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Prétextant partir au « Magal » de Touba : Ces filles qui ont passé leur « Magal » dans des appartements privés avec leur copain

Cette année, le grand « Magal » de Touba a coïncidé avec le début de l’année 2013. Ce grand événement religieux a eu beaucoup d’impact sur la fête du Saint Sylvestre qui a vu la ville de Dakar se vider de ses habitants dont bon nombre étaient partis à la ville sainte de Touba pour le « Magal ». Ceci a été une occasion pour certaines filles de demander à leurs parents la permission d’aller à Touba alors qu’elles étaient avec leur petit copain dans leurs appartements privés durant la fête. Des témoignages en disent long sur les subterfuges de ces filles.


Rédigé par leral.net le Jeudi 10 Janvier 2013 à 23:02 | | 4 commentaire(s)|

Prétextant  partir au  « Magal » de Touba  : Ces filles qui ont passé leur « Magal » dans des appartements privés avec leur copain
Cette année, le grand « Magal » de Touba a été célébré au lendemain du 31 décembre 2012. Beaucoup d’artistes avaient pris le soin de dérouler leur programme de fin d’année les 24, 25 et 29 décembre. Certaines filles, pour tromper la vigilance de leurs parents, avaient enfilé leurs tenues traditionnelles prétextant partir à la ville sainte alors qu’elles étaient allées retrouver leur petit copain dans leurs appartements privés pour quelques jours de plaisir.
« Avec le Magal qui a coïncidé avec la fin de l’année, c’était une occasion pour certaines filles de dire qu’elles partent à Touba alors qu’elles sont allées retrouver leur petit copain pour passer la fête. J’ai une copine qui avait demandé la permission à ses parents pour partir à Touba alors qu’elle était partie à Saly retrouver son petit copain qui travaille dans un hôtel.. Ses parents ont cru que leur fille était à Touba alors qu’elle était dans les bras de son copain durant deux jours », martèle une fille de la vingtaine passée.
Il est 18 heures, dans un Fast Food sur la route de l’aéroport à Yoff. A cette heure, les lieux sont pris d’assaut par des jeunes qui viennent passer du bon temps en compagnie de leur copine après leur retour du « Magal ». Petit à petit la ville renoue avec les circulations denses du fait du retour des gens de Touba. Nous nous sommes joints d’un groupe de jeune qui discutait. Après les salamalecs nous allons droit au but…
« Le 31 décembre, Dakar s’est vidé de ses habitants, ils ont tous convergé vers la ville sainte de Touba. Comme chez moi, tout le monde était parti à Touba, je m’étais porté volontaire pour garder la maison jusqu’à leur retour. J’ai invité ma copine à la maison et on a fait la fête ensemble. Elle avait dit à ses parents qu’elle partait à Touba, alors qu’elle avait séjourné chez moi. Nous nous sommes, amusé durant deux jours comme deux personnes mariées. », Avance un jeune de la vingtaine sonnée.
Une fille qui était parmi nous a accepté de témoigner : « c’était une occasion à ne pas rater. Le 30 décembre, j’ai quitté chez moi. J’ai demandé à mon fiancé de venir me chercher avec sa voiture. J’ai dit à mes parents que nous allons partir ensemble pour le Magal mais nous sommes parti à Mbour chez ses amis pour faire la fête. Nous avons passé une fin d’année de rêve dans une bonne ambiance. Je n’ai pas regretté d’avoir fait ça, si c’était à refaire je n’hésiterais pas».
Elles sont nombreuses à avoir passé la fête à côté de leur petit copain à l’insu de leurs parents qui les croient à Touba. Cela dit seules les filles qui n’ont pas de familles à Touba peuvent jouer à ce jeu car les parents n’ayant aucun moyen de savoir si elles sont à la ville sainte ou pas.
« J’ai attendu le 31 décembre pour dire à mes parents que je vais à Touba pour revenir deux jours plus tard. Mais en vérité j’ai passé la fête avec une bande de copines. Nous nous sommes retrouvés dans l’appartement d’un ami à la cité djilly Mbaye pour fêter. Ce n’est pas prudent d’aller en boite on peut croiser quelqu’un qui ira après vendre la mèche. Nous nous sommes bien amusés les deux jours passé on est rentré habillées en tenue traditionnelle salle pour ne pas éveiller les soupçons. », Estime Mamy une belle fille teint claire de 23 ans.
Ces pratiques ouvrent la voie au libertinage sexuel !
Ces pratiques ne sont pas sans conséquences car conduisant les jeunes droit au libertinage sexuel.
« Le mois de décembre est très craint par beaucoup de parents car, c’est la période où on assiste à beaucoup de grossesses précoces. Beaucoup de filles se retrouvent enceinte après les fêtes de fin d’année. Cette année, avec les filles qui ont fait croire à leurs parents qu’elles étaient à Touba alors qu’elles se retrouvaient avec leur copain dans des appartements privés. Il y a de quoi s’inquiéter car, si elles font ces genres de choses c’est pour aller s’amuser. Elles ne peuvent pas passer la nuit avec un homme dans une chambre sans qu’il y ait de relation sexuelle », déplore Mor Seck.
Avec ses pratiques, il y a de quoi s’inquiéter pour ces filles qui ne soucient même du danger qui les guette en allant retrouver leur petit copain pour une à deux nuits.
« Je pense que les parents ne doivent pas laisser une fille seule dire qu’elle part à Touba sans être accompagnée par un membre de sa famille ou bien sans appartenir à un « Dayira ». C’est trop risqué de nos jours car les temps ont changé. Beaucoup de filles disent qu’elles vont assister au « Magal » alors qu’elles partent retrouver leur petit copain. Elles vont rester avec ces derniers durant tout le temps que durera l’événement religieux pour ensuite rentrer chez elles prétextant venir de Touba. Deux à trois semaines après, elles se retrouvent enceinte à la grande surprise de leurs parents. C’est après cela que la vérité va jaillir et les parents vont se rendre compte que leur fille était partie retrouver son copain au lieu d’aller à Touba », martèle un autre homme de la quarantaine.
Beaucoup de filles dont les parents refusaient de donner l’autorisation de sortir, ont profité de cet événement pour disposer d’une liberté totale en vue de se retrouver seule avec son petit copain pour une ou deux nuits entières.
Des voix féminines déplorent ces pratiques !
Beaucoup de filles dénoncent ces pratiques jusqu’à la dernière énergie. Elles fustigent l’attitude des filles qui ont dit à leurs parents qu’elles vont assister au « Magal » alors qu’elles sont parties avec leur copain pour faire la fête.
« Je pense qu’il y a des filles qui ne réfléchissent pas. Dans la vie, il faut être responsable et savoir mériter la confiance de ses parents. Une fille qui se respecte, ne va jamais retrouver son petit copain dans son appartement pour y passer les fêtes de fin d’année durant deux jours de suite. Quand une fille fait une telle chose, son petit copain ne va jamais la respecter, ni l’épouser un jour. Je pense quand les parents donnent la permission à leur fille, cette dernière doit mesurer le degré de confiance de ses parents pour ne pas aller ailleurs », confie Ndeye une femme de 30 ans.
Une autre femme de dire : « L’éducation de base est très importante dans la vie. Une fille bien éduquée et soucieuse de son avenir, ne va jamais dire à ses parents qu’elle va à un tel endroit alors qu’elle part ailleurs. Beaucoup de filles sont aujourd’hui mal éduquées et elles n’ont aucune connaissance de la religion et c’est la raison pour laquelle, elles font certaines choses. Elles étaient nombreuses à dire qu’elles vont assister au « Magal » alors qu’elles se la coulent douce avec leur petit copain. Ces filles-là ne sont pas de vraies mourides ».
En tout cas cette année avec le « Magal » qui est célébré au jour de l’an, beaucoup de filles téméraires n’avaient pas hésité à tenter l’expérience avec leur petit copain pour fêter la fin de l’année dans la plus grande intimité dans les appartements, auberges et hotels.
Pape DIA
Confidences Magazine


( Les News )


1.Posté par NOUVEAU SITE TRES ENRICHISSANT le 10/01/2013 23:13 | Alerter
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2.Posté par lu pour vous le 10/01/2013 23:15 | Alerter
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Ici repose la défunte presse privée sénégalaise [Décès survenu le 25 Mars 2012] ( Modou Badiane)
On a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? Il faut qu’on le dise. La presse privée sénégalaise après la télévision nationale de Rien Tous les Soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. Le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de Cheikh Mbaye le Lundi 07 Janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. Là où elle décrivait ces actes sous le régime Wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. Le Mardi 08 Janvier 2013 soit moins de 24 H après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "Cheikh Mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. Il développait même beaucoup de projets... ». Pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? Les auteurs d’immolations sous Wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère Macky ? La désillusion est elle moins présente sous Macky que sous son prédécesseur ? La question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. Cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. C’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
Madiambal Diagne dans sa chronique du Lundi 07 Janvier 2013 titrée « Inculpez Wade ou libérez Aïdara Sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de Wade. « Dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de Wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. La presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de Macky Sall comme Président de la République du Sénégal ? Sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? Les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du Président ?

Vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit Mag, avec le Professeur Gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant Pape Allé Niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la Haute Cour de Justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de Wade ». Le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un Ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. Cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. Il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. Est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?

Que dire de Mamadou Oumar Ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de Macky Sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. Il titre dans sa chronique parue dans le journal Le Témoin n°1109 « Discours de fin d’année du président Macky Sall: Oublis et omissions d’un (bon) discours». Cherche t il avec ce titre à caresser Macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? Dans le fond, il souligne « Sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du Président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». Il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». Content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.

Que devient Souleymane Jules Diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. N’est il pas devenu un membre à part entière de l’APR qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?

Nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe Walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le Groupe D-Media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. Même les journalistes du Groupe Futur Medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu Ministre dans le gouvernement de Macky. Allassane Samba Diop est devenu méconnaissable et Mamadou Ibra Kane aphone.

Nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. La vraie information. Le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. Face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. Le journaliste doit alerter et non applaudir. L’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. Nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. Celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. Gilbert Keith Chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « Le journalisme consiste pour une large part à dire “Lord Jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que Lord Jones existait. »


Alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 Mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !


Modou Badiane
Sociologue
badianemodou6@gmail.com

3.Posté par Walo walo le 11/01/2013 08:37 | Alerter
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Article bidon, rien a ajouté.
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4.Posté par dorware le 11/01/2013 10:00 | Alerter
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c est bidon bancal rien a voir avec le titre

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