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Sur les traces de Diouf et Wade : Macky snobe la presse locale et accorde des interviews aux médias étrangers

L’actuel chef de l’Etat ne fait pas mieux que ses prédécesseurs. Comme Diouf et Wade, Sall préfère, de loin, répondre aux interpellations de la presse étrangère plutôt que d’accorder quelques petites minutes aux journalistes sénégalais.


Rédigé par leral.net le Samedi 29 Juin 2013 à 14:00 | | 1 commentaire(s)|

Sur les traces de Diouf et Wade : Macky snobe la presse locale et accorde des interviews aux médias étrangers
Selon le journal L’As, il a préféré accorder des interviews à des confrères étrangers en zappant totalement les journalistes locaux. Ceci aurait été un peu acceptable s’il était à l’étranger. Mais être au Sénégal, et préférer accorder des entretiens à des confrères étrangers, c’est inacceptable. Le journal L’As de souligner que, pourtant, quand il faisait sa campagne, c’est la presse locale qu’il sollicitait jour et nuit. Matin, midi soir, ses conseillers quémandaient des demandes de couverture. Maintenant qu’il est élu Président, il snobe cette dernière. En même temps, note le journal, c'est les journalistes sénégalais qui couvrent ses "petites activités". Et L'As d’ajouter qu’il est temps que les Présidents respectent leurs concitoyens surtout la presse sinon l’idée d’un boycott des activités de Macky Sall n’est pas à exclure.



1.Posté par hugo le 29/06/2013 10:16 | Alerter
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Encore du complexe du mal-aimé !!!
Notre Presse locale fait son Marché de la petite semaine.....
Mais il faut qu'elle se ravise que Le Sénégal c'est aussi le reste du Monde et que le Président de la République en est le premier interlocuteur.
Et Le reste du Monde est en droit de s'enquérir de ce qui se passe chez nous.
Pour peu que le Président en parle, la "Presse nombriliste", hérité de l'Etat ethnocentriste de Abdoulaye Wade se fond en lamentation aussi bien pour des raisons de business que d'économie en vociférant sur les impôts.
Le Sénégal est malade de ses instituteurs et de ses pugilistes.....qui sont restés les "Nègres-Enfants".

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