvement d’humeur», alors même que « les dernières déclarations faîtes par les différents cadres syndicaux inquiètent plus d’un ».
Pour la Cnept, « cette situation de tension permanente dans notre système scolaire et universitaire, risque de compromettre très sérieusement cette année académique ». Et cela, d’autant qu’on est à quelques jours de la campagne électorale pour les élections locales, «avec l’implication de plusieurs enseignants à travers le pays et des nuages de discordes qui continuent de planer et de rallumer les étincelles de la confrontation ».
Face à cette inquiétude et ce désarroi qui « recommencent à envahir la communauté éducative entière », la Cnept qui se dit fidèle à ses missions de veille et d’alerte, a tenu à renouveler ses appels solennels aux différents protagonistes, à savoir le Gouvernement et les syndicats d’enseignants, pour tout mettre en œuvre afin de sauver notre « chère école », en mettant en avant les intérêts supérieurs des enfants et le droit à l’éducation.
Dans la foulée, Silèye Gorbal Sy et la Cnept invitent le Chef de l’Etat à rencontrer la communauté éducative, «en vue d’un climat scolaire et universitaire apaisé». La crise qui guette le milieu scolaire et universitaire, suite aux derniers mouvements d’humeur des enseignants et des étudiants, inquiète au plus haut point la Cnept.
Dans une note transmise à la presse, Silèye Gorbal Sy et ses camarades plaident ainsi pour une rencontre Chef de l’Etat-communauté éducative pour, «un climat scolaire et universitaire apaisé ».
Sud Quotidien
Malheureusement, la Cnept dit constater que «malgré les nombreuses initiatives prises par notre coalition et d’autres acteurs du système allant dans le sens d’apaiser notre espace scolaire et universitaire, les crises continuent toujours d’affecter notre école et du coup, les enseignements-apprentissages et le quantum horaire ».
Aussi, la coalition active en éducation souligne que « les grèves sont devenues récurrentes. Au niveau des Universités de Bambey, de Saint-Louis et de Ziguinchor, les cours sont régulièrement perturbés et parfois même, avec la violence. Qui plus est, le Cusems et le Saems du G7 ont déjà observé des débrayages et des grèves les semaines passées, le Sudes/Esr est en mouvement d’humeur», alors même que « les dernières déclarations faîtes par les différents cadres syndicaux inquiètent plus d’un ».
Pour la Cnept, « cette situation de tension permanente dans notre système scolaire et universitaire, risque de compromettre très sérieusement cette année académique ». Et cela, d’autant qu’on est à quelques jours de la campagne électorale pour les élections locales, «avec l’implication de plusieurs enseignants à travers le pays et des nuages de discordes qui continuent de planer et de rallumer les étincelles de la confrontation ».
Face à cette inquiétude et ce désarroi qui « recommencent à envahir la communauté éducative entière », la Cnept qui se dit fidèle à ses missions de veille et d’alerte, a tenu à renouveler ses appels solennels aux différents protagonistes, à savoir le Gouvernement et les syndicats d’enseignants, pour tout mettre en œuvre afin de sauver notre « chère école », en mettant en avant les intérêts supérieurs des enfants et le droit à l’éducation.
Dans la foulée, Silèye Gorbal Sy et la Cnept invitent le Chef de l’Etat à rencontrer la communauté éducative, «en vue d’un climat scolaire et universitaire apaisé». La crise qui guette le milieu scolaire et universitaire, suite aux derniers mouvements d’humeur des enseignants et des étudiants, inquiète au plus haut point la Cnept.
Dans une note transmise à la presse, Silèye Gorbal Sy et ses camarades plaident ainsi pour une rencontre Chef de l’Etat-communauté éducative pour, «un climat scolaire et universitaire apaisé ».
Sud Quotidien