En effet, 22 gendarmes, 15 policiers, 15 matons, 5 douaniers ont eu maille à partir avec la justice ces dernières années pour association de malfaiteurs, meurtre, torture, barbarie, entre autres crimes. Les uns sont en attente de leur procès, les autres purgent leur peine ou ont bénéficié d’une mise en liberté provisoire. Avec cette vague d’arrestations, les gradés et les subalternes se confient à nos confrères de Walfadjiri quotidien et disent non à ce qu’ils appellent une "gestion politique des affaires militaires". Le Président Macky Sall, le chef suprême des armées, est interpellé.
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