Urgent : Omar Sarr, député PDS brutalisé, Momodou Bassirou Kébé, Tete de liste de la coalition gagnante à Nioro, interdit d’accéder à l’hémicycle
Mamadou Bassirou Kébé, tête de liste de la Coalition gagnante à Nioro dénonce les violences faites au député du Parti démocratique sénégalais, Oumar Sarr. Lui, qui a été interdit d’accéder à l’hémicycle par les forces de sécurité et de défense, ce jeudi, soutient que les libertés des Sénégalais ont été bafouées.
« On nous a interdit d’accéder à l’Assemblée nationale. Il n y a pas démocratie dans ce pays », dit-il, et ajoute: " les libertés individuelles et collectives sont violées et bafouées dans ce pays".
« J’ai été témoin tout à l’heure des violences dont a été victime Omar Sarr. Il y a des problèmes dans ce pays. Nous avons le droit de dénoncer », dixit Mamadou Bassirou Kébé.
Il explique : « Le code électoral doit être modifié par un consentement obtenu avec une large majorité. Aujourd’hui, on est en train de subir un forcing. Le rôle de la Commission électorale nationale autonome (Cena) dans un pays, ce n’est pas de s’imposer mais d’assurer le contrôle de la légalité et de la régularité des élections ».
Pour clore ces propos sous la menace des policiers, il affirme que : « les élections ne seront pas transparentes ».
Thierno Malick Ndiaye
« On nous a interdit d’accéder à l’Assemblée nationale. Il n y a pas démocratie dans ce pays », dit-il, et ajoute: " les libertés individuelles et collectives sont violées et bafouées dans ce pays".
« J’ai été témoin tout à l’heure des violences dont a été victime Omar Sarr. Il y a des problèmes dans ce pays. Nous avons le droit de dénoncer », dixit Mamadou Bassirou Kébé.
Il explique : « Le code électoral doit être modifié par un consentement obtenu avec une large majorité. Aujourd’hui, on est en train de subir un forcing. Le rôle de la Commission électorale nationale autonome (Cena) dans un pays, ce n’est pas de s’imposer mais d’assurer le contrôle de la légalité et de la régularité des élections ».
Pour clore ces propos sous la menace des policiers, il affirme que : « les élections ne seront pas transparentes ».
Thierno Malick Ndiaye