Si l’on en croit le maire de Madina Wandifa, « le tribunal a fait droit aux moyens de défense qui avaient été soulevés par les conseils du maire. En substance, le tribunal a dit que le collectif s’est arrogé des pouvoirs qu’il n’a pas et n’a aucune habilitation légale ni juridique pour attraire le maire devant le Tribunal », explique l’édile de Madina Wandifa Malang Sény Faty.
Selon le journal, se prononçant toujours sur la teneur de ce délibéré, Malang Sény Faty ajoute que « le tribunal a relevé que ce collectif ne jouit d’aucun titre pour justifier la saisine du tribunal d’une action portant sur un prétendu lotissement sans autorisation ».
Et Malang Sény Faty de poursuivre sur la légitimité de ce Collectif : « cette instance ne peut pas représenter les populations de Madina Wandifa ni parler en leur nom. Seule la Commune est habilitée à défendre les intérêts de Madina Wandifa et elle le fait à merveille par l’entremise de son assemblée délibérante et de son exécutif local élu au suffrage universel des populations elles-mêmes».
Revenant sur les arguments évoqués par ce collectif dans sa citation directe, Malang Sény Faty soutient qu’ils « ne sont pas recevables. Les actions prétendument posées par ce collectif ont été désapprouvées par le Tribunal », dit-il avant de qualifier les membres de ce collectif de « groupuscule de politiciens encagoulés ».
Sud Quotidien ajoute qu’après avoir été débouté par le juge civil, ce groupe vient de subir un nouveau revers devant le juge pénal, fortifiant la thèse que le maire de Madina Wandifa est tout sauf ce que ses détracteurs lui reprochent.
Interrogé sur ce rendu de la justice, Lansana Faty, le coordonnateur du collectif pour la défense des intérêts de Madina Wandifa déclare que leur instance fera appel et dit croire toujours à la justice du pays pour que « tout le droit soit dit dans cette affaire de boulimie foncière et sur laquelle le maire Malang Sény Faty s’est enrichi », a-t-il fait observer
Selon le journal, se prononçant toujours sur la teneur de ce délibéré, Malang Sény Faty ajoute que « le tribunal a relevé que ce collectif ne jouit d’aucun titre pour justifier la saisine du tribunal d’une action portant sur un prétendu lotissement sans autorisation ».
Et Malang Sény Faty de poursuivre sur la légitimité de ce Collectif : « cette instance ne peut pas représenter les populations de Madina Wandifa ni parler en leur nom. Seule la Commune est habilitée à défendre les intérêts de Madina Wandifa et elle le fait à merveille par l’entremise de son assemblée délibérante et de son exécutif local élu au suffrage universel des populations elles-mêmes».
Revenant sur les arguments évoqués par ce collectif dans sa citation directe, Malang Sény Faty soutient qu’ils « ne sont pas recevables. Les actions prétendument posées par ce collectif ont été désapprouvées par le Tribunal », dit-il avant de qualifier les membres de ce collectif de « groupuscule de politiciens encagoulés ».
Sud Quotidien ajoute qu’après avoir été débouté par le juge civil, ce groupe vient de subir un nouveau revers devant le juge pénal, fortifiant la thèse que le maire de Madina Wandifa est tout sauf ce que ses détracteurs lui reprochent.
Interrogé sur ce rendu de la justice, Lansana Faty, le coordonnateur du collectif pour la défense des intérêts de Madina Wandifa déclare que leur instance fera appel et dit croire toujours à la justice du pays pour que « tout le droit soit dit dans cette affaire de boulimie foncière et sur laquelle le maire Malang Sény Faty s’est enrichi », a-t-il fait observer