Dans un communiqué qui nous est parvenu, le Président du Mouvement pour le Fédéralisme et la Démocratie Constitutionnels (MFDC) assure qu’ « aucun élément du MFDC, toutes factions confondues, n’opère dans les rangs des djiadistes maliens et qu’aucune espèce d’échange de « bons procédés » d’aucune sorte, ni en termes de renseignement, ni en termes de formation, ni en termes de stratégie, n’existe, à ce jour, entre le MFDC et les djiadistes maliens. »
Jean Marie François BiaguiVoilà appelle, une fois de plus, au sens de la responsabilité et au courage politique de l’Etat, quant à l’appréciation du problème casamançais en tant qu’un « problème éminemment politique et éminemment institutionnel », d’une part et, d’autre part, à la nécessité de lui trouver une solution définitive conséquente, maintenant ; soit, et tout autant, une « solution éminemment politique et éminemment institutionnelle ».
Jean Marie François BiaguiVoilà appelle, une fois de plus, au sens de la responsabilité et au courage politique de l’Etat, quant à l’appréciation du problème casamançais en tant qu’un « problème éminemment politique et éminemment institutionnel », d’une part et, d’autre part, à la nécessité de lui trouver une solution définitive conséquente, maintenant ; soit, et tout autant, une « solution éminemment politique et éminemment institutionnelle ».