En Afrique, les universités publiques du Sénégal ont toujours été des modèles dans le domaine de l'enseignement supérieur, du fait de l'investissement sans relâche des autorités étatiques, également de ceux de tout bord, mais aussi, du dévouement, de l'amour, du courage des étudiants, qui de par leur talent, arrivent à fournir de très bons résultats.
Ce fait que les universités du Sénégal, soit, parmi les plus grandes universités les plus cités dans l'espace CEDÉAO, devrait être en effet, en continu, une lourde mission pour les autorités, qui ont occupé au fil des années, les ministères en charge de l'éducation nationale mais également de l'enseignement supérieur car disait ainsi Nelson MANDELA, "L'éducation est l'arme la plus puissante qu'on puisse utiliser pour changer le monde".
Malheureusement, aujourd'hui, nous assistons, avec beaucoup d'amertume, à une gestion calamiteuse de nos universités publiques, où naissent la haine, le désespoir, l'ignorance. Ceci, du fait que l'on ait manqué de redorer le blason, de donner plus de vie à ces espaces qui ont formé de nombreux cadres, qui aujourd'hui, ont une forte représentativité dans le monde.
Depuis une décennie ou plus, les universités publiques du Sénégal traversent d'énormes difficultés (Cours, bourses entre autres).
De l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, en passant par UADB, par UGB à l'USSEIN, entre autres universités, les revendications restent unanimement selon eux, les mêmes, malgré des morts d'hommes, des blessés, dus à des affrontements en ne plus en finir. En effet, cette situation chaotique des universités publiques du Sénégal, devrait être réellement "une honte" pour les dirigeants des universités et les ministères qui par ailleurs constatent la perte incessante de performances des étudiants qui aujourd'hui, sommeillent parfois dans le désespoir.
Les universités virtuelles du Sénégal, sont aussi traînées dans les difficultés du fait de n'avoir guère accès à leurs outils pour étudier dans les conditions idoines. Les revendications enrobées d'affrontements continuent parfois dans les espaces universitaires, et ce fait, n'honore aucunement le Sénégal dont l'éducation a depuis toujours été une référence dans le continent africain.
Aujourd'hui, plus que jamais, cette situation amère dans laquelle sont plongées les universités, doit être convertie dans le passé, ceci avec une volonté forte des autorités de trouver des solutions idoines pour redresser les universités publiques du Sénégal. Nous avons eu par ailleurs quelques ministres qui par leur magie créative, ont eu à apporter une touche particulière pour mieux faciliter les performances des universités publiques.
Les universités publiques sont vers la reconquête d'une nouvelle identité, ceci devrait être en fait la mission de toutes les autorités en charge de l'éducation et de l'enseignement supérieur. Les étudiants sont à encourager et ils doivent être mis tous dans les meilleures conditions pour leur faciliter une carrière universitaire.
Assane SARR, Journaliste à Léral Tv,
auteur du recueil de poèmes "PRÉMICES", paru aux éditions Artige en mai 2020,
Co-auteur du livre "DE CRIS ET D'ENCRE" du Collectif Parlons Poésie en 2018.
Ce fait que les universités du Sénégal, soit, parmi les plus grandes universités les plus cités dans l'espace CEDÉAO, devrait être en effet, en continu, une lourde mission pour les autorités, qui ont occupé au fil des années, les ministères en charge de l'éducation nationale mais également de l'enseignement supérieur car disait ainsi Nelson MANDELA, "L'éducation est l'arme la plus puissante qu'on puisse utiliser pour changer le monde".
Malheureusement, aujourd'hui, nous assistons, avec beaucoup d'amertume, à une gestion calamiteuse de nos universités publiques, où naissent la haine, le désespoir, l'ignorance. Ceci, du fait que l'on ait manqué de redorer le blason, de donner plus de vie à ces espaces qui ont formé de nombreux cadres, qui aujourd'hui, ont une forte représentativité dans le monde.
Depuis une décennie ou plus, les universités publiques du Sénégal traversent d'énormes difficultés (Cours, bourses entre autres).
De l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, en passant par UADB, par UGB à l'USSEIN, entre autres universités, les revendications restent unanimement selon eux, les mêmes, malgré des morts d'hommes, des blessés, dus à des affrontements en ne plus en finir. En effet, cette situation chaotique des universités publiques du Sénégal, devrait être réellement "une honte" pour les dirigeants des universités et les ministères qui par ailleurs constatent la perte incessante de performances des étudiants qui aujourd'hui, sommeillent parfois dans le désespoir.
Les universités virtuelles du Sénégal, sont aussi traînées dans les difficultés du fait de n'avoir guère accès à leurs outils pour étudier dans les conditions idoines. Les revendications enrobées d'affrontements continuent parfois dans les espaces universitaires, et ce fait, n'honore aucunement le Sénégal dont l'éducation a depuis toujours été une référence dans le continent africain.
Aujourd'hui, plus que jamais, cette situation amère dans laquelle sont plongées les universités, doit être convertie dans le passé, ceci avec une volonté forte des autorités de trouver des solutions idoines pour redresser les universités publiques du Sénégal. Nous avons eu par ailleurs quelques ministres qui par leur magie créative, ont eu à apporter une touche particulière pour mieux faciliter les performances des universités publiques.
Les universités publiques sont vers la reconquête d'une nouvelle identité, ceci devrait être en fait la mission de toutes les autorités en charge de l'éducation et de l'enseignement supérieur. Les étudiants sont à encourager et ils doivent être mis tous dans les meilleures conditions pour leur faciliter une carrière universitaire.
Assane SARR, Journaliste à Léral Tv,
auteur du recueil de poèmes "PRÉMICES", paru aux éditions Artige en mai 2020,
Co-auteur du livre "DE CRIS ET D'ENCRE" du Collectif Parlons Poésie en 2018.