L’information a été rapportée par l’avocat et responsable libéral, El Hadji Amadou Sall sur sa page Facebook. «Aujourd'hui à Koumpentoum, Me Abdoulaye Wade tête de liste de la coalition gagnante wattu senegaal a rejeté tout vote par l'utilisation de document ne pouvant permettre d'identifier un électeur ou prouver son inscription sur les listes électorales. Il affirme que le Conseil constitutionnel ne peut et ne doit pas permettre à Macky de rouvrir frauduleusement la période d'inscription sur le fichier électoral ou de modifier illégalement par le règlement les conditions d'exercice du droit électoral qui sont déterminées exclusivement par la loi.
Macky Sall comme le Conseil constitutionnel sont avertis : aucune fraude ne sera tolérée et le peuple veillera à exercer librement ses droits. Il détient seul la souveraineté et peut se donner le droit de l'exercer directement sans passer par quelque représentant que ce soit ». Une réaction qui fait référence au communiqué, publié un peu plus tôt par la présidence de la République.
Ce document indique qu’ «au regard des lenteurs notées dans le retrait des cartes d'identité biométriques, le Président de la République a saisi le Conseil constitutionnel, par lettre en date du 24 juillet 2017 (…)sur la possibilité que les électeurs n'ayant pu retirer leurs cartes puissent voter aux élections législatives du 30 juillet 2017 avec l'une des pièces suivantes: Une carte d’identité nationale numérisée, une carte d’électeur numérisée, un passeport, un permis de conduire, un document d’immatriculation pour les primo-inscrits non détenteurs d’un des quatre premiers documents administratifs. »
Macky Sall comme le Conseil constitutionnel sont avertis : aucune fraude ne sera tolérée et le peuple veillera à exercer librement ses droits. Il détient seul la souveraineté et peut se donner le droit de l'exercer directement sans passer par quelque représentant que ce soit ». Une réaction qui fait référence au communiqué, publié un peu plus tôt par la présidence de la République.
Ce document indique qu’ «au regard des lenteurs notées dans le retrait des cartes d'identité biométriques, le Président de la République a saisi le Conseil constitutionnel, par lettre en date du 24 juillet 2017 (…)sur la possibilité que les électeurs n'ayant pu retirer leurs cartes puissent voter aux élections législatives du 30 juillet 2017 avec l'une des pièces suivantes: Une carte d’identité nationale numérisée, une carte d’électeur numérisée, un passeport, un permis de conduire, un document d’immatriculation pour les primo-inscrits non détenteurs d’un des quatre premiers documents administratifs. »