''Ces deux manifestations jumelées seront une occasion de revenir sur la vie et l’œuvre d’El Hadj Salif Mbengue, moukhadam et disciple d’El Hadj Malick Sy'', a souligné Oustaze Idrissa Mbengue, prédicateur islamique et animateurs d’émissions religieuses sur la radio privée Téranga FM.
‘’Les relations entre El Hadj Malick Sy et El Hadj Salif Mbengue remontent à Mbokhol, village du département de Dagana, où le guide de la tidianiya étudiait dans une école coranique dont la marraine Ramata Dial n’était autre que notre grand-mère’’, explique Oustaze Mbengue, son pettit-fils, dans un entretien avec l’APS.
Il a pendant longtemps dirigé la prière à la mosquée Rawane Ngom où il fut inhumé mais aussi à la grande mosquée de Ndar-Toute. Il était maître dans l’art de diriger la cérémonie successorale à laquelle il a consacré l’essentiel de sa vie.
Sa vie et son œuvre ont suscité la curiosité des intellectuels qui lui ont consacré des thèses de doctorat, selon Oustaze Mbengue qui renvoie aux travaux d’El Hadj Rawane Mbaye.
Né en 1868 à Bokhol, El Hadji Salif Mbengue est décédé en 1959 à Saint-Louis où il était le représentant d’El Hadj Maick Sy. Ce dernier ''lui avait donné un diplôme de reconnaissance de même que Serigne Babacar Sy'', a dit Outaze Mbengue qui a insisté sur les poèmes composés à l’honneur d’El Hadj Salif Mbengue par des érudits reconnus comme El hadj Abdoulaye Sow de Dagana, Alioune Ba de Ngoumba.
Aujourd’hui cet héritage est porté par ses petits-fils dont El hadj Idrissa Mbengue orienté vers les questions de succession auxquelles il a consacré un ouvrage. Il est aussi co-auteur, avec El hadj Baye Mbengue, de la traduction du livre d’El hadj Malick Sy préfacé par El Hadj Rawane Mbaye et titré ‘’L’or décanté’’.
AMD/AD
‘’Les relations entre El Hadj Malick Sy et El Hadj Salif Mbengue remontent à Mbokhol, village du département de Dagana, où le guide de la tidianiya étudiait dans une école coranique dont la marraine Ramata Dial n’était autre que notre grand-mère’’, explique Oustaze Mbengue, son pettit-fils, dans un entretien avec l’APS.
Il a pendant longtemps dirigé la prière à la mosquée Rawane Ngom où il fut inhumé mais aussi à la grande mosquée de Ndar-Toute. Il était maître dans l’art de diriger la cérémonie successorale à laquelle il a consacré l’essentiel de sa vie.
Sa vie et son œuvre ont suscité la curiosité des intellectuels qui lui ont consacré des thèses de doctorat, selon Oustaze Mbengue qui renvoie aux travaux d’El Hadj Rawane Mbaye.
Né en 1868 à Bokhol, El Hadji Salif Mbengue est décédé en 1959 à Saint-Louis où il était le représentant d’El Hadj Maick Sy. Ce dernier ''lui avait donné un diplôme de reconnaissance de même que Serigne Babacar Sy'', a dit Outaze Mbengue qui a insisté sur les poèmes composés à l’honneur d’El Hadj Salif Mbengue par des érudits reconnus comme El hadj Abdoulaye Sow de Dagana, Alioune Ba de Ngoumba.
Aujourd’hui cet héritage est porté par ses petits-fils dont El hadj Idrissa Mbengue orienté vers les questions de succession auxquelles il a consacré un ouvrage. Il est aussi co-auteur, avec El hadj Baye Mbengue, de la traduction du livre d’El hadj Malick Sy préfacé par El Hadj Rawane Mbaye et titré ‘’L’or décanté’’.
AMD/AD
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