"Pour être clair, je n’ai absolument rien à voir avec Sudatel. Dans cette opération de vente d’une licence de téléphonie en 2007, j’ai agi dans le cadre de ma banque MFC, comme conseiller de la société Zain Télécom avec laquelle j’ai travaillé dans d’autres affaires. J’ai été donc conseiller d’un concurrent de Sudatel. Monsieur Nazer Ibraheim a lui, conseillé Sudatel au travers d’une société qui s’appelle PCG. Notre client Zin a perdu. Donc, nous n’avons rien à voir avec Sudatel de ce côté-là.
Deuxièmement lorsque Sudatel a remporté la licence de téléphonie mobile, elle a refusé de payer M. Nazer Ibraheim. Et ce dernier a porté plainte contre Sudatel au niveau des tribunaux de Dubai et a gagné le procès. Les tribunaux de Dubai ont ordonné à Sudatel de lui payer deux millions de dollars qui étaient en fait sa rémunération pour le travail qu’il avait fait en tant que conseiller de Sudatel. Tout ce que j’ai dit là est documenté et est disponible ici au niveau de Dubai. Donc, nous n’avons rien à voir dans cette affaire. Nous n’avons ni conseillé le gouvernement sénégalais encore moins Sudatel. Nous ne sommes absolument pas impliqué ni de près ni de loin ou d’une quelconque façon imaginable avec des soi-disant commissions occultes payées dans cette opération… Je n’ai jamais rencontré Karim Wade ou Thierno Osuamane Sy à New York ou ailleurs pour parler de cette transaction", a détaillé M. Keindé dans un entretien exclusif accordé au Quotidien.
Quid alors des révélations dans la presse? Le banquier poursuit : "En fait, si la presse a été informée de cette histoire, c’est parce que Nazar Ibraheim, qui n’arrivait pas à rentrer dans ses fonds, du fait du refus de Sudatel de lui payer, a décidé de "porter presse". Il a ainsi saisi la presse sénégalaise et soudanaise pour dénoncer l’attitude de Sudatel. Aussi, avait-il contacté M. Latif Coulibaly et lui a fait part qu'il n’a pas été payé et qu’il craignait que la Cde qui lui était dû soit utilisé ailleurs, d’après le discours que lui tenaient les responsables de Sudatel". Keindé a encore affirmé avoir appelé à l'époque Abdou Latif Coulibaly pour faire un démenti sur cette affaire. "On a terminé notre conversation sur le fait qu’il allait y avoir un démenti publié par lui-même dans la presse. Jusqu’à ce jour, je n’ai pas vu de démenti".
Deuxièmement lorsque Sudatel a remporté la licence de téléphonie mobile, elle a refusé de payer M. Nazer Ibraheim. Et ce dernier a porté plainte contre Sudatel au niveau des tribunaux de Dubai et a gagné le procès. Les tribunaux de Dubai ont ordonné à Sudatel de lui payer deux millions de dollars qui étaient en fait sa rémunération pour le travail qu’il avait fait en tant que conseiller de Sudatel. Tout ce que j’ai dit là est documenté et est disponible ici au niveau de Dubai. Donc, nous n’avons rien à voir dans cette affaire. Nous n’avons ni conseillé le gouvernement sénégalais encore moins Sudatel. Nous ne sommes absolument pas impliqué ni de près ni de loin ou d’une quelconque façon imaginable avec des soi-disant commissions occultes payées dans cette opération… Je n’ai jamais rencontré Karim Wade ou Thierno Osuamane Sy à New York ou ailleurs pour parler de cette transaction", a détaillé M. Keindé dans un entretien exclusif accordé au Quotidien.
Quid alors des révélations dans la presse? Le banquier poursuit : "En fait, si la presse a été informée de cette histoire, c’est parce que Nazar Ibraheim, qui n’arrivait pas à rentrer dans ses fonds, du fait du refus de Sudatel de lui payer, a décidé de "porter presse". Il a ainsi saisi la presse sénégalaise et soudanaise pour dénoncer l’attitude de Sudatel. Aussi, avait-il contacté M. Latif Coulibaly et lui a fait part qu'il n’a pas été payé et qu’il craignait que la Cde qui lui était dû soit utilisé ailleurs, d’après le discours que lui tenaient les responsables de Sudatel". Keindé a encore affirmé avoir appelé à l'époque Abdou Latif Coulibaly pour faire un démenti sur cette affaire. "On a terminé notre conversation sur le fait qu’il allait y avoir un démenti publié par lui-même dans la presse. Jusqu’à ce jour, je n’ai pas vu de démenti".