Parallèlement à leur occupation, la femme de Antonio Di Stefani, représentant légal de Assofal, avait parrainé 90 enfants orphelins dans le cadre de leur action « humanitaire ». Mais, en réalité, selon Le Quotidien, elle quémandait de l’aide, au nom des enfants de la banlieue, auprès des autorités italiennes. C’est, d’ailleurs, dans ce cadre que les enfants de la Case des tout-petits de Guédiawaye ont bénéficié de dons vestimentaires, de médicaments, etc. Certains d’entre eux ont même été adoptés à distance par les membres de l’Assofal à Milan. Nos confrères avancent même, à ce propos, que des Italiens envisagent l’établissement de fiches médicales pour le suivi sanitaire des élèves de trois écoles de Guédiawaye.
Teloodia Diatta
Teloodia Diatta