«Le club Dakar Sacré-Cœur tient à vous annoncer l’arrêt de sa collaboration à compter de ce jour, le 10 juillet 2023, avec les personnes suivantes : Mme Aissatou Seck (Coordonnatrice du pôle féminin et entraîneur de l’équipe pro féminine), Mme Yaye Sokhna Mbengue (Entrîineur Adjointe féminine), Mme Oulèye Dieye (Entraineur des gardiennes de but féminine). Dakar Sacré-Coeur est un club engagé autour d’un socle de valeurs à la fois universelles et sénégalaises.
À travers une pratique sportive saine, nous souhaitons favoriser le vivre et agir ensemble, l’éducation, l’engagement et le respect de l’environnement. L’atteinte de résultat sportif ne peut se faire aux dépens de ces objectifs et du respect de l’institution», lit-on dans ledit communiqué.
«Ça ne va jamais atterrir dans un tribunal»
Un communiqué laconique qui laisse présager d’un problème extra-sportif, avec la référence sur les «valeurs à la fois universelles et sénégalaises». Trois ans après l’affaire de mœurs qui a conduit à la condamnation à deux ans ferme pour détournement de mineurs d’Olivier Sylvain, ex-préparateur physique chargé des performances du club, Dsc s’épargne quelque peu d’une nouvelle affaire extra-sportive, même si Doudou Sène, manager général du club, dédramatise et refuse d’aller dans le fond du problème.
«Nous sommes quand même dans un projet sportif. Aïcha, l’entraineur titulaire, était avec nous depuis deux ans, alors que les deux autres sont venues cette saison. Par rapport aux valeurs, on a vu que ce n’était pas bon. Ce qu’on attendait d’elles, on ne l’a vraiment pas ressenti par rapport au projet. Comme toute collaboration, la Direction générale a décidé d’un commun accord avec les trois intéressés, de se séparer à l’amiable.
On est champion du Sénégal, mais nous l’avons bien précisé dans le communiqué, pour dire que l’atteinte de résultats sportif ne peut se faire aux dépens de ces objectifs et du respect de l’institution. Même si on est champion du Sénégal, on a des valeurs et un projet. On peut dire que l’origine de la séparation est extrasportive, sans pour autant entrer dans les détails.
Ça n’a rien à voir avec le résultat sportif parce qu’on ne peut pas être champion du Sénégal et être licencié. Mais nous n’avons pas envie d’étaler au grand public les problèmes que nous avons. Il était toutefois nécessaire de porter à l’opinion de la séparation avec ces trois collaboratrices. Ça ne va jamais atterrir dans un tribunal. Je ne le pense pas», a affirmé le manager général du club au micro d’I.radio.
Bes Bi
À travers une pratique sportive saine, nous souhaitons favoriser le vivre et agir ensemble, l’éducation, l’engagement et le respect de l’environnement. L’atteinte de résultat sportif ne peut se faire aux dépens de ces objectifs et du respect de l’institution», lit-on dans ledit communiqué.
«Ça ne va jamais atterrir dans un tribunal»
Un communiqué laconique qui laisse présager d’un problème extra-sportif, avec la référence sur les «valeurs à la fois universelles et sénégalaises». Trois ans après l’affaire de mœurs qui a conduit à la condamnation à deux ans ferme pour détournement de mineurs d’Olivier Sylvain, ex-préparateur physique chargé des performances du club, Dsc s’épargne quelque peu d’une nouvelle affaire extra-sportive, même si Doudou Sène, manager général du club, dédramatise et refuse d’aller dans le fond du problème.
«Nous sommes quand même dans un projet sportif. Aïcha, l’entraineur titulaire, était avec nous depuis deux ans, alors que les deux autres sont venues cette saison. Par rapport aux valeurs, on a vu que ce n’était pas bon. Ce qu’on attendait d’elles, on ne l’a vraiment pas ressenti par rapport au projet. Comme toute collaboration, la Direction générale a décidé d’un commun accord avec les trois intéressés, de se séparer à l’amiable.
On est champion du Sénégal, mais nous l’avons bien précisé dans le communiqué, pour dire que l’atteinte de résultats sportif ne peut se faire aux dépens de ces objectifs et du respect de l’institution. Même si on est champion du Sénégal, on a des valeurs et un projet. On peut dire que l’origine de la séparation est extrasportive, sans pour autant entrer dans les détails.
Ça n’a rien à voir avec le résultat sportif parce qu’on ne peut pas être champion du Sénégal et être licencié. Mais nous n’avons pas envie d’étaler au grand public les problèmes que nous avons. Il était toutefois nécessaire de porter à l’opinion de la séparation avec ces trois collaboratrices. Ça ne va jamais atterrir dans un tribunal. Je ne le pense pas», a affirmé le manager général du club au micro d’I.radio.
Bes Bi