Serigne Abdoulahi Mbacké Borom Deurbi : Un trésor de qualités Cinquième fils de Serigne Touba après Serigne Mouhammadou Moustapha Mbacké, Serigne Fallilou Mbacké, Serigne Mouhammadou Lamine Bara Mbacké et Serigne Bassirou Mbacké, Serigne Adoulahi Mbacké a vu le jour en 1908 à Darou Rahman communément appelé Thiéyène, dans le Djoloff, après l'exil du Cheikh en Mauritanie.
Sa mère, Soxna Fatima Koubra Al Kuntiyu, était la petite fille de Cheikh Sidy El Moukhtar Al Kuntiyu, un grand saint homme qui vivait en Mauritanie. Serigne Abdoulahi Mbacké passa ses premières années au Djoloff, et quand le Cheikh partit à Diourbel en 1912, il le confia à Serigne Abdou Rahman Lô à Darou Alimul Qabir pour son apprentissage coranique. Doté d'une intelligence phénoménale et d'une mémoire prodigieuse, il fit en un temps très réduit de brillantes études, maîtrisa le Saint Coran et en écrivit une copie pour le Cheikh. A Diourbel, auprès de son vénéré père, Serigne Abdoulahi Mbacké apprit beaucoup, diversifia ses connaissances, s'éprouva au travail et fit montre des qualités les plus honorables. Intelligent et cultivé, courageux et généreux, il n'a cessé de séduire son entourage.
Très tôt, il a cherché à marquer son existence de son sceau personnel, et en 1930, il fonda à quelques kilomètres de Touba son village qu'il baptisa Darou Rahman, du nom du lieu où il vit le jour. Il vécut dans cette localité et éleva ses talibés dans l'adoration de Dieu et le respect du travail jusqu'au jour où il décida de créer un verger. Ce jardin appelé 'Dër' en langue wolof, paraissait surprenant sur ces terres habituées à produire uniquement du mil, du niébé, du sorgho... Serigne Abdoulahi Mbacké était un trésor de qualités : un courage inégalable, une patience infinie, une noblesse d'âme, une volonté inébranlable, une intelligence parfaite, un altruisme inaltérable et une pondération inimitable .
Le 15 janvier 1960, Serigne Abdoulahi Mbacké s'éteignit, laissant les talibés dans un profond désarroi. Ses descendants dont Serigne Cheikh Mbacké, l'actuel khalife, ont hérité sa sagesse et ses qualités, et à ce titre, tout le monde les estime pour le respect qu'ils imposent. Ils montrent également une envergure intellectuelle et morale louable, un savoir-être remarquable et une détermination sans faille.
Sa mère, Soxna Fatima Koubra Al Kuntiyu, était la petite fille de Cheikh Sidy El Moukhtar Al Kuntiyu, un grand saint homme qui vivait en Mauritanie. Serigne Abdoulahi Mbacké passa ses premières années au Djoloff, et quand le Cheikh partit à Diourbel en 1912, il le confia à Serigne Abdou Rahman Lô à Darou Alimul Qabir pour son apprentissage coranique. Doté d'une intelligence phénoménale et d'une mémoire prodigieuse, il fit en un temps très réduit de brillantes études, maîtrisa le Saint Coran et en écrivit une copie pour le Cheikh. A Diourbel, auprès de son vénéré père, Serigne Abdoulahi Mbacké apprit beaucoup, diversifia ses connaissances, s'éprouva au travail et fit montre des qualités les plus honorables. Intelligent et cultivé, courageux et généreux, il n'a cessé de séduire son entourage.
Très tôt, il a cherché à marquer son existence de son sceau personnel, et en 1930, il fonda à quelques kilomètres de Touba son village qu'il baptisa Darou Rahman, du nom du lieu où il vit le jour. Il vécut dans cette localité et éleva ses talibés dans l'adoration de Dieu et le respect du travail jusqu'au jour où il décida de créer un verger. Ce jardin appelé 'Dër' en langue wolof, paraissait surprenant sur ces terres habituées à produire uniquement du mil, du niébé, du sorgho... Serigne Abdoulahi Mbacké était un trésor de qualités : un courage inégalable, une patience infinie, une noblesse d'âme, une volonté inébranlable, une intelligence parfaite, un altruisme inaltérable et une pondération inimitable .
Le 15 janvier 1960, Serigne Abdoulahi Mbacké s'éteignit, laissant les talibés dans un profond désarroi. Ses descendants dont Serigne Cheikh Mbacké, l'actuel khalife, ont hérité sa sagesse et ses qualités, et à ce titre, tout le monde les estime pour le respect qu'ils imposent. Ils montrent également une envergure intellectuelle et morale louable, un savoir-être remarquable et une détermination sans faille.