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Rose Wardini, Coalition Assemblée bi nu bëgg : «L’heure du changement a sonné avec une nouvelle Assemblée…»

Rédigé par leral.net le Vendredi 14 Juillet 2017 à 11:20 | | 0 commentaire(s)|

Docteur gynécologue très engagée sur le front du social, Rose Wardini veut aller à l’Assemblée nationale pour servir plus et mieux son pays et ses concitoyens. N°2 sur la liste nationale de la coalition Assemblée Bi Nu Bëgg, elle pense que l’heure du changement a sonné, pour une Assemblée de rupture.


Rose Wardini, Coalition Assemblée bi nu bëgg : «L’heure du changement a sonné avec une nouvelle Assemblée…»
Très engagée sur le front du social, Dr Rose Wardini, gynécologue, veut continuer à servir son pays et ses concitoyens au plus haut niveau. D’où son engagement pour les élections législatives, au sein de la coalition Assemblée Bi Nu Bëgg. «Je ne suis pas un politique. Je suis une femme de développement. J’ai toujours été dans le développement et le social. J’ai sillonné le pays et je sais ce que vivent les populations, en particulier les femmes.

Aujourd’hui, aller à l’Assemblée nationale est pour moi un devoir, pour participer à la gestion de mon pays. Un député doit servir son pays, ses concitoyens et non se servir
», a déclaré Dr Wardini, investie en 2e position sur la liste nationale de la coalition dirigée par Mohamed Salsao.

Adjointe au maire de Dakar, Khalifa Sall, la gynécologue a choisi d’aller aux élections avec une coalition formée essentiellement, de personnalités de la société civile et non avec des coalitions de partis politiques. «Je préfère garder mon indépendance pour servir la nation comme je l’ai toujours fait. Et je me suis fait connaître sans ces leaders politiques», explique-t-elle.

Sur le déroulement de la campagne, elle dénonce certaines méthodes des politiciens traditionnels, qui font «beaucoup de bruit pour divertir encore les populations». Et de conclure, en affirmant que «l’heure du changement a sonné», avec une nouvelle Assemblée, dont elle espère faire partie, pour contribuer à «apporter un changement» dans le fonctionnement du Parlement, jusque-là décrié.

Les Echos