Si le trafic de stupéfiants caracole en tête des premières causes du séjour des femmes en taule, avec à la clé, 31% des détenues, il reste que 16% des femmes sont détenues en prison, pour cause d’infanticide.
“La plupart des femmes incriminées vivaient déjà dans une situation de grande précarité caractérisée par une fragilité sur le plan économique et familial. Certaines d’entre elles étaient également victimes d’abus et d’exploitation”, explique le rapport publié ce dimanche, à l’occasion de la Journée internationale de la femme.
Selon l’Aps citée par Actusen.com, l’étude a été présentée au garde des Sceaux, ministre de la Justice, Sidiki Kaba, aux responsables de l’administration pénitentiaire et d’institutions financières partenaires de l’Etat du Sénégal, lors d’un rassemblement organisé à la maison d’arrêt et de correction pour femmes de Liberté VI, à Dakar.
Elle est basée sur des entretiens réalisés entre mars et juillet 2014 avec 152 femmes détenues dans cinq prisons représentant plus de la moitié de la population carcérale féminine du Sénégal, à Liberté VI, Rufisque, Thiès, Kaolack et Tambacounda.
Le rapport indique que “près de 3%” des femmes emprisonnées l’ont été pour le délit d’avortement.
Actusen.com
“La plupart des femmes incriminées vivaient déjà dans une situation de grande précarité caractérisée par une fragilité sur le plan économique et familial. Certaines d’entre elles étaient également victimes d’abus et d’exploitation”, explique le rapport publié ce dimanche, à l’occasion de la Journée internationale de la femme.
Selon l’Aps citée par Actusen.com, l’étude a été présentée au garde des Sceaux, ministre de la Justice, Sidiki Kaba, aux responsables de l’administration pénitentiaire et d’institutions financières partenaires de l’Etat du Sénégal, lors d’un rassemblement organisé à la maison d’arrêt et de correction pour femmes de Liberté VI, à Dakar.
Elle est basée sur des entretiens réalisés entre mars et juillet 2014 avec 152 femmes détenues dans cinq prisons représentant plus de la moitié de la population carcérale féminine du Sénégal, à Liberté VI, Rufisque, Thiès, Kaolack et Tambacounda.
Le rapport indique que “près de 3%” des femmes emprisonnées l’ont été pour le délit d’avortement.
Actusen.com