Dans un communiqué parvenu rendu public, la Coalition « Assemblée bi ñu bëgg » tient à rappeler, « en toute modestie, qu’elle est à l’origine de la proposition devant permettre aux citoyens de voter munis de leur récépissé de dépôt et de leur ancienne carte d’identité ou de tout autre document d’identification ».
La proposition émise à travers une lettre ouverte adressée au chef de l’Etat dès le 4 juillet dernier, ladite coalition explique que son « initiative n’était guidée que par le souci de permettre à tous les citoyens régulièrement inscrits sur les listes électorales, d’exercer leur droit civique le jour des élections».
« Par la suite, à travers une contribution de sa tête de liste, publiée dans la presse, la classe politique dans son ensemble avait été interpellée, pour taire les querelles politiciennes, relever le défi électoral en cours, par-delà les calculs partisans et autres postures d’entêtement et montrer à la face du monde la maturité de la démocratie sénégalaise.
Malheureusement, une partie de l’opposition, celle dite radicale, semble avoir rejeté la proposition en question, donnant ainsi raison à tous ceux qui pensent dans l’opinion publique – et ils sont nombreux – que ces opposants-là, ont pour seul agenda de ne pas faciliter la tâche au Gouvernement et de vouloir créer un climat insurrectionnel », poursuit-elle.
Poursuivant, Mohamed SALL SAO, tête de liste nationale et Cie ajoutent que « si la seule motivation de l’appel lancé pour une marche le 25 juillet prochain est « d’exiger le retrait » des nouvelles cartes d’électeur biométriques par tous les citoyens en attente, cette marche n’aurait plus de raison d’être dès lors que ceux-ci se seraient vus reconnaître le droit de vote avec leur récépissé, assorti d’une pièce d’identité en bonne et due forme ».
« Si ces organisations politiques rétives sont guidées par les seuls intérêts fondamentaux nationaux et non par une logique d’alternance politicienne, elles devraient pouvoir accepter que le droit de vote soit reconnu à tous les électeurs qui se sont régulièrement inscrits sur les nouvelles listes électorales », insiste la coalition.
Aussi, la Coalition « Assemblée bi ñu bëgg » estime-t-elle que, « quelle que soit la responsabilité de l’Etat dans les carences et lenteurs constatées dans la production et la mise à disposition des cartes, ainsi que dans la gestion du processus électoral en général, cela ne saurait suffire à justifier une perturbation de ces élections, personne n’ayant à y gagner et surtout pas les citoyens au nom desquels l’on est censé mener le combat pour leur permettre d’exercer leur droit de vote le 30 juillet 2017 ».
Du point de vue de la Coalition, « en l’absence d’un audit préalable du nouveau fichier électoral qui s’avérait, certes, indispensable, l’enjeu devrait être, à présent, de lutter contre toute tentative de fraude, en s’organisant pour une surveillance stricte du scrutin, à travers une mutualisation de nos moyens et en faisant preuve d’une vigilance de tous les instants ».
La proposition émise à travers une lettre ouverte adressée au chef de l’Etat dès le 4 juillet dernier, ladite coalition explique que son « initiative n’était guidée que par le souci de permettre à tous les citoyens régulièrement inscrits sur les listes électorales, d’exercer leur droit civique le jour des élections».
« Par la suite, à travers une contribution de sa tête de liste, publiée dans la presse, la classe politique dans son ensemble avait été interpellée, pour taire les querelles politiciennes, relever le défi électoral en cours, par-delà les calculs partisans et autres postures d’entêtement et montrer à la face du monde la maturité de la démocratie sénégalaise.
Malheureusement, une partie de l’opposition, celle dite radicale, semble avoir rejeté la proposition en question, donnant ainsi raison à tous ceux qui pensent dans l’opinion publique – et ils sont nombreux – que ces opposants-là, ont pour seul agenda de ne pas faciliter la tâche au Gouvernement et de vouloir créer un climat insurrectionnel », poursuit-elle.
Poursuivant, Mohamed SALL SAO, tête de liste nationale et Cie ajoutent que « si la seule motivation de l’appel lancé pour une marche le 25 juillet prochain est « d’exiger le retrait » des nouvelles cartes d’électeur biométriques par tous les citoyens en attente, cette marche n’aurait plus de raison d’être dès lors que ceux-ci se seraient vus reconnaître le droit de vote avec leur récépissé, assorti d’une pièce d’identité en bonne et due forme ».
« Si ces organisations politiques rétives sont guidées par les seuls intérêts fondamentaux nationaux et non par une logique d’alternance politicienne, elles devraient pouvoir accepter que le droit de vote soit reconnu à tous les électeurs qui se sont régulièrement inscrits sur les nouvelles listes électorales », insiste la coalition.
Aussi, la Coalition « Assemblée bi ñu bëgg » estime-t-elle que, « quelle que soit la responsabilité de l’Etat dans les carences et lenteurs constatées dans la production et la mise à disposition des cartes, ainsi que dans la gestion du processus électoral en général, cela ne saurait suffire à justifier une perturbation de ces élections, personne n’ayant à y gagner et surtout pas les citoyens au nom desquels l’on est censé mener le combat pour leur permettre d’exercer leur droit de vote le 30 juillet 2017 ».
Du point de vue de la Coalition, « en l’absence d’un audit préalable du nouveau fichier électoral qui s’avérait, certes, indispensable, l’enjeu devrait être, à présent, de lutter contre toute tentative de fraude, en s’organisant pour une surveillance stricte du scrutin, à travers une mutualisation de nos moyens et en faisant preuve d’une vigilance de tous les instants ».