Invité hier sur Sen Tv, le président la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Kaolack, dit ne pas comprendre les attaques portées contre son management. Selon lui, la transparence ne pose pas de problèmes au sein de l’Union nationale des Chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture du Sénégal. Il renvoie la balle.
«C’est me faire un mauvais procès que de me reprocher un manque de transparence», déclare Serigne Mboup.
«Nous connaissons le problème de Dakar. Dakar fait une rétention de l’argent des autres Chambres de commerce. L’État ne verse que 26 millions Cfa à l’Unccias chaque année. Les chambres ne cotisent pas, c’est moi qui paie le loyer. Saint-Louis n’a jamais cotisé. Je pense que c’est de petits problèmes qui occasionnent cette situation. À Saint-Louis il y a eu un mécontentement suite au non renouvellement de passeport diplomatique par l’État du Sénégal. Nous tiendrons peut-être une réunion mardi (hier, Ndlr) pour être édifiés. Parce que lorsqu’on décide de boycotter une structure, on doit pouvoir motiver sa décision», affirme le président de l’Unccias.
Revenant sur le rôle des Chambres de commerce auprès des opérateurs économiques, Serigne Mboup préconise que l’État mette en place une politique plus incitative en faveur de la formalisation des acteurs du secteur informel.
Tribune
«C’est me faire un mauvais procès que de me reprocher un manque de transparence», déclare Serigne Mboup.
«Nous connaissons le problème de Dakar. Dakar fait une rétention de l’argent des autres Chambres de commerce. L’État ne verse que 26 millions Cfa à l’Unccias chaque année. Les chambres ne cotisent pas, c’est moi qui paie le loyer. Saint-Louis n’a jamais cotisé. Je pense que c’est de petits problèmes qui occasionnent cette situation. À Saint-Louis il y a eu un mécontentement suite au non renouvellement de passeport diplomatique par l’État du Sénégal. Nous tiendrons peut-être une réunion mardi (hier, Ndlr) pour être édifiés. Parce que lorsqu’on décide de boycotter une structure, on doit pouvoir motiver sa décision», affirme le président de l’Unccias.
Revenant sur le rôle des Chambres de commerce auprès des opérateurs économiques, Serigne Mboup préconise que l’État mette en place une politique plus incitative en faveur de la formalisation des acteurs du secteur informel.
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